segunda-feira, 10 de janeiro de 2011

POUR ÊTRE UN BON PÈRE, IL FAUT QU'IL SOIT, AVANT TOUT, UN HOMME BON!

Celà dit, il faut que cet homme n'oublie jamais que cette femme qu'il a devant lui (ou qu'il voit sur une photo, ou sur une vidéo) est la fille, la femme, la soeur ou la mère de quelqu'un, et mérite tout son respect -comme si elle était sa propre fille, sa propre femme, sa propre soeur ou sa propre mère- même s'il lui semble que elle ne le mérite pas le respect qu'elle lui demande.

Est-ce qu'il connaît vraiment son passé, pour la juger?
N'existe-t-il pas le trafic humain, l'exploration de la femme?

N'avez-vous pas encore compris que la seule façon de finir avec la prostitution c'est de ne pas la payer?

Et si c'etait votre fille, ou quelqu'un qui vous aimez bien qui était là?
Vous vous rendez compte, au moins?!

Tout ça, c'est vous qui le faites, pas les femmes!!!
Car c'est pour vous qu'on les explore, pas pour d'autres femmes!
On est bien d'accord!

Vous pouvez dire qu'elles aiment bien ce qu'elles font, mais vous savez bien que la plupart non!

Vous pouvez dire aussi que la plupart n'a pas eu la présence de son père, mais, là encore, c'est faux, car la plupart l'a eu... n'ayant pas.

Celles-là sont plus chanceuses, car s'autres ont eu un père qui abusaient d'elles.

Allez écouter leurs histoires, au lieu de chercher ce que vous savez bien.

Vous ne direz plus que la plupart -juste une minorité- n'a pas eu que sa mère à ses côtés. Je m'en doute de cette version.

Pour que quelqu'un soit un bon père, il ne faut pas qu'il soit un héros (inutile de s'en déguiser).

WE DON'T NEED ANOTHER HÉRO!!!

Ce qu'il nous faut, en faite, c'est des hommes bons.
Et des pères qui ne demandent que ce que l'enfant demande.

Voilà les bons pères.
Les héros qu'on attend.

Ceux qui savent bien écouter.
Ceux qui savent bien respecter.

Si vous n'avez fait, jusqu'à présent, qu'écouter bien la volonté de votre enfant, et si vous ne faites pas partie de ceux qui cherchent à avoir quelques bénéfices d'autres femmes (qui pouvaient bien, je vous rappelle, être votre fille, votre femme, votre soeur ou votre mère, car elle l'est de quelqu'un d'autre), ALORS VOUS MÉRITEZ TOUT MON HOMMAGE ET MON RESPECT, car vous êtes un homme bon et un bon père (un père n'est pas un héros, il est juste un être humain qui cherche à être le plus parfait qu'il peut, d'ailleurs tel comme une mère).

Je salue ici LES HOMMES BONS ET LES BONS PÈRES... car, heureusement, il y en a encore!



À SAVOIR: APRÈS LA DROGUE ET LES ARMES, LE TRAFIC DES ÊTRES HUMAINS (LES FEMMES ET LES ENFANTS EN TÊTE) EST LE COMMERCE LE PLUS LUCRATIF!

EST-CE POUR LES FEMMES? EST-CE POUR LES ENFANTS?
NON.

DÉVINEZ, ALORS, POUR QUI...

ÇA, ON LE SAVAIT DÉJÀ!

Et je l'affirmait avant même de lire ces textes... bien qu'ils l'ont dit avant que je l'ai dit! Pouvez-vous les démentir?


TEXTE 1

Les enfants du divorce ont besoin de notre protection

Nous avons reçu le texte suivant de Martin Dufresne, secrétaire du Collectif masculin contre le sexisme. Nous vous invitons, comme toujours, à nous faire parvenir vos textes pour publication à l'adresse webmestre@latribduduverbe.com.


***


Michele Landsberg est une journaliste torontoise dont les écrits irrévérencieux font depuis toujours hurler la Droite en général et le lobby antiféministe en particulier.Dans sa plus récente chronique au Toronto Star, elle démantèle l'argumentation du lobby des mauvais payeurs de pension alimentaire, dont la tactique est de faire supprimer de la loi sur le divorce toute reconnaissance du fait qu'un des parents (devinez lequel) écope habituellement du gros de la responsabilité des soins aux enfants, ce qu'on appelle la "garde".


La diffusion de cette traduction de son texte est autorisée par Michele Landsberg.


Martin Dufresne, Secrétaire

Collectif masculin contre le sexisme

P.S.: Vous trouverez plus de détails au sujet de cette inquiétante réforme -- et de la mobilisation qui vise à la contrer -- sur les sites http://www.anfd.ca et www.owjn.org.


Les enfants du divorce ont besoin de notre protection


par Michele Landsberg, The Toronto Star, 27 juillet 2003


Lorsque je regarde les très bons pères que je connais - des pères affectivement engagés, responsables et affectueux - je m'étonne de voir la paternité représentée sur la scène nationale et même dans le processus législatif par une poignée d'activistes agressifs qui incarnent précisément les valeurs contraires. De bons pères refuseraient tout autant de déclarer la guerre à leur ex-conjointe et d'infliger à leurs enfants des séquelles affectives permanentes qu'ils se refuseraient à détourner les fonds de leur employeur.


Hélas, les amendements à la loi fédérale sur le divorce qui risquent d'être promulgués cet automne ont été gravement influencés par les vociférations d'un groupe marginal de militants patriarcaux et de leurs arrogants alliés au Sénat et au Parlement.


Le ministre de la Justice Martin Cauchon s'apprête à déposer en troisième lecture le projet de loi C-22 où il veut éliminer les termes prétendument irritants de " garde" et de " droit de visite" pour les remplacer par la notion de " responsabilité parentale". Il nous laisse cependant en pleine incertitude. Qu'arrivera-t-il aux barèmes de soutien alimentaire pour enfants? Et à la protection des femmes et enfants qui tentent d'échapper à des hommes violents? Comment assurera-t-on à l'application des ordonnances judiciaires?


Des " plans parentaux" mal définis auront pour effet d'accroître et non de réduire l'achalandage des tribunaux par les ex-conjoints en lutte. C'est ce que l'on constate déjà en Angleterre et en Australie, où des lois semblables ont été adoptées. (John Eekelaar, The Law Quarterly Review, 1996; Rhoades, Graycar et Harrison, " The Family Law Reform Act 1995, The First Three Years". Université de Sidney, 2000).


Oui, il est plutôt étrange de lire des références de style universitaire dans une chronique de journal. Mais chaque fois que j'aborde ce dossier, les justiciers auto-proclamés du lobby des pères se donnent le mot pour harceler de leurs cris l'ombudsman du Toronto Star en réclamant des preuves de la moindre statistique citée et en improvisant leurs propres chiffres pour me démentir.


Alors voilà. Sautez le reste de cette chronique si la question du divorce n'a aucun intérêt pour vous.


Les militants patriarcaux ont habilement créé un écran de fumée, tissé de clichés inexacts, de pseudo-anecdotes et de mensonges éhontés, pour s'approprier la sympathie populaire. Cliché numéro un : " Chaque enfant a droit à deux parents" et " Un enfant, il lui faut un père". Astucieux ça, de déguiser des prérogatives paternelles en " droits de l'enfant". Pourtant, cet énoncé n'a pas le moindre fondement scientifique, Bien sûr, un père affectueux est un bienfait pour n'importe quel enfant. Mais est-ce vrai pour n'importe quel père? Un ivrogne, un batteur de femme, un tyran, ou un masculiniste au comportement infantile? Un homme qui exploite les tribunaux pour harceler son ex-conjointe?


Je ne crois pas.


La " paternité essentielle" dont parle le lobby des pères est affaire d'autorité, de règles, de discipline stricte et d'hétérosexualité imposée. Ils extrapolent à partir des conditions des ghettos des grandes villes américaines pour affirmer sans ambages que " l'absence du père" est la source de tous les malheurs, de la délinquance à la promiscuité des jeunes filles.


Dans les faits, les sociologues ont établi de longue date que les familles monoparentales découlent surtout d'un contexte de pauvreté et de désespoir et que c'est cette pauvreté sans cesse aggravée qui est le facteur le plus nocif. (V.C. McLoyd, " Socioeconomic Disadvantages and Child Development", American Psychologist, 1998)


Judith Wallerstein, qui fait autorité aux États-Unis quant aux incidences du divorce chez les enfants, conclut d'une étude menée sur 25 ans : " Il n'existe aucune preuve empirique de liens entre la fréquence ou la quantité de contacts entre le parent non gardien et l'enfant et des résultats positifs chez l'enfant." L'absence de conflits, écrit-elle, pèse beaucoup plus lourd dans la balance. (Family and Conciliation Courts Review, 1998).


Malheureusement, la revendication de la garde conjointe obligatoire est pratiquement devenue un article de foi pour le mouvement des pères rancuniers. Pourtant, les études sont unanimes à dire que ce sont précisément ces gens-là qui, dans l'intérêt des enfants, ne doivent pas l'obtenir. Les couples très conflictuels placés en situation de garde conjointe ou partagée sont précisément ceux qui imposent aux enfants un état de guerre permanente. La Californie a été le premier territoire à adopter des lois sur la garde conjointe, mais elle a dû les modifier quand des effets néfastes ont commencé à se manifester. Les enfants de la minorité de parents aigris souffraient de dépression, de retrait, de troubles physiques et d'échecs sociaux. (Janet R. Johnston, Family and Conciliation Courts Review, octobre 1995)


La meilleure solution de garde pour ce " sous-groupe particulier", écrivait Johnston, est de " permettre aux parents de se dégager l'un de l'autre", une séparation stricte, dotée de plans de visite clairs et précis, avec le minimum absolu de prise de décision en commun.


Suis-je la seule à avoir le sentiment d'une catastrophe imminente? Selon le régime de " responsabilité parentale" du ministre Cauchon, les mieux ajustés des couples qui divorcent vont simplement continuer de faire ce qu'ils ont toujours fait, soit convenir mutuellement de dispositions de garde justifiées.


Par contre, les conjoints violents et les maniaques du contrôle vont être jetés dans le dédale des " plans parentaux". Les mères vont se retrouver avec tous les soins matériels aux enfants (même dans les cas de garde dite partagée, les mères en viennent à écoper de la presque totalité des soins; N. Marcil-Gratton et C. Le Bourdais, Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes, 1999), tandis que les pères vont jouir d'un pouvoir juridique sans précédent de s'interposer dans les décisions prises sur presque tous les aspects de la vie quotidienne de l'enfant.


Les lobbyistes du droit paternel insistent, avec fureur, que tous les tribunaux sont biaisés et accordent automatiquement la garde aux mères.


Dans un rapport officiel déposé devant la Cour suprême de l'État du Massachussetts en 1990, des chercheurs ont reconnu avoir amorcé leur étude avec cette même perception d'un biais judiciaire en faveur des femmes. Ils ont constaté le contraire. (New England Law Review, 1990) Si la plupart des femmes conservent la garde physique de leurs enfants après un divorce, ce n'est pas par discrimination mais par consensus des parents. Lorsque des hommes s'adressent aux tribunaux pour obtenir la garde, on leur accorde une garde exclusive ou conjointe dans plus de 70 pour cent des cas.


La situation est depuis longtemps la même au Canada. Glenn Rivard, conseiller supérieur du ministère fédéral de la Justice, m'a à deux reprises confirmé, au cours des années 90, que, même si les statistiques officielles étaient dans un tel désordre qu'il était impossible d'y lire un portrait fidèle de l'ensemble des décisions judiciaires rendues partout au Canada, il était d'opinion bien informée que " lorsque des pères demandent la garde, ils l'emportent dans environ 50 pour cent des cas".


Les pères se laissent peut-être prendre à leur propre propagande.


Il n'est pas vrai non plus, malgré les histoires d'horreur qu'on nous clame, que la plupart des mères entravent malicieusement l'accès des hommes à leurs enfants. Selon la recherche, le déni d'accès n'est un problème réel que dans 2 à 5 pour cent des cas. (D. Perry, Canadian Research Institute for Law and the Family, Calgary, 1992)


Le problème beaucoup plus répandu est celui du père erratique ou entièrement absent qui déçoit ses enfants en n'exerçant pas ses droits de visite. Plus de 40 pour cent des parents disposant de ces droits ne voient que rarement ou jamais leurs enfants. (Évaluation de la Loi sur le divorce, Ministère de la Justice, 1990)


Et qu'en est-il de toutes ces horribles " fausses allégations" de violence sexuelle, réputées avoir détruit les vies de tant d'hommes, à en croire les sanglots et les cris des lobbyistes patriarcaux devant le tristement célèbre Comité mixte conjoint sur la garde et les droits de visite des enfants? Témoignages de pacotille. Une foule d'études démontrent que les fausses allégations se limitent à de 8 à 16 pour cent des cas (Professeur Susan Penfold, Revue canadienne de la femme et du droit, 1997). Et ce n'est que dans deux pour cent des cas que ces allégations surviennent dans le contexte de litiges acerbes de divorce. (Penfold, Id.)


Fait révélateur : 21 pour cent des allégations de violence formulées par les pères sont des mensonges délibérés, alors que les allégations des mères ne sont intentionnellement fausses que dans 1,3 pour cent des cas. (Nicholas Bala, Canadian Family Law Quarterly, 1999)


J'ai des tonnes d'autres statistiques mais, vous savez, j'en suis aussi saturée que vous. Il demeure que nous ne pouvons risquer de porter préjudice aux enfants en laissant le gouvernement céder face aux prétentions sans fondement du lobby des pères aigris.

FONTE: http://www.latribuduverbe.com/



Crianças
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TEXTE 2


posté le
21/02/06 à 09:23
par : lenfantdabord


Les enfants d'aujourd'hui ont besoin de notre protection
Oui, les enfants de parents séparés ont besoin de notre protection.

Si la majorité des pères se comportent avec tendresse pour leurs petits ( mais ceux-là ne demandent pas la moitié voire la totalité de leur enfant s'il est petit, ne le considèrent pas comme une propriété, un bien-objet) bien d'autres ne cherchent qu'à se venger de leur conjointe qui a "osé" les quitter et n'hésitent pas à se servir de l'enfant pour assouvir cette vengeance.

Dans ces cas là, beaucoup plus fréquents qu'on le dit, la médiation ne sert à grand chose.

Quand des pères et mères établissent une RA amicalement, c'est qu'il y a une confiance mutuelle due au fait que le père s'est bien occupé de son enfant avant la séparation. Si l'enfant ne supporte pas le rythme qu'on lui fait subir, le papa attentif et qui aime son enfant accepte de modifier le mode de garde, il aime trop son enfant pour lui faire prendre le moindre risque, et la maman n'a pas besoin de saisir la justice.

C'est pour cette raison qu'une grande majorité de pères ne demandent pas de RA tout en voulant voir leurs enfants régulièrement et pas seulement un week end sur deux.

Mais il en va tout autrement avec les autres. Et la justice, incapable aujourd'hui de savoir ce qui se passe derrière chaque situation leur donne souvent raison.
Et là c'est une catastrophe pour tous ces enfants devenus des otages.

Que se passe-t-il quand ces enfants sont tout petits ?

Ce ne sont jamais ces "pères" qui s'occupent d'eux mais la grand mère paternelle, la nouvelle copine qui se prend pour la mère bien qu'elle s'en défende, qui parle de "notre petit bout" lorsqu'elle parle de cet enfant, qui l'accopagne à l'école ou à la crèche ou va le chercher.
La qualité du lien mère-enfant les premières années de la vie dont on connait l'importance pour le restant de l'existence en est atteinte.

Il faut donc faire cesser cette maltraitance en imposant aux juges une grille de lecture des rythmes d'hébergement en fonction de l'âge des enfants et du contexte familial.

C'est ce que nous demandons et qu'a proposé la commission famille.

FONTE: http://forum.aufeminin.com/

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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