quarta-feira, 5 de janeiro de 2011

QUELLE JUSTICE POUR UN PARENT PROTECTEUR?!

Et voilà un post qui n'est, vraiment, pas le mien.
C'est à dire,les textes (3) ne sont pas les miens.

J'ai pris cet extrait d'un autre blog, que je vous invite à visiter, sur

http://fionaetmilla.blogspot.com

J'ai essayé de savoir comment vont les choses à présent, mais pour l'instant je n'ai rien découvert.

Cependant, étant donné la gravité de cette affaire, et sachant que d'autres se déroulent de la même manière, j'ai décidé de mettre ici les mots d'une mère qui se sentait toute seule dans une lutte pour sauver ses filles.

La justice belge, au lieu de la protéger -et surtout protéger ses enfants- l'a accusée d'avoir aliéné les filles de leur père et de la famille paternelle et, plus tard, a même dit que cette mère souffrait du syndrôme de Münchausen.

Je vous prie de lire le texte suivant.
Il n'y a aucun doute.

Fénix Renascida







Recados de Crianças








ISOLEMENT DU PARENT PROTECTEUR

Le parent protecteur, se fiant à la justice de son pays et aux institutions d’aide pour l’enfance, va avoir le réflexe, comme n’importe quel autre parent se retrouvant dans cette même situation, de s’adresser à celles-ci afin de leur confier les révélations d’abus de son enfant et espérer la mise en place urgente des mesures d’aide pour celui-ci. Hélas, le parent protecteur va vite se rendre compte de sa grande solitude face à l’aide qu’il souhaite apporter à son enfant, surtout lorsqu’il comprendra que les pervers institutionnalisés souhaitent le séparer de celui-ci et l’incriminer d’une « pseudo-dangérosité » afin de le discréditer et d’étouffer la vérité des actes criminels commis sur son enfant par les membres du réseau pédophile.

Comment isoler le parent protecteur c’est-à-dire celui qui souhaite protéger son enfant de la violence sexuelle qu’il a subie ?

Les objectifs visés par les pervers institutionnalisés sont identiques à ceux visés pour isoler l’enfant victime d’abus sexuels ; à savoir :

Isolement psychologique : rendre le parent protecteur non crédible en l’étiquetant d’ « aliénant » pour son enfant, c’est-à-dire atteint du « syndrome d’aliénation parentale ».
Le SAP a été défini en 1986 par Richard Gardner, professeur de pédopsychiatrie à l’université de Columbia. Selon lui, il s’agit d’un désordre psychologique qui atteindrait l’enfant lorsque l’un des parents effectue sur lui, de manière implicite, un « lavage de cerveau » visant à détruire l’image de l’autre parent. Lorsque l’opération réussit, l’enfant rejette ou diabolise ce parent qu’il aimait auparavant, et fait indissolublement corps avec le parent aliénant, conformément au désir de celui-ci. Cette théorie est dangereuse non pas dans son fondement mais dans l’utilisation qu’en font les pervers institutionnalisés afin de procéder à l’éloignement du parent protecteur de son enfant. En effet, cette théorie est souvent utilisée dans les procédures judiciaires comme stratégie pour discréditer le parent protecteur et, de cette façon, rendre peu crédible les révélations d’abus de son enfant. Les pervers institutionnalisés diront que le parent protecteur a une « relation

fusionnelle » avec son enfant, qu’il est « aliénant » pour lui et donc « dangereux ». De cette façon, on procèdera au placement de l’enfant en institution afin de l’éloigner du parent protecteur. Cette théorie sera utilisée dans les cas ou’ il n’y a pas de signes physiques d’abus sur l’enfant.

En revanche, dans les cas d’enfants victimes d’abus sexuels ou’ il y a des signes physiques de ces abus (fissures anales, vulvites et vaginites, lésions de l’hymen), les pervers institutionnalisés diront que le parent protecteur est atteint d’une maladie psychiatrique : « le syndrome de Münchausen par procuration ». Ce syndrome décrit un trouble du comportement d’un adulte envers un enfant : la maltraitance de l’adulte sur l’enfant qui consiste en la production volontaire de symptômes physiques ou psychiques.

De cette façon, en taxant le parent protecteur d’ «aliénant » ou de « malade dangereux », il sera plus aisé, pour les pervers institutionnalisés, de le séparer de son enfant. L’abus de ces deux théories dans les procédures judiciaires ajoutera un autre traumatisme à l’enfant puisqu’il n’est pas cru dans son dramatique récit et est donc totalement nié dans sa souffrance et la violence qu’il a subies.

Isolement physique et/ou géographique: cette seconde étape est consécutive à la première (isolement psychologique). Dans ce cas, le parent protecteur, nommé « dangereux » par les pervers institutionnalisés sera isolé dans un centre psychiatrique ou un établissement carcéral .

Isolement social et professionnel: cette troisième étape est consécutive aux deux précédentes (isolement psychologique et physique et/ou géographique). Le but recherché des pervers institutionnalisés est d’isoler le parent protecteur de son tissu social et familial de référence : détériorer son identité psychologique, sociale et professionnelle. Les frais de procédures et le harcèlement juridico-institutionnel envers le parent protecteur augmenteront sa détresse psychologique et économique. Les frais de procédures judiciaires est un autre moyen utilisé par les pervers institutionnalisés pour étouffer la manifestation de la vérité des crimes infligés sur l’enfant victime, en freinant le parent protecteur dans la continuation de ses actions judiciaires.


Tout ceci est le reflet de notre drame vécu durant cinq années pour tenter de sauvegarder mes deux enfants de l’enfer de la pédo-criminalité.

Je tiens à préciser que mon vécu m’appartient et je ne peux donc le transposer à d’autres situations. Je ne souhaite donc pas généraliser mon histoire, qui s’est orientée vers la protection criminelle par les pervers institutionnalisés, au lieu de la protection de mes deux enfants. Cela serait excessif de ma part d’affirmer que toutes les personnes fonctionnant au sein du Tribunal et des institutions de Mons (Belgique) sont corrompues ou n’assument pas pleinement leurs responsabilités. Les pervers institutionnalisés qui ont eu un rôle dans la non protection de mes enfants se reconnaîtront et devront, un jour, purger leur conscience, en espérant qu’ils en aient une !

L’aide tant recherchée pour mes enfants et que je n’ai pas trouvée en Belgique, m’a contrainte à venir en Italie dans le but que justice soit faite et qu’enfin, mes enfants soient reconnues victimes d’abus sexuels par leur père (Antonini Rocco), leur grand-père paternel (Antonini Roberto) et d’autres adultes (le père et le grand-père accompagnaient ma fille aînée, Fiona, dans des lieux ou’ étaient présents d’autres adultes qui abusaient d’elle et d’autres enfants présents).

Suite au mandat d’arrêt pour enlèvement d’enfants émis par la juge Laloux Véronique du Tribunal de Mons (Belgique), j’ai été arrêtée en Italie. Je suis restée quatre jours en prison et seize jours d’arrêt à domicile. Ensuite, j’ai été jugée par la Cour d’appel de Ancona (Italie) et libérée sans condition. Au moment de mon arrestation, mes enfants ont été arrachées à moi et placées dans une institution italienne durant sept mois. Je n’ai pu obtenir des droits de visite que deux mois après l’enfermement de mes enfants, à raison de quatre heures par mois.

Mes enfants étaient en détresse et se sentaient perdues dans un contexte étranger puisqu’elles ne comprenaient pas la langue italienne (leur langue maternelle étant le français) et qu’elles étaient coupées de leur famille et de tous leurs repères familiers.

Malgré les pressions des autorités belges pour rapatrier mes enfants, la Cour d’appel de Ancona (Italie) a révoqué le rapatriement de celles-ci en Belgique, en tenant compte du danger que mes deux filles encouraient en retournant chez leur père.

Il n’existe aucune place aux mots pour exprimer l’entière souffrance de mes enfants, de ma famille entière et de moi-même. Il s’agit d’ une agonie lente et douloureuse que l’on vit au quotidien ; ceci face à l’impuissance des gens qui nous sont proches et qui nous soutiennent mais également face à la lâcheté et au désintérêt absolu des autorités et des institutions qui pourraient prendre des décisions pour la sauvegarde de mes enfants, et qui ne le font pas !

Le 17 mai 2007, le Tribunal de la jeunesse de Ancona (Italie), alors qu’il n’était pas compétent, a émis une décision de rapatriement de mes enfants, en Belgique. Cette décision a donc chevauché ILLEGALEMENT celle de la Cour d’appel de Ancona (qui avait précédemment révoqué le rapatriement).

Le 19 mai 2007, dans le secret le plus strict et sans que je sois avertie, mes enfants ont été enlevées, lors d’une promenade avec d’autres enfants de l’institution, et rapatriées en Belgique chez leur père bourreau.

En mai 2008, la Cour Suprême de Cassation à Rome a cassé la décision émise par le Tribunal de la jeunesse de Ancona, en reconnaissant son incompétence et en affirmant le maintien de mes enfants sur le territoire italien. Mais trop tard ! Mes enfants sont actuellement en Belgique !

Depuis deux ans, je suis sans nouvelle de mes enfants. Le père et les pervers institutionnalisés de Mons (Belgique) s’opposant catégoriquement à tout contact entre mes enfants et moi-même (même par téléphone !), ceci en faisant une absolue abstraction de l’intérêt de mes enfants et en niant totalement les lois internationales sur les Droits de l’Enfant et de l’Homme.

Malgré les diverses requêtes que mes parents et moi-même avons déposées afin d’obtenir ces contacts, les autorités de Mons (Belgique) restent hermétiques et prennent diverses excuses afin d’éloigner ces contacts : ralentissement des procédures civiles, renvoi des audiences au rôle, fixation des audiences dans des délais extrêmement longs (9 mois à un an entre deux audiences), etc.

Le maintien de cette négation de contacts avec mes enfants sert, pour les pervers institutionnalisés, de chantage affectif afin que j’arrête la procédure pénale et que j’enlève les accusations de viols sur mineurs à charge du père, du grand-père paternel et « X ».

En effet, le 21 décembre 2007, le directeur du Service de Protection Judiciaire et de l’Aide à la Jeunesse de Mons, Monsieur BENSAIDA Taoufik, me convoque pour un entretien prévu le 20 décembre 2007 en Belgique. Ne pouvant m'y rendre (car je suis bloquée en Italie suite au mandat d'arrêt européen lancé par mon ex-mari Rocco ANTONINI contre moi pour enlèvement d'enfants; alors que ce même mandat a été révoqué en Italie!), ce sont les avocats des deux parties et le père, Rocco ANTONINI qui y sont présents. Monsieur Taoufik BENSAIDA, déclare durant cet entretien qu'un contact téléphonique sera autorisé entre mes deux filles et moi-même, le 21 décembre 2007 à 17h. Un simple coup de fil qui représentait, pour moi, un soulagement et un espoir énorme puisque je suis sans nouvelle de mes deux enfants depuis le jour de leur rapatriement en Belgique, c’est-à-dire depuis le 19 mai 2007. Cela faisait donc SEPT MOIS que j’étais sans nouvelle de mes deux enfants ! Tout contact même téléphonique ayant été refusé par le père et ses avocats, Maître BARTHELEMY Jean-Emmanuel et Maître DEPETRIS Nathalie, avocats au Barreau de Mons.

Le lendemain, au lieu d'avoir comme convenu mes filles au bout du fil, c’est Monsieur BENSAIDA qui était au téléphone et qui m’expliquait que je devais cesser la "guerre" , « changer de position », « ne plus faire de bruit autour de cette histoire »…. si j’espèrais revoir mes filles. Monsieur BENSAIDA m’a suggéré de retirer mes accusations de pédophilie à charge du père et du grand père paternel.



Pensamentos
Clique aqui para enviar um recado!




Por mieux comprendre cette affaire, lisez ce texte que j'ai trouvé sur
http://collectif-inceste.org/

Les évènements

Maria-Pia Maoloni et Rocco Antonini vivaient près de Mons (Belgique), avec leurs deux petites filles et s’aimaient comme tout jeune couple. Lui est éducateur dans un centre pour enfants handicapés près de Charleroi et elle, enseignante en psychologie dans le supérieur, dans la région de Mons. Rocco est le fils de Roberto Antonini, condamné pour trafic de faux tableaux en 1998 et 2006 avec la complicité d’avocats (voir les liens avec l'asbl maison Leon Losseau - asbl = asso sans but lucratif = asso loi 1901, mais en Belgique), d'un notaire et autres notables (affaire Glineur- Debouche) dans la région de Mons et Bruxelles.
Le mariage bascule en janvier 2004, suite aux révélations de leur fille Fiona à sa maman et à la découverte d’images pornographiques dont certaines à tendance pédophilique ainsi que de centaines de photos d’enfants et de gens inconnus sur l’ordinateur de Rocco. Il ne s’agit pas de pédopornographie, décrétera ultérieurement un juge (alors que récemment l’expertise du disque dur a été faite en Italie dont la Justice a considéré ce contenu comme pédopornographique). Fiona accuse son père ainsi que son grand-père paternel. Elle assure également avoir été abusée par d’autres hommes, en présence d’autres enfants, donnant la description d’un endroit luxueux.
Dès ces révélations, le père a traité sa fille de menteuse et il a quitté le domicile conjugal dans la semaine, jour où il portera plainte contre sa femme pour aliénation parentale. Il reviendra néanmoins quelques jours plus tard, accompagné de son père et d'un serrurier, pour dérober l’ordinateur portable et d’autres appareils vidéo. Elle porte alors plainte contre lui et contre le grand-père pour viol et attouchements sur mineurs, et pour vol.
Aucune enquête sociale réelle et sérieuse n’a été faite chez le grand-père alors que Fiona a donné beaucoup de détails. Ils ont toutefois eu l’interdiction de voir les enfants en dehors de "l’espace rencontre" mais ces visites n’étaient pas toujours surveillées.
Les enfants furent placés en décembre 2004, sous prétexte que la mère "pourrait devenir dangereuse si une autre vérité (judiciaire) se faisait jour". Durant cette période, la mère toujours accusée d’aliénation parentale, s’est évertuée à prouver tout d’abord qu’elle était saine d’esprit. Outre plusieurs rapports de psychologues faits à la demande de la maman, un rapport (unilatéral) très approfondi de sa personnalité a été établi suite à 6 visites, par un médecin psychiatre très renommé à Bruxelles (Dr Golzberg), expert auprès des Tribunaux, afin de contrecarrer les expertises faites à Charleroi, par un centre (C-Bex) désigné à cet effet par la Justice de Mons, où ne travaillent que de jeunes psychologues sans expérience (diplômées en 2003 et 2004). Un autre médecin psychiatre, de Bruxelles (Dr Hebborn), qu’elle a consulté volontairement et régulièrement pendant cette période de placement des enfants, a également attesté de sa normalité.
A leur sortie de l’institution, six mois plus tard (juin 2005), la garde fut accordée à la mère moyennant un droit de visite au père, sans surveillance, un w-e sur 2 et la moitié des vacances mais interdisant tout contact avec les grands-parents paternels. Au résultat, après quelques mois, Fiona et Milla revenaient de chez leur père en pleurant et disant qu’elles avaient mal. Les examens gynécologiques ont démontré à chaque fois qu'elles avaient des vulvites et fissures anales, Fiona a même parlé des attouchements qu’elle avait subis de la part de son père au service des urgences d’un hôpital de Mons, ainsi qu’à plusieurs reprises à son généraliste et au pédiatre. Ces éléments n’ont jamais été pris en considération par la Justice montoise qui parle de médecins "complaisants" ! La maîtresse de classe de Fiona a également témoigné mais ceci est resté sans effet. Plus de 30 témoins, dont la plupart ont déposé un témoignage à la police, n’ont pas été pris en considération.
Child focus et son célèbre service de "mesures préventives vis-à-vis de parents, ou même d’enfant une fois alerté d’un cas potentiel de l'exploitation sexuelle", envoya Maria-Pia chez SOS-ENFANTS de Mons, lesquels n’ont jamais été disposés non plus à la recevoir alors que les enfants se plaignaient en rentrant de chez leur père.
"Fiona aurait beaucoup d’imagination et leur mère aurait elle-même infligé les blessures aux enfants", assurèrent les accusés, thèse qui fut reprise par le Parquet de Mons. Or, le Dr Murillo Perdomo, docteur en psychologie et expert auprès des Tribunaux (à un niveau national et international), qui a fait le suivi psychothérapeutique de Fiona pendant plus d’un an, a envoyé des déclarations spontanées au Parquet de Mons pour leur signaler que les enfants étaient en danger en présence de leur père et dans le milieu paternel, mais ces déclarations n’ont jamais été prises en considération et le spécialiste n’a jamais été entendu, même lors de son déplacement au tribunal de Mons. Bien au contraire, la justice a considéré cela comme un entêtement de la mère à vouloir prouver ce qui ne l’était pas et a décidé de replacer les enfants en institution durant les vacances d’été 2006.
Le 4 octobre 2006, après presque 2 ans d'immobilisme, Maria-Pia emmena ses filles en Italie, au cours d'une période de vacances scolaires qui lui correspondait et alors qu'elle assumait légalement la garde des petites. Ce fut le départ d’un chassé-croisé de procédures d’urgence. Il ne fallut que quarante-huit heures à la justice belge pour lancer un mandat d’arrêt international, l'accusant d’enlèvement parental alors qu’elle avait la garde principale de ses enfants au moment de son départ. Elle fut emprisonnée quatre jours, puis assignée à résidence pendant deux semaines. Le temps que la Cour d’Appel d’Ancône (Italie) décrète qu’il n’y avait aucun fait constitutif d'enlèvement parental en octobre 2006 et la libère, la Justice belge (montoise) avait déchu la mère de ses droits et décidé de rendre les enfants aux présumés pédophiles, sous la décision du Tribunal des Mineurs d’Ancône (qui s’était basé sur le jugement du Tribunal de la Jeunesse de Mons qui venait d'accorder l’autorité exclusive au père).
Quant aux deux enfants, elles furent mises dans une institution italienne dès le début de leur arrivée en Italie, suite à l’arrestation de leur maman. Les deux parents n’avaient la possibilité de les voir qu’au bout de 3 mois à raison d’une fois tous les 15 jours à tour de rôle.
Un autre Arrêt de la Cour d’Appel d’Ancône avait rejeté l’extradition des enfants en décembre 2006. Malgré cela, le juge du Tribunal des Mineurs italien a décidé d’extrader les enfants en mai 2007. Elles ont donc été enlevées avec la complicité de certaines autorités des deux pays. Les enfants ont été rendues à leur père dont l’instruction pour viol est toujours ouverte en Italie et en Belgique. En Italie, un recours en Cassation a été lancé contre la décision de rapatriement des enfants.
Plus de onze mille italiens avaient signé une pétition pour leur protection avant cette expatriation. En Italie, les associations descendirent dans les rues : les marches de protestations se succédèrent.

Alors que, depuis novembre 2006, les noms de Rocco Antonini et Maria Pia Maoloni couvrent la presse italienne, les sites Internet, et que celle-ci est régulièrement invitée sur des plateaux de télévisions italiens, la presse belge a maintenu l'omertà (loi du silence) sur leur histoire.
Le Sénateur italien Antonio Gentile a posé officiellement une question parlementaire à Clemente Mastella, à l’époque Ministre italien de la Justice, sur le comportement de son administration et les éventuelles "pressions de la Belgique". Laurette Onkelinx serait intervenue auprès du ministre italien lors d’un voyage à Rome. En novembre 2006 déjà, juste avant l’Arrêt de la Cour d’Appel d’Ancône interdisant le rapatriement, un avion militaire belge attendait les enfants pour les rapatrier (cfr presse italienne); suite à l’échec de ce rapatriement, le Procureur du Roi Dehalu (de Mons) s’était lui-même déplacé jusqu’à Rome.
Une manifestation importante s’est faite le 20 juin 2007 devant l'ambassade de Belgique à Rome afin de contester la décision de rapatriement des enfants.
Actuellement, un grand avocat italien, Maître Taormina, a décidé de prendre en main, en Italie, la défense des intérêts de la maman et de ses enfants, et par là, de déclarer la guerre à la pédophilie au niveau européen. Tandis qu’en Belgique les choses continuent d'être tues de manière réellement suspecte…
Concernant le volet médico-psychologique, à la demande de l’avocat de la maman, deux expertises supplémentaires et approfondies de la maman ont été réalisées, l’une à Rome, l’autre à Milan, par deux des plus grands experts italiens (Prof. Bruno Francesco et Prof. Gagliardi) et leur équipe attestant, de part et d’autre, n'avoir détecté aucune présence du syndrome de Munchausen par procuration, chez elle, et qu’elle ne représente aucun danger ni pour elle-même, ni pour ses enfants, ni pour autrui.
D’autre part, le recours en Cassation a été gagné ce 27 mai 2008, il casse le jugement du Tribunal des Mineurs de Ancona (qui extradait les enfants en Belgique) et ceci sans pourvoi. Ce qui signifie que la Cour Suprême considère que le rapatriement des enfants en Belgique est illégal et qu’il n’y a pas eu enlèvement d’enfant par la mère, aux yeux de la Justice italienne.
Par ailleurs, la Justice italienne a continué son instruction concernant les faits de viols de la part du grand-père (citoyen italien) et du père; cela a abouti dernièrement au "renvoi au jugement" de la part du Procureur italien et il y aura donc un procès contre le grand-père dont l’audience d’introduction a eu lieu ce 19 décembre 2008 en Italie. La maman se constitue partie civile.
Depuis lors, il y a eu également ouverture d’une instruction pénale pour faits de viols contre le père, ce qui nécessita des démarches plus complexes, vu que celui-ci est de nationalité belge, mais elle est actuellement en cours et risque de suivre celle du grand-père puisqu’ils sont accusés des mêmes faits.
On doit également parler des expertises des dessins de Fiona, qui ont été faites dernièrement par les Dr.Crotti et Magni et qui attestent que celle-ci subit toujours actuellement des abus sexuels.
A ce jour, la maman n’a toujours aucun contact direct avec ses deux petites filles (10 et 6 ans) depuis le jour de leur rapatriement, c’est-à-dire, début mai 2007 et reste sans le moindre contact avec elles car leur père et son avocat, ainsi que le SPJ de Mons lui refusent tout contact même téléphonique, ce qui est inadmissible et constitue en soi un déni de droit.
Depuis le 19 décembre le grand-père paternel, Roberto Antonini est inculpé pour calomnies, pédopornographie et abus sexuels sur sa petite-fille ainée ...
Résumé officiel du Comité de soutien.

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


MusicPlaylist
Music Playlist at MixPod.com

Arquivo do blogue