quarta-feira, 31 de agosto de 2011

LA THÉORIE DU GENRE - A TEORIA DO GÉNERO

Selon cette téorie on naît différent dans le sexe, mais c'est la société qui nous donne un genre (masculin/féminin). Est-ce vrai?



Segundo esta teoria, nascemos diferentes no sexo, mas é a sociedade que nos dá um género (masculino/feminino). Será verdade?

http://www.rfi.fr/emission/20110901-theorie-genre-lycee-fait-polemique


http://www.tigweb.org/youth-media/panorama/article.html?ContentID=22049

La question qui se pose: on naît mâle et femelle et on le reste, et donc on est différents, où on peut devenir ce qu'on veut?

domingo, 7 de agosto de 2011

EST-CE LOGIQUE D'EXIGER LA GARDE ALTERNÉE PAR DÉFAUT?!

(...)

Environ 57 % des femmes qui avaient vécu un incident de violence conjugale au cours des cinq années précédant la tenue de l'enquête ont dit que la violence était survenue à plus d'une occasion, par rapport à 40 % des hommes.

On observe les taux de violence conjugale les plus élevés chez certains groupes de la population, en particulier chez les jeunes adultes de 25 à 34 ans, les personnes vivant en union libre et celles faisant partie d'une famille recomposée.

La violence conjugale était quatre fois plus susceptible de survenir entre des ex-conjoints ou des ex-partenaires qu'entre des conjoints ou des partenaires actuels. En 2009, 17 % des adultes qui ont eu un contact avec un ex-conjoint ou un ex-partenaire au cours des cinq années précédentes ont déclaré avoir été agressés physiquement ou sexuellement par leur partenaire au moins une fois. Chez les adultes qui avaient un conjoint ou un partenaire actuel, 4 % ont été agressés physiquement ou sexuellement durant les cinq années précédant la tenue de l'enquête.

(...)

FONTE: http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/110127/dq110127a-fra.htm

Tenant compte ces résultats, est-ce logique, est-ce bien, de demander la garde alternée par défaut? Ne serait plus logique de laisser les choses se passer comme on faisait auparavant, la garde alternée n'étant appliquée que par décision et commun accord des parents?

Moi je ne comprends toujours pas que les associations de défense des droits des pères, ayant connaissance de tout ça, EXIGENT une loi qui imposerait la garde partagée par défaut!

Mais ils sont fous, ou quoi?!

Comment se proposent-ils protéger les hommes battus (apparemmnt aussi nombreux que les femmes battues, les statistiques disant que les femmes peuvent être encore plus violentes que les hommes) et les enfants, eux aussi victimes?!

sábado, 6 de agosto de 2011

MOI NOJOUD, 10 ANS, DIVORCÉE!

"(...) Au Yémen, j'ai rencontré Reem, 12 ans, qui a obtenu le divorce quelques mois après Nojoud*, et ce malgré l'hostilité d'un juge qui estimait, sans rire, qu'une mariée aussi jeune n'était pas suffisamment mûre pour prendre la décision de divorcer."

in NATIONAL GEOGRAPHIC juin 2011

* Il me faut encore lire MOI NOJOUD, 10 ANS, DIVORCÉE

sexta-feira, 5 de agosto de 2011

A MOTHER'S STRUGGLE - LE COMBAT D'UNE MÈRE

Pour aider cette mère dans son combat, signez la pétition:
To support this mother's struggle, please signe this petition:

http://www.petitiononline.com/mod_perl/signed.cgi?ohsolal&1%20target=


A propos de
A PROPOS DU COMBAT D’UNE MAMAN POUR SON ENFANT

Ce site est dédié au combat d’une maman pour son enfant. Plus de huit années de combat – ou plutôt de résistance – afin d’obtenir de la Justice qu’elle protège un enfant contre le pire de l’humanité : violence, pédophilie, népotisme, manipulation destructrice*.

L’objectif est que Justice soit rendue

Nos armes: Vérité, Amour, Foi, Sagesse

Les obstacles: Le mal ne se repose jamais… Jusqu’à ce qu’il passe son chemin ou qu’il soit défait par la puissance de la vérité et de l’amour

“Maman ! Le Bien finit toujours par gagner. Maman ! On va gagner”.
Mon enfant, Solal Michael Bitton-Georis, il y a trois ans.

A PROPOS DE L’ENFANT, SOLAL GEORIS, AUJOURD’HUI 11 ANS, 11 ANS DE VIOLENCES PATERNELLE ET INSTITUTIONNELLE – par N.S

A ce jour Solal qui n’a fait que crier son désespoir à l’idée de quitter sa maman et d’être déporté d’Israël vers la Belgique, pour y vivre chez son père, est introuvable, ayant choisi d’échapper au sort tragique que lui réservait la justice mais de vivre, privé de sa maman qu’il n’avait jamais quitté, privé de ses deux parents, privé de son environnement habituel. “Je préfère mourrir que d’aller chez mon père”, menaçait-il les experts, les juges, les médias, en vain.

Solal Georis, l’enfant sacrifié, l’oublié de la Justice

Solal Michaël Bitton-Georis 11 ans, au cœur d’une bataille judiciaire de plus de huit ans, est l’oublié de la justice. Né d’un papa belge et d’une maman française et israélienne, il vivait en Israël depuis trois ans et demi, après la France où il a vécu deux ans avec elle.

A l’âge de dix ans, après avoir menacé les juges et experts de se suicider, après s’être activement engagé et battu pour que sa volonté soit respectée, Solal s’est sauvé du domicile de sa maman en juillet 2008 à l’annonce de son expulsion imminente vers la Belgique chez son père avec lequel il n’a jamais vécu, et sur lequel pèsent des soupçons de violence et de pédophilie. Ancienne journaliste diplomatique, sa maman Ronite Bitton, incarcérée depuis lors, dans une prison israélienne, puis placée en résidence surveillée, avec une interdiction totale de sortir, se bat pour protéger son enfant et pour que sa volonté soit respectée.

Improbable, incompréhensible, cette histoire kafkaïenne que vous révèle solalgeoris.com nous apprend que la justice se fait parfois pour les plus puissants, aux dépens et au péril d’un enfant. Comme dans nombre de batailles judiciaires où le gagnant n’est pas la Justice et les victimes mais celui qui sait l’instrumentaliser au mieux pour parvenir à ses fins, en censurant la réalité des faits. C’est ainsi que les autorités en sont venues, dans le cas de Solal, à sacrifier un enfant sur l’autel de la vindicte paternelle rebaptisée « raison d’Etat » pour les besoins de la cause, celle des protections haut placées de l’agresseur

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About
ABOUT A MOTHER’S STRUGGLE FOR HER CHILD

This website is dedicated to a mother’s struggle for her child. An eight year-long struggle, or rather resistance, to get Justice to protect a child against the worst of humanity: violence, pedophilia, nepotism, destructive manipulation*.

The aim is Justice to be done.

The means: Truth, Love, Faith, Wisdom

The obstacles: The evil never rests… Until it is overturned by the power of love and truth
or passes away

“Mummy ! It’s always the Good that wins. Mummy ! We’re gonna win”.
My child, Solal Bitton-Georis, three years ago.

ABOUT THE CHILD, SOLAL GEORIS, AGED 11 TODAY, 11 YEARS OF DOMESTIC AND INSTITUTIONAL VIOLENCE – By N.S.

Up today, Solal who kept on screaming his despair to be deported from Israel to Belgium, from his mother to his father, is nowhere to be seen.
This 11 year old child chose to survive and escape the tragic fate justice gave him, even though it meant being deprived from his mum he’d never left before, deprived from both his parents, deprived from his habitual environment. “I prefer to die than go to my father”, he cried to the experts, the judge, the medias… In vain.

Solal Georis, the sacrified child, forgotten by justice

SITE: http://solalgeoris.com/

segunda-feira, 1 de agosto de 2011

LE PASSEUR D'ENFANTS À LISBONNE

Ça a été hier soir, sur Guilli.

Synopsis de l'épisode 6
Martine et Jean forment un couple uni, surtout depuis qu'ils ont adopté Anouk, une petite fille originaire du Brésil. Ils vivent dans la banlieue parisienne et regardent avec émotion grandir leur enfant. Un jour, ils découvrent un message dans la chambre de celle-ci. L'adolescente leur annonce que sa véritable mère, Illoa, est venue la chercher, et que toutes deux sont parties pour une destination inconnue. Les parents paniquent et font appel à Alex, l'un de leurs amis. Celui-ci retrouve la trace des fugitives à Lisbonne, au Portugal, et parvient à les rencontrer...


Déjà j'ai bien aimé de revoir "ma" Lisbonne, car j'y ai passé quelques années de mon enfance. Forcément, je garde quelques bons (et mauvais) souvenirs.

Et puis l'histoire d'une mère qui, depuis toujours, cherche sa fille, alors que tous croyaient qu'elle l'avait abandonnée à la naissance (en effet, en se réveillant à l'hôpital, on lui avait dit que sa bébé était née morte), ça me dit quelque chose.

Finalement, la mère biologique et la mère adoptive se trouvent face à face. Cette dernière dit à l'autre qu'elle n'est rien, qu'elle est une inconnue. La première lui répond que c'est elle la vraie mère, que sa fille lui ressemble, qu'elle a son sang dans les veines.

La fille s'enfuit, et Alex leur dit que tant qu'elles ne se decident à se parler (elles et le père adoptive, qui est aussi présent, mais le combat se fait entre mères), ils ne verront pas la jeune fille. Le soir, il lui racontera l'histoire de ces deux mères qui se présentent devant le roi Salomon, en l'assurant que ses parents et sa vraie mère vont dialoguer, et que tout finira bien.

L'épisode se termine avec la vraie mère qui décide de lâcher prise, pour le bien de sa fille. Elle lui donne un bracelet fait de comptes, chacune répresentant chaque jour qu'elle l'a cherchée, une larme. Elle veut que désormais sa fille y voit un sourire, car elles se retrouveront tous les vacances.

Eh oui, ce sont toujours les vraies mères qui se sacrifient pour qu'une autre femme ait le bonheur d'aimer son enfant. Pour le bonheur de son enfant.

Mon histoire, finalement, est bien pareille à celle-ci, car j'ai beaucoup lutté -et beaucoup souffert- pour récuperer ma fille aînée, et maintenant je n'envisage qu'à avoir nos petits moments à nous. Malgré la distance, on a une très bonne relation. Et puis, elle a 14 ans, ce n'est plus à moi de décider pour elle. Quand elle voudra, elle viendra. Et si elle ne le veut pas, elle sait que je serai toujours là.

JUSTE UNE REMARQUE: Les parents adoptifs ne seront pas poursuivis pour l'enlèvement d'enfant (pire, ils ont payé pour l'avoir!), alors que la mère biologique, celle qui cherchait depuis toujours son enfant, pourrait bien être condamnée pour l'enlèvement de son enfant! Est-ce bien, ça?

Est-ce bien a quelqu'un -que ce soit un parent adoptif, que ce soit un ex, que ce soit quelqu'un d'autre qui n'a pas d'enfants, ou d'autres enfants- de penser "eh bien, elle a (ou peut avoir) d'autres enfants, elle peut nous laisser celui/celle-là"? Est-ce bien?!

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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