domingo, 17 de junho de 2012

VEUX-TU ÊTRE PAPA OU MAMAN?

38 pour cent. Plus d'un tiers de pères français aimeraient ou auraient aimé porter leur enfant si le progrès permettait aux hommes d'être 'enceints' (source: Ipsos). Eh bien, messieurs, je vous souhaite, si la science vous le permet, d'avoir tout ce que j'ai e que vous n'avez pas: le bon et le pire. Prenez tout. Messieurs, soyez ce que vous êtes: des Pères! Laissez le maternage aux mères. Paternez! Je n'ai pas la prétention d'être le père de mes enfants. Ils ont déjà un. Dites: vous distinguez, ou pas, votre père de votre mère? A tous les papas, une très bonne journée. Vos enfants vous rendront l'Amour que vous méritez, selon votre conduite. Et je suis certaine qu'ils y en a, parmi vous, ceux qui le méritent bien. Ceux qui sont des Vrais Papas.

sexta-feira, 15 de junho de 2012

DES VIES BRISEES PAR UNE FAUSSE EXPERTE EN PSYCHOLOGIE!

http://www.lepoint.fr/societe/la-fausse-psychologue-exercait-en-tant-qu-experte-judiciaire-15-06-2012-1473612_23.php La fausse psychologue exerçait en tant qu'experte judiciaire Le Point.fr - Publié le 15/06/2012 à 08:10 Régine Labeur, jugée à Toulouse, a rendu plus de 400 expertises dans des procès en vertu de ce titre usurpé. Une femme de 55 ans dépourvue de tout diplôme a comparu jeudi au tribunal de Toulouse pour avoir usurpé le titre de psychologue et d'expert judiciaire, et ainsi livré plus de 400 expertises qui ont parfois brisé des vies. La représentante du parquet, Brigitte Lanfranchi, a requis trois ans de prison, dont 15 mois ferme, contre Régine Labeur, qualifiée de "faussaire qui a menti délibérément et longtemps". Brigitte Lanfranchi a vivement dénoncé la "démagogie" de la défense qui mettait en cause un manque de vigilance de l'institution judiciaire. "Mme Labeur a produit les documents demandés en faisant des faux, elle a certifié sur l'honneur (...), elle a prêté serment, je n'accepte pas de prise à partie de l'institution dans cette affaire", a tonné la représentante du parquet. Le président du tribunal, Guillaume Roussel, s'était, lui, interrogé en début d'audience sur d'éventuels "dysfonctionnements". La plupart des faits se sont déroulés dans le ressort de la cour d'appel de Bordeaux, mais l'instruction et le procès ont été dépaysés vers Toulouse pour plus de sérénité, parce qu'un grand nombre de magistrats bordelais avaient eu affaire à la prévenue. Régine Labeur avait fabriqué de faux diplômes de psychologie en 2003 et s'était fait immatriculer comme psychologue auprès de la direction départementale des affaires sociales de Périgueux. Elle avait ensuite réussi à se rapprocher des milieux policier et judiciaire pour obtenir son inscription sur la liste des experts psychologues début 2005. Elle avait été démasquée en avril 2009 quand son troisième mari, placé en garde à vue pour violences conjugales, l'avait dénoncée. Des vies brisées Cette femme blonde, à la mine discrète, timide et parfois au bord des larmes, a rappelé qu'elle avait immédiatement tout reconnu, parlant "d'un grand soulagement que cet engrenage malsain s'arrête". Dépourvue de diplôme, ancien chauffeur de taxi, comptable pour son mari, elle a expliqué à l'audience qu'elle s'était "passionnée pour la psychologie", car un de ses compagnons avait "abusé sexuellement de sa fille". Elle a reconnu "avoir fait du mal à beaucoup de gens", mais elle a assuré qu'elle avait été "impartiale" dans ses expertises. Le président a relevé que ces expertises avaient dû lui rapporter 70 000 euros en trois ans. Mais il s'est aussi appuyé sur les rapports d'autres experts sur le cas de Régine Labeur pour estimer que "c'est moins le goût du lucre que le désir d'être reconnue qui l'a motivée". Plusieurs parties civiles ont dit ne pas reconnaître dans cette personne timide "l'expert catégorique" qui s'exprimait devant les tribunaux. Me Sylvie Noachovitch a même parlé de "méchanceté" de l'experte et a demandé 50 000 euros de dommages et intérêts pour une mère qui s'était vu retirer la garde de ses deux enfants au profit de son mari sur la base d'un rapport de la fausse experte. "Il a fallu quatre ans pour que ma cliente puisse retrouver la garde de ses enfants, le préjudice est énorme", a souligné l'avocate. D'autres expertises en matière de délits sexuels ont accablé des innocents ou au contraire discrédité la parole de victimes, ont renchéri d'autres avocats. Le tribunal rendra sa décision le 20 septembre, a indiqué le président Roussel A mon avis, ce ne sont pas seulement les fausses psychologues qui donnent des fausses expertises aux juges. Des vraies aussi.

quarta-feira, 13 de junho de 2012

MA LECTURE DU MOMENT (ET SUGGEREE)

http://www.amazon.fr/Enfants-victimes-d%C3%A9linquants-Jean-Pierre-Rosenczveig/dp/2715807600 Je vous envite à lire ce livre -je suis en train de le faire, dont je vous présente cet extrait: "(...) Je n'ai jamais su ce que c'était l'intérêt d'un enfant; en revanche je crois qu'il faut essayer de rechercher ce que peuvent être à un moment donné et avec une vision plus perspective les besoins de tel enfant. (...) Je vais ici prendre un cas que tout le monde a en mémoire pour m'expliquer. A ceux qui en auraient oublié le détail, je résume l'histoire de David, celui que l'on a donc appelé en 1982 'l'enfant du placard'. Sa mère, lorsqu'elle avait avoué sa grossesse avait été rejetée par ses parents. L'homme qui avait ensuite accepté de l'épouser 'malgré' l'enfant qu'elle avait eu d'un autre, avait éxigé qu'elle le cache. Ainsi David était-il devenu l'enfant du placard. Le fait qu'elle en ouvrît souvent la porte à l'insu de son mari, n'atténuait guère sa responsabilité. Les faits appelaient à une condamnation par la Cour d'Assises. La mise en détention de la mère et du beau-père et le fait que l'enfant avait besoin de se reconstituer conduisait au placement de David au foyer départamental de l'enfance. Son jeune frère - l'enfant du couple- l'y accompagna. Cette séparation devait-elle être maintenue? Etait-elle conforme aux besoins de David? Pas du point de vue de l'enfant. Aux juges qui l'intérrogeaint à l'audience, il répondit qu'il voulait vivre avec sa mère. A la barre, le médecin Tony Lainé appuya sa demande. Il fallait que l'enfant ne termine en psychiatrie à force de rejets. (...). Personnellement, si j'avais eu à requérir au poste d'avocat général dans cette affaire, au nom de la loi, j'aurais demandé à ce que cette femme soit 'condamnée' à vivre avec son enfant. Je veux dire par là qu'i fallait réunir enfin, avec la caution de la société, la mère et l'enfant. D'abord pour David qui le demandait. Egalement pour qu'il soit donné à cette femme, comme à toute mère, de vivre au vu et au su de tous avec lui. Si j'avais été juge, compte tenu de la détention provisoire, j'aurais fait en sorte que rapidement le couple mère-fils soit réuni. Pour l'une et surtout pour l'autre. Je n'aurai pas fait cadeau au beau-père qui avait joué sur la faiblesse psychologique de sa femme pour la réduire à sa volonté. La Cour d'Assises ne retint pas l'avis de Tony Lainé et n'écouta pas l'enfant. Les deux parents devaient être légitimement condamnés; ils le furent. Point à la ligne. La mère retourna en prison, David au foyer avec son problème. Si j'osais, un placard (social) pour un autre! Tout cela, officiellement, au nom de l'intérêt de l'enfant, de la protection de l'enfance. (...). (...) La mère de David était à blâmer, c'est le moins que l'on puisse dire. Pour autant y avait-il danger à permettre que David puisse vivre avec elle comme il le désirait? C'est la question qui se pose chaque fois qu'un enfant exprime le même désir, le même besoin. Si la réponse est négative son propre regard ne doit pas être exclu de notre champ de vision, la séparation ne doit pas être systématiquement retenue sous prétexte que toute maltraitance mérite sanction. (...) (...) Qu'en toutes circonstances, il y soit préparé. Sinon il la vivra comme une amputation, comme une punition. Je pense particulièrement aux grands enfants, aux jeunes adolescents que l'on envisage difficiles, trop difficiles pour qu'un placement familial soit envisageable, et qui échouent dans les foyers encore trop peuplés, pour qu'ils y trouvent leurs repères ou encore dans les familles d'accueil. On se rassure à bon compte en imaginant que 'leur danté, leur moralité, leur sécurité' y sont toujours mieux protégés que dans une famille 'à risques'. Je ne m'appesanterai pas sur le fait que dans certains de ces établissements ou certaines de ces familles d'accueil, les enfants sont également confrontés à des violences ou à des agressions de toute nature. J'y reviendrai. Le placement -familial ou institutionnel- n'est qu'un pis-aller. Une anormalité. Que des fois nous nous étonnons qu'il ait échoué alors qu'il nous avait paru bien adapté. Or l'échec n'est pas si étonnant. C'est une autre chose qu'attend l'enfant. Nous nous préoccupons de son corps, des apparences, lui cherche à régler ses problèmes avec ses parents. 'Pourquoi suis-je bien là et pas chez moi?' (...)" Jean-Pierre Rosenczveig (ancien juge d'enfants), ENFANTS VICTIMES ENFANTS DELIQUANTS, pp 69-77.

domingo, 3 de junho de 2012

LA PROFESSION LA PLUS DIFFICILE DU MONDE!

A profissão mais dificil do mundo, é também a mais bela. A de Mãe (hoje é dia da Mãe aqui em França). La profession la plus difficile est aussi la plus belle. Celle d'être Mère.

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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