terça-feira, 19 de julho de 2011

VIOLENCE CONJUGALE

Étude de l'OMS

Une étude menée par l'[[Organisation mondiale de la santé]], basée sur des interviews de 24 000 personnes dans 10 pays différents, montre une prévalence de violence conjugale variant suivant le site entre 15 et 70% des femmes interrogé[http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140673606695238/abstract ''Prevalence of intimate partner violence: findings from the WHO multi-country study on women's health and domestic violence''], C Garcia-Moreno, H Jansen, M Ellsberg, L Heise, C Watts, Lancet 2006; 368:1260-1269.
Dans ce cas aussi, il est dommage que les concepteurs de l'enquête n'aient pas jugé utile d'interroger les hommes, et cela officiellement pour des raisons de coût. Les hommes violentés sont aussi nombreux dans les pays du Tiers-monde que dans les pays occidentaux.
Les femmes subissent en majorité les violences au sein du couple (violences psychologiques, verbales, contraintes économiques, agressions physiques et violences sexuelles). Elles sont victimes d'hommes immatures, égocentrés ou présentant de graves troubles de la personnalité ("''On reconnaîtra ici les dynamiques paranoïaques ou les aspects mégalomaniaques, privilégiant l’emprise dans leur approche de l’autre''.") [rapport du Dr Coutanceau - Ministère de la cohésion sociale - 2006][http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/064000270/0000.pdf ''Auteurs de violence au sein du couple : prise en charge et prévention ''], COUTANCEAU Roland ,
FRANCE. Ministère de la cohésion sociale et de la parité - Paris ; Ministère de la cohésion sociale et de la parité - Mars 2006; Documentation française - p. 10-12
Pour certains, la violence est la réponse « normale » à ce qu'ils considèrent comme un « refus d'obéissance », ils ont vu leur père frapper leur mère, ont une tolérance minimale à la frustration, ne savent régler autrement les conflits et trouvent donc naturel de frapper leur compagne.
Très souvent les femmes n'osent pas dénoncer cette violence de peur de représailles sur les enfants du couple: elles se sentent coupables et responsables de l'échec du couple et de la situation de violence. Elles ont aussi peur de se retrouver sans ressources, si elles ne sont pas indépendantes financièrement. Tous ces éléments font que cette situation perdure, malgré des prises en charges sociales et des démarches auprès des forces de l'ordre.
Outre les violences physiques, demeurent les violences morales, privation de libertés (enfermement, séquestration, etc.), privation d'autonomie (confiscation de revenu, de véhicule, etc.), volonté d'aliénation (aliénation économique, administrative, etc.), etc.
Il est notable de constater que la violence conjugale touche tous les milieux sociaux-culturels, y compris les plus favorisés intellectuellement comme le montre l'affaire [[Marie Trintignant]]-[[Bertrand Cantat]].




Violences conjugales envers les hommes

Dès [[1977]], la sociologue américaine [[Suzanne Steinmetz]] crée le concept de {{citation|mari battu}}, ultérieurement remplacé par celui d'{{citation|homme battu}}. Dans une étude de 1980 (''Behind Closed Doors - Violence in The American Family''), comprenant une enquête de victimisation, Strauss, Gelles et Steinmetz affirment que les femmes commettent la moitié des violences physiques domestiques. Selon eux, les hommes causent plus de dommages directs aux femmes, mais les femmes qui utilisent des armes peuvent provoquer des blessures très graves. Suzanne Steinmetz a écrit : {{citation|Le crime le plus sous-estimé n'est pas la femme battue, mais le mari battu.}}
Dans le monde francophone, plusieurs enquêtes de victimation vont dans le sens de l'équivalence quantitative des violences conjugales. Pour le Canada, c'est le cas de l’ESG, menée en 1999 et en 2004. En Suisse, c'est le cas d'une enquête d'enseignants de l'Institut de la famille de Fribourg, Guy Bodenmann et Barbara Gabriel, en 2002. Elles aboutissent à des évaluations analogues : de 1 à 2% de victimes pour chaque sexe durant l'année précédant l'enquête.
Une série de témoignages sont disponibles dans la thèse d'une travailleuse sociale suisse, Sophie Torrent, intitulée ''L'Homme battu'',[http://optionsante.com/livres.php?livre=11] et dans ''La Cause des hommes'' de Patrick Guillot.
En France, l'enquête française BVA/''L'Express'' de juin 2005, posant à des hommes les mêmes questions concernant les violences psychiques que celles posées à des femmes par l'enquête ENVEFF, aboutit aux mêmes résultats.
La première enquête ''Cadre de vie et sécurité'' de l'OND, portant sur les années 2005-2006 et publiée en 2007, évalue à 0,7% la proportion d'hommes violentés, ce qui équivaut en population à 120 000. La même enquête pour 2007-2008 l'évalue à 0,4% soit 110 000. Et, pour 2009 (une seule année), à nouveau à 0,4% soit 78 000.
Pour 2007, la gendarmerie comptabilise 2317 faits constatés de violence conjugale contre des hommes, soit une augmentation de 39,3% sur un an, la police n'étant malheureusement pas en mesure de fournir son propre comptage. Ce chiffre est très en dessous du chiffre réel des violences, car la plupart des hommes concernés n'osent pas porter plainte, pour plusieurs raisons : les services d'aide, comme le 3919, sont officiellement présentés comme réservés aux femmes; ils ont peur de ne pas être crus ou d'être ridicules; ils craignent de subir une plainte reconventionnelle de la part de leur conjointe à laquelle sera accordée une bien plus grande crédibilité; ils craignent de provoquer une séparation conflictuelle, qui impliquerait la perte de contact avec leurs enfants, dont la mère a toutes les chances d'obtenir la résidence principale [http://www.sos-papa.net/pages/m%C3%A9canismes.htm].
L'évaluation des homicides conjugaux fait apparaître que des hommes sont tués par leur conjointe chaque année : 46 en 2003-2004, 31 en 2006, 26 en 2007, 27 en 2008, 25 en 2009.
Malheureusement, un certain nombre de violences graves perpétrées contre les pères par les mères dans les couples en situation de divorce ne sont pas comptabilisées comme "violences conjugales". Il s'agit notamment des fausses accusations de violences physiques ou sexuelles à l'encontre des enfants, du délit de non-représentation des enfants très peu sanctionné en France lorsqu'il est le fait d'une mère, de l'aliénation parentale des enfants, des déménagements à longue distance rendant difficiles le droit de visite du père.
D'autres cas de violences fréquentes faites aux hommes sont matérialisés par des dénonciations calomnieuses de viol ou d'agression sexuelle à des fins de vengeance ou provoqués par le sentiment de culpabilité d'avoir cédé à une sollicitation sexuelle.



FONTE: Wikipédia (violence conjugale)









"Pour 2007, la gendarmerie comptabilise 2317 faits constatés de violence conjugale contre des hommes, soit une augmentation de 39,3% sur un an, la police n'étant malheureusement pas en mesure de fournir son propre comptage. Ce chiffre est très en dessous du chiffre réel des violences, car la plupart des hommes concernés n'osent pas porter plainte, pour plusieurs raisons : les services d'aide, comme le 3919, sont officiellement présentés comme réservés aux femmes; ils ont peur de ne pas être crus ou d'être ridicules; ils craignent de subir une plainte reconventionnelle de la part de leur conjointe à laquelle sera accordée une bien plus grande crédibilité; ils craignent de provoquer une séparation conflictuelle, qui impliquerait la perte de contact avec leurs enfants, dont la mère a toutes les chances d'obtenir la résidence principale [http://www.sos-papa.net/pages/m%C3%A9canismes.htm].
L'évaluation des homicides conjugaux fait apparaître que des hommes sont tués par leur conjointe chaque année : 46 en 2003-2004, 31 en 2006, 26 en 2007, 27 en 2008, 25 en 2009.
Malheureusement, un certain nombre de violences graves perpétrées contre les pères par les mères dans les couples en situation de divorce ne sont pas comptabilisées comme "violences conjugales". Il s'agit notamment des fausses accusations de violences physiques ou sexuelles à l'encontre des enfants, du délit de non-représentation des enfants très peu sanctionné en France lorsqu'il est le fait d'une mère, de l'aliénation parentale des enfants, des déménagements à longue distance rendant difficiles le droit de visite du père".





Pourtant les pères exigent une loi qui impose la garde alternée par défaut, ce qui peut entraîner, à mon avis, une perpétuation de la violence (même si on laisse dehors les cas où l'un des membres du couple est violent, il est certain que cela n'est toujours pas facile à voir, et plusieures fois ignoré, surtout -à croire ce qui est dit et écrit ici- dans les cas où est l'homme la victime). On ne comprends toujours pas cette exigeance...


Reste à évaluer les accusations d'abus sexuel faites par les femmes, soit sur elles-mêmes soit sur les enfants, quelques fois ignorées ou considérées "fausses". Parfois les victimes se transforment en accusées, et on voit bien des cas de mères de familles accusées en justice d'aliénation parentale. On les accuse de tout faire pour séparer l'enfant ou les enfants de leur père, alors qu'elles essayent uniquement de les protéger. Il ne faut pas ignorer qu'un homme innocenté par la justice n'est pas forcément un homme innocent. Aussi, il faut abandonner l'idée qu'un homme violent n'est pas forcément un mauvais père.

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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