segunda-feira, 31 de janeiro de 2011

JE FAIS DES ENFANTS AVEC QUI JE VEUX, QUAND JE VEUX!

Ah, ça se sont les feministes qui le disent, vous me le direz.
Eh bien, vous vous trompez. Ça, se sont les hommes qui le disent.

Au moins ceux qui font partie d'une certaine association (pour les hommes, bien sûr), qui défend le droit de réjeter la paternité d'un enfant à venir.


Je crois que ce droit, ils l'ont déjà.
A moins qu'il veulent le droit de faire une femme avorter, s'ils sont bien décidés à ne pas avoir d'enfants à ce moment là...

Ce qui est en question pour eux, ce sont les femmes qui leurs disent qu'elles prennent la pilule, et qui tombent enceintes après une relation passagère, voire d'un soir.

Je suis d'accord: ce n'est pas bien de leur dire une chose, alors qu'elles veulent une autre. Mais, messieurs, notre nature n'est pas tout à fait la vôtre, bien au contraire. Donc c'est bien normal qu'on ait -nous, les femmes- ce désir de grossesse.

Un homme peut devenir père, tout aussi comme la femme peut devenir mère. Mais il ne peut pas avoir une grossesse. Même si on pretend que la grossesse se vit à deux, seule la femme la vit. L'homme vit la grossesse de sa femme, à sa manière. Mais il ne peut pas savoir ce que c'est de la vivre vraiment, d'en avoir le désir.

Alors, messieurs, si vous ne voulez pas qu'une femme -la vôtre ou une autre- tombe enceinte, mieux vaut que vous ne faites rien avec cette femme. Si vous ne voulez pas d'enfants, ne faites rien.

Car vous ne pouvez pas empêcher notre désir de grossesse. C'est dans notre nature. La plupart de nous pense à autre chose que le sexe, vous le saviez?

Si nous ne pensions qu'à ça, nous ne serions plus des femmes:
nous nous aurions transformé en hommes!

Si vous ne voulez que du sexe, vous n'avez qu'à trouver un autre homme.
Car. messieurs, la nature ça se change pas.



"Ao longo da nossa história evolucionária, homens e mulheres defrontaram diferentes oportunidades e constrangimentos. Para o homem o sexo casual com uma estranha representava um risco menor – infecção, descoberta pela mulher – e uma grande recompensa potencial: a adição a baixo custo de mais uma criança ao seu património genético. Os homens que agarraram tais oportunidades deixaram certamente mais descendentes do que os homens que o não fizeram. Por isso, e uma vez que por definição somos descendentes dos antepassados mais prolíficos, torna-se razoável defender que os homens modernos possuem traços de oportunismo sexual. Praticamente todos os machos mamíferos o possuem, mesmo aqueles que são predominantemente monogâmicos. O que não quer dizer que todos os homens sejam irremediavelmente promíscuos ou que todo o homem seja um potencial violador; apenas que os homens são mais facilmente tentados pelas oportunidades do sexo ocasional do que as mulheres."
Matt Ridley, Red Queen

(ver o post DIREITOS IGUAIS, CONSOANTE AS DIFERENÇAS E AS NECESSIDADES)

domingo, 30 de janeiro de 2011

UN PAPA PAUMÉ, LÂCHE ET ÉGOCENTRISTE, SELON XAVIER DE MOULINS

"J'adore les femmes enceintes"
(Xavier de Moulins)


Xavier De Moulins, présentateur du “19.45” sur M6 publie son premier roman, “Un coup à prendre”, narrant l’histoire d’un homme, séparé de sa femme et qui va devoir s’occuper une semaine sur deux de ses filles… Une réflexion sur la paternité inspiré de la vie du journaliste sans être autobiographique (“Cela reste une fiction” précise l’intéressé). Il décrit son personnage comme “un papa paumé, lâche et égocentrique.” (TRADUTION: "Um pai caloteiro, covarde e egoísta.")


FONTE: http://teleobs.nouvelobs.com/





L’histoire. Après dix ans de mariage, Antoine Duhamel a décidé de quitter sa femme...

Xavier de Moulins (© DR) (© DR)
L’histoire. Après dix ans de mariage, Antoine Duhamel a décidé de quitter sa femme. Depuis les naissances de leurs filles, sa relation avec Alice n’a plus grand-chose à voir avec le couple dynamique, sexy et amoureux des débuts. C’est pourtant bien par amour qu’il avait accepté de s’engouffrer dans « la spirale d’une paternité à rebrousse-poil ». Déplorable faiblesse. Alma et Claire l’ont relégué à l’arrière-plan, lui ont volé Alice. Pire, elles l’ont défigurée, obligeant leur papa à prendre une maîtresse – après tout, il ne s’était pas marié avec une grosse femme pleine de cernes. Il lui aura fallu plusieurs années avant d’oser mettre fin à la comédie du père modèle et du mari fidèle. Mais « les pires, ce sont les pères de famille respectables qui ont la trouille de quitter leur petit confort ». Voilà en tout cas ce dont Antoine a réussi à se convaincre, pour légitimer sa fuite. Sauf qu’il n’en reste pas moins père: une semaine sur deux, seul avec ses filles.

Sur le même sujet
28 janvier - Rencontre avec Xavier de Moulins (75009)
L’auteur. Xavier de Moulins est journaliste. Après avoir été pigiste pour « le Monde », « Vogue » ou « les Inrockuptibles », il apparaît à l'écran dans « Nulle Part ailleurs », « +Clair », « Nous ne sommes pas des anges » et enfin dans « Paris Dernière ». Il travaille aujourd'hui pour M6.

Notre avis. En se glissant dans la peau du méchant qui décoche, avec une délectation ostentatoire, une ribambelle de formules aussi croustillantes que provocatrices, Xavier de Moulins aurait pu manquer son coup, et réduire son roman à une joyeuse gaudriole sur le thème du divorce. Heureusement, sa gouaille sonne juste, pour dire l’amour en fuite et la déchéance affective de cet avatar d’Antoine Doisnel, mais aussi l’incompréhension mêlée de tristesse de ses filles. Un récit drôle et tendre sur une déchirure familiale tristement banale.

Jonathan Reymond

Un coup à prendre, par Xavier de Moulins,
Le Diable Vauvert, 196 p., 17 euros.

Source : «Le Nouvel Observateur» du 20 janvier 2011.

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Description

« C'est pour rester proche de mes filles que je me suis installé à trois rues de leur mère, trois semaines tout juste après l’avoir quittée pour une autre.
Pourtant, j’ai toujours été contre la rupture de proximité. Plutôt du genre à penser que lorsqu’un couple se viande et enterre son histoire, il convient de séparer les tombes, ne pas faire cimetière commun. Je m’étais même toujours dit que, si un jour ça nous arrivait à Alice et moi, eh bien que j’irais me refaire à l’opposé, question de principes et de territoire. Bien sûr, j’ai fait l’inverse. Et j’ai cherché la bonne distance, pour installer un nouveau chez-moi.
La bonne distance, c’était la croisée des chemins entre vie d’avant et vie à venir, entre deux saisons, l’été et l’hiver. C’était simple en théorie, jeté comme ça sur le papier.
La bonne distance, c’était une sorte de Yalta, un partage sinon du monde, du moins d’un arrondissement, d’un quartier, d’une rue, sans casque bleu pour maintenir la paix, mais un processus, un accord tacite comme entre deux pays belligérants, entre deux bandes rivales au lycée. Avec Alice, on s’était mis d’accord dans l’intérêt des enfants. »

Antoine Duhamel, trentenaire parisien, est marié, et a jusque-là vécu la précarité de son métier d’auteur dans le confort matériel, grâce au salaire de sa femme. Seulement, après dix ans de mariage, il fait l’amer constat que « notre couple sonnait comme tous les couples. Loin des promesses de nos débuts, nous étions devenus des déchets radioactifs : narcissiquement morts, spirituellement éteints, physiquement à l’abandon, psychologiquement ratatinés, affectivement ruinés, vautrés dans un confort de routine. » Père de deux filles, lassé de vivre dans le mensonge conjugal, il prend la décision de quitter sa femme. D’emménagement en garde alternée, la solitude va le confronter à ses deux filles et à une paternité jamais encore totalement assumée. « J’ai attendu pour être Père de ne plus vivre avec ma femme et ça m’a pris du temps parce que comme beaucoup d’homme, j’ai du mal à faire deux choses en même temps. »

Xavier de Moulins a la formule qui fait mouche et le regard précis. Son roman a la tristesse élégante. À la première personne, avec humour, mais aussi une lucidité rehaussée des traits d’un satiriste, il se livre ici à l’observation d’un homme d’aujourd’hui qui apprend combien est douloureux le chemin « de la rupture à la séparation ». Après la misère sexuelle des romans de Houellebecq, c’est bien la misère affective que vient explorer ce court et émouvant roman.



Langue français
ISBN-10 2-84626-285-3
ISBN-13 978-2-84626-285-9
Année de publication janvier 2011
Prix recommandé 17,00 €

FONTE: http://www.audiable.com/

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VOICI: Dis-nous, ça t'est venu comment, cette idée d'écrire un livre sur un père qui se met à aimer ses enfants seulement après avoir quitté sa femme?

XAVIER DE MOULINS: En regardant les pères seuls dans le parc. A l'époque, j'étais moi-même un père célibataire et je me suis demandé lesquels vivaient en famille, lesquels étaient déjà séparés, lesquels allaient bientôt l'être. A partir de là, mon roman s'est presque écrit tout seul.

(...)

VOICI: L'histoire semble très autobiographique. Or, au début, ton personnage est assez faible, voire lâche...

Mon livre pose la question de ce qu'est un bon père. Et moi, je n'en sais toujours rien! Contrairement à ce que vous pensez, ce type dont je raconte l'histoire est assez loin de ce que je suis, même si j'ai été moi aussi faible et lâche par moments. Mais qui ne l'a jamais été?

VOICI: Un homme doit nécessairement rompre pour devenir enfin un père responsable?

Non, mais on met plus souvent plus de temps que les femmes à comprendre ce qui implique l'arrivée d'un enfant. Devenir parent aujourd'hui c'est un sport de combat. Ça peut vraiment noyer sa vie de couple si on n'y prend pas garde.

VOICI: Du coup, tu proposes une super solution: "Si la vie était bien faite, les papas auraient plusieurs femmes, et les femmes plusieurs maris, mais en même temps". C'est une ode à la polygamie?

C'est mon personnage qui dit ça à travers sa propre souffrance. Mais non, personnellement, la polygamie n'est pas vraiment ma tasse de thé

(...)

FONTE: VOICI nº 1212

sábado, 29 de janeiro de 2011

MA CHÉRIE, JE T'AIME!

Ma petite, qui n'a que 5 ans, me le dit tout le temps. Et ceci, elle le fait même au milieu de la rue ou dans un magasin.

Hier, elle le disait, à haute voix (oh, la honte!), à l'Intermarché.
Les gens qui l'entendaient -forcément- souriaient.

Quesques-uns peuvent trouver ça anormal, étant donné que, d'habitude, une fille à cette âge se lie plutôt à son père. La mienne aussi, est liée à son père. Ils ont une relation très particuliaire.

On peut me juger comme "fusionnelle", mais je ne le suis pas. Le père a toujours existé dans mes discours et mon attitude, et si elle s'est raprochée de lui, c'est parce que je l'ai proportionné.

Même les filles qui s'attachent à leur père, et qui ne veulent que lui, restent toujours amoureuses, que ce soit dans son inconscient, de leur mère. En faite, toutes les filles, tout comme les garçons, aiment toujours sa mère, car la mère est notre premier et dernier amour.

L'exemple de ma fille aînée le démontre, car, même vivant séparée de moi il y a quelques années (à cause d'une décision de la justice qui disait que sa volonté de vivre avec moi n'était qu'un caprice!), elle reste encore attachée à moi. Même la justice ne peut pas couper le cordon ombilical qui nous attache l'une à l'autre.

Ma petite est, peut-être, encore plus attachée à moi, mais je sais qu'elle ressentirait beaucoup si elle n'avait plus son père. Je l'ai fait présent, dès le début, dans sa vie. Je ne peux pas le faire absent, car il fait déjà, il y a longtemps, partie de sa vie. Le perdre serait perdre une partie d'elle même.

Moi, je reste pour autant son monde.
Et ce n'est pas grave si je le reste pour toujours.
Celà ne l'empêche pas de grandir, d'avoir son indépendance.

Je sens que je ne mérite pas autant d'amour qu'elle éprouve pour moi, même parce que je ne suis pas aussi attachante qu'on me le croit.
Je l'aime, mais je suis humaine, très loin d'être une mère parfaite.

"Oh mon amour, ma belle, que je t'aime!", me dit-elle.

Il faut que je l'aime comme elle le mérite, sans l'éttouffer.
Je veux pas qu'un jour elle se sent tellement perdue, tellement abandonnée, qu'elle finisse par se donner la mort, comme on voit bien de jeunes enfants faire à présent.



Pais e Filhos
Coloque uma linda página inicial no seu Internet Explorer!!!

sexta-feira, 28 de janeiro de 2011

PERGUNTA CRUCIAL!

Desde quando existe assim tantos suícidios, seja de crianças (cada vez mais novas!), de adultos ou de idosos?

Reflictam bem.

quinta-feira, 27 de janeiro de 2011

CONTRA A TIRANIA DE MADAME E. BADINTER!

Os filósofos, com as suas permanentes questões, têm esse condão de complicar ainda mais aquilo que se apresenta de forma simples!

Felizmente para nós, quando nasceu esta ciência, já existia a maternidade!

Aliás, sem ela não estávamos cá.
Não estando cá, não haveria filósofos.
E isso, em certos casos, seria uma sorte.

A natureza sempre foi aquilo que é.
O Homem, com toda a sua filosofia e toda a sua cultura, é que a condiciona a seu bel-prazer.
Não tanto a natureza dos animais, mas a nossa.

Assim se explica que, em determinados lugares, a maternidade seja privilegiada, noutros não.

Todos concordam que o uso da burka não é natural.
Contudo, a mulher interiorizou o seu uso como algo natural.

Então, e a maternidade?
É natural amamentar?
É natural uma mãe cuidar dos filhos, tal como o vemos entre os outros mamíferos?

E. Badinter diz que não.

Contudo, tanto quanto sabemos, uma outra fêmea o faz muito naturalmente. Porque não nós?

Porque a sociedade (em determinadas culturas) nos diz que não é natural.

E. Badinter chega mesmo a referir o caso das mães do século XIX, que deixavam os filhos aos cuidados de amas, sendo mesmo estas quem os amamentavam.

Mas ela sabe (suponho que saiba...) que isso apenas sucedia nas classes sociais mais altas, pois nas mais baixas as crianças beneficiavam dos cuidados das suas próprias mães.

Ora eu acredito que, instintivamente, a mãe quereria ter o seu filho nos braços, , contudo essa mãe acreditaria que esse sentimento, essa vontade de pegar no seu filho, de ser ela a cuidar dele, não era natural.
Pelo menos não o era -assim acreditava essa mãe, porque a cultura da época lho impusera- para alguém da sua classe.

Por termos diferentes comportamentos, consoante as épocas, se conclui que a cultura consegue, se assim o determina, aprisionar os nossos instintos mais naturais.

Quantas dessas mulheres não invejariam a posição das mulheres do povo, muito mais livres do que elas próprias?

Quando E. Badinter se insurge contra a tirania da maternidade, eu dou-lhe uma certa razão.

Ainda que sendo a melhor pessoa para se ocupar dos filhos -nem Badinter nem qualquer outra pessoa me convencerão do contrário-
uma mãe não é perfeita.

Nem mesmo entre os mamíferos existe essa perfeição (já se viu fêmeas a abandonar as crias, embora seja raro, mas nem por isso o macho se impôs, querendo ocupar o seu lugar).

Que o pai se envolva, sim.
Que queira tomar o lugar da mãe, essencial para um recém-nascido e para a criança nos seus primeiros anos de vida, não.

Nenhuma mãe deve ser obrigada a amamentar, certo.
Dizer que ela é má mãe por decidir não o fazer, é ir longe demais.
Mas uma mãe que decide amamentar o seu filho é certamente melhor mãe.

Claro que haverá muitos outros gestos, para lá da amamentação, que farão da mulher uma boa ou má mãe. Mas aquela que decide pela amamentação, estreitando o vínculo com o seu filho,vínculo esse iniciado já durante a gravidez, demonstra que o é.

A proposta dos ecologistas agrada-me, ademais.

Portanto, Madame E. Badinter, faça-me um favor:
Deixe-nos pensar pela nossa cabeça!
Não queira que a maioria de nós pense pela sua!

Querer impôr-nos uma outra forma de pensar, é uma tirania.
Somos livres de agir de forma contrária à sua.
Estou certa que é o parecer da maioria de nós.

Prova, talvez, de que o nosso instinto (o instinto maternal que você tanto nega) se sobrepõe a qualquer nova imposição cultural.

Já é tempo de fazermos prevalecer o melhor da nossa natureza.
Já é tempo de homens e mulheres reconhecerem as suas diferenças, não impondo ao outro um comportamento contra natura.

Sobretudo, já é tempo de agirmos em benefício dos nossos filhos, e não no nosso.

Quer isto dizer que nenhum homem tem o direito de aprisionar uma mulher (sua ex-mulher, para ser exacta) à sua vontade, e que a mulher, sendo livre de refazer a sua vida onde queira e com quem queira, não esqueça (estou certa que a maioria tem isso em consideração, ao contrário do que se diz por aí) os direitos do pai dos seus filhos, e, principalmente, os direitos destes.

"Com boa vontade, tudo se faz!", dizia-nos ( a mim e ao meu ex) uma juíza.
Devíamos seguir esta filosofia de vida, e não outras que eu considero baratas.




quarta-feira, 26 de janeiro de 2011

PINÓQUIO: AQUILO QUE AINDA NÃO SE DISSE!

Já toda a gente se perguntou porque é que Pinóquio não tem mãe.
Calculo que, mesmo depois de se transformar num menino de verdade, Pinóquio era um menino diferente: ele não teria umbigo, já que nunca teve mãe.

Na altura em que a história foi escrita, prevalecia a autoridade do pai, e a ideia de que um filho era criação do homem, sendo a mulher um mero receptáculo.

O pai é o criador.
A mãe nada é.

Portanto, Pinóquio surge à imagem e semelhança do pai.
Nasce fantoche, não é gente ainda.

Deve, pois, submeter-se à autoridade paterna (a lei do pai) e às regras sociais.

Mas Pinóquio, ainda que seja um boneco, em tudo o mais é uma criança.
Os seus desejos não se coadunam com os imperativos da sociedade.

Poderíamos mesmo fazer uma analogia entre as várias partes da história, e aquilo que sucede nos nossos dias.

Prometendo uma vida melhor para estes meninos, a sociedade persiste em mantê-los num mundo de ilusão e de engano (o gato e a raposa podem muito bem representar todo aquele que tenta convencer o outro de que age para o bem dele, quando na verdade apenas age para seu próprio bem) e de opressão (acreditando que a vida lhes seria mais sorridente, os meninos, uma vez mais enganados, acabam à mercê de um homem que os explorava e maltratava).

A sociedade, com todas as suas regras e as suas leis, engole-nos (Gepetto fora engolido por uma baleia e, inconscientemente, ou inconsequentemente, arrastou o "filho" para esse mesmo destino).

Uma criança não é uma tábua rasa.
Muito menos a projecção do pai.

Hoje há imensos Pinóquios por aí.
Querem, a toda a força, cortar-lhes o cordão umbilical.

Crianças (meninos e meninas) que os pais, sob um pretenso direito, retiram dos braços das mães, e exibem como troféus.

terça-feira, 25 de janeiro de 2011

UM DIREITO IGUAL, CONSOANTE AS DIFERENÇAS E AS NECESSIDADES!

Proponho-vos a leitura deste texto, para que, num próximo post, tiremos as nossas conclusões:

Amor, Guerra de Sexos e Natureza Humana


Uma mulher sem um homem é como um peixe sem uma bicicleta.

Atribuído a Gloria Steinem, feminista americana.



As mulheres que procuram ser iguais aos homens, têm falta de ambição.

Timothy Leary, 1920-1996, escritor americano citado em www.womens.Net

Alguns homens são decentes, hoje em dia. Podemos gostar deles. Temos ainda que os manter na linha, claro está, mas já não é mais necessário abatê-los à primeira vista.
Cynthia Heimel, escritora americana, Sex Tips for Girls

Há uma guerra de sexos, por detrás das relações de amor – ou que deveriam ser de amor – entre homem e mulher?

A opressão a que as mulheres foram sujeitas em sociedades do passado, ou certas guerras de palavras e acusações presentes, parecem confirmá-lo. Há diferenças de natureza entre o homem e a mulher, a abrir uma base conflitual.

No entanto, contraditoriamente, muitas mulheres (algumas feministas), negam essas diferenças de natureza:


Não nascemos mulheres; tornamo-nos mulheres
Simone de Beauvoir

Não há um espírito feminino. O cérebro, como o fígado, não é um órgão sexual
Charlotte Gilman

A guerra, neste caso, teria pouco sentido. As diferenças entre sexos seriam uma questão cultural e acabariam com o aperfeiçoamento ético da espécie humana. Os progressos recentes apontariam aliás nesse sentido, como parece constatar Virgínia Woolf:


Todas essas pequenas coisas de sexo contra sexo, de qualidade contra qualidade, todas essas reclamações de superioridade ou inferioridade, pertencem ao estádio escolar da existência humana, em que havia dois lados, e era necessário um dos lados bater no outro.

Mas a questão parece ser bem mais complexa. A ciência tem vindo a constatar diferenças, e subjacente à grande literatura há essa mesma constatação. Não há apenas dimorfismo corporal. Há também dimorfismo mental entre homem e mulher:
Ao longo da nossa história evolucionária, homens e mulheres defrontaram diferentes oportunidades e constrangimentos. Para o homem o sexo casual com uma estranha representava um risco menor – infecção, descoberta pela mulher – e uma grande recompensa potencial: a adição a baixo custo de mais uma criança ao seu património genético. Os homens que agarraram tais oportunidades deixaram certamente mais descendentes do que os homens que o não fizeram. Por isso, e uma vez que por definição somos descendentes dos antepassados mais prolíficos, torna-se razoável defender que os homens modernos possuem traços de oportunismo sexual. Praticamente todos os machos mamíferos o possuem, mesmo aqueles que são predominantemente monogâmicos. O que não quer dizer que todos os homens sejam irremediavelmente promíscuos ou que todo o homem seja um potencial violador; apenas que os homens são mais facilmente tentados pelas oportunidades do sexo ocasional do que as mulheres.
Matt Ridley, Red Queen

As diferenças entre homens e mulheres não implicam, obviamente, que tenha que haver uma inevitável guerra de sexos, e que as aberrações do passado se tenham que repetir no presente. Significa apenas que devemos estar atentos a elas, e informados, sob pena de cairmos em conflitos e situações desagradáveis e mesmo aberrantes.

Citações
A natureza feminina: sim ou não?


A pretensa natureza feminina é uma coisa eminentemente artificial - o resultado de uma repressão forçada ou de estímulos numa certa direcção.

John Stuart Mill, 1806-1873, filósofo e político inglês, The Subjection of Women




Não há um homem inteiramente masculino nem uma mulher inteiramente feminina.

Margaret Fuller, 1810 - 1850, escritora americana, Woman in the Nineteenth Century



Tenho os dois sexos do espírito.

Michelet, 1798-1874, escritor e historiador francês, Les Deux sexes de l'esprit




A nossa civilização favorece no homem a emergência de sentimentos e sensibilidades considerados femininos, e favorece na mulher a expressão de qualidades organizadoras consideradas masculinas.

E. Morin, sociólogo e filósofo francês, Método V




O unissexo significa não a abolição da diferença dos sexos, mas o reconhecimento da sua parte comum.

E. Morin, sociólogo e filósofo francês, Método V




Cada humano, homem ou mulher, traz consigo a presença mais ou menos abafada, mais ou menos forte, do outro sexo.

E. Morin, sociólogo e filósofo francês, Método V




Há homens mais ou menos efeminados e mulheres mais ou menos virilizadas, e toda a gama dos bissexuais, homossexuais e transexuais que escapam à alternativa simplificadora.

E. Morin, sociólogo e filósofo francês, Método V




É quase sempre o lado feminino do homem que o livra do pior.

A. Comte-Sponville, filósofo francês, Pequeno Tratado das Grandes Virtudes




As mulheres são menos enganadas pelas ideias do que os homens, e isso é, claro está, uma vantagem.

A. Comte-Sponville, filósofo francês, Pequeno Tratado das Grandes Virtudes




Amor e Casamento? Ver também:
Revolta Feminina e Queixas da Mulher
Pensamento tradicional do Homem sobre a mulher
Prisão e desilusão na casamento
Opressão das mulheres e genes masculinos
Amor feminino e jogos de sedução
Machismo do homem e feminismo radical
O casamento é uma decisão irracional
Casamento como o túmulo do amor


FONTE: http://www.lovessaysbook.com/

segunda-feira, 24 de janeiro de 2011

SÍNDROME DE COUVADE!

Síndrome de Couvade: a paternidade a flor da pele

A Síndrome de Couvade, não é uma doença, mas um conjunto de sintomas que podem aparecer nos homens durante a gestação. O pai se exprime psicologicamente ao assumir a gravidez apresentando sensações semelhantes aos da companheira grávida. Os futuros pais podem engordar, sofrer com enjôos, desejos, crises de choro ou mesmo depressão.

Os sintomas também demonstram a necessidade que muitos homens têm de se tornarem pais. A ansiedade, aliada a uma forte ligação afetiva e emocional com a mulher, acaba por transferir para o marido uma série de sensações que costumam se manifestar somente na figura feminina.

Pesquisas indicam que a metade da população de futuros pais (54%) desenvolve alguns sintomas relativos à gravidez durante o curso da gestação.

A Síndrome não costuma causar distúrbios psíquicos e normal que aconteça, sendo aconselhável procurar um especialista somente quando a situação foge de controle e passa a incomodar o casal e as pessoas próximas.

FONTE: http://www.tuasaude.com/sindrome-de-couvade-a-paternidade-a-flor-da-pele/





O MEU COMENTÁRIO:

Não pondo em dúvida o que aqui é dito, não será que esta síndrome, à semelhança de outras, reflecte, sobretudo, uma chamada de atenção?

Uma vez que todo o processo da gravidez se gera na mulher, e é esta quem recebe mais atenção dos outros, o homem, sentindo-se de parte, desenvolve uma espécie de "gravidez psicológica".

Com síndrome ou sem ela, só a mulher pode engravidar.
Nunca o casal. E muito menos o homem.

A mulher vive a gravidez, o homem a couvade.

Não existe "o casal está grávido", a menos que ambos estejam realmente grávidos. O que é impossível.

Da mesma forma que existe a gravidez psicológica na mulher (quando esta nem sequer está grávida!), também existe no homem.

Mas no momento em que que a mulher está, de facto grávida, só um deles é que está a passar por uma gravidez psicológica: o homem.

A minha convicção é que a síndrome de couvade reflecte, principalmente, uma chamada de atenção.

E não é porque uns e outros argumentam que estes sintomas são involuntários que o que digo é menos verdade.

Regra geral, esta chamada de atenção é inconsciente, traduzindo-se pelos tais sintomas.


ALGUMAS INFORMAÇÕES ÚTEIS:

Couvade
Origem: Wikipédia, a enciclopédia livre.
Ir para: navegação, pesquisa
Couvade é o conjunto de interdições e de ritos, característicos da cultura de determinados povos, que um homem está obrigado a realizar durante a gravidez da mulher e logo após o nascimento da criança.


Le manque d'attention
Lors d'une grossesse, les yeux sont généralement rivés vers la future maman et son ventre. La couvade est, en quelque sorte, un moyen d'attirer l'attention. Le futur papa a besoin d'être revalorisé, de trouver sa place au sein de cette maternité. Quelque part, il aimerait lui aussi connaître cette sensation de porter un enfant sans que cela soit possible. Il montre donc son vécu par le mimétisme.


Témoignages de papas : j'ai vécu une couvade
Stéphane, papa de Léa (2 ans) et de Marion (6 mois)
« Pour la première grossesse vécue avec ma femme, il s'agissait d'un accident. Nous ne projetions pas d'avoir un enfant tout de suite, alors je me suis senti pris au piège. Cela explique certainement que j'ai ressenti tout au long de la grossesse une immense fatigue et pris pas moins de six kilos en tout ! Pour notre deuxième enfant, cette fois j'étais prêt, et pourtant, les trois derniers mois, j'ai été pris de nausées et de diarrhées chroniques. »

Daniel, papa de Léo (3 mois)
« Au moment de l'annonce de la grossesse, j'ai commencé à souffrir de douleurs dorsales accompagnées de troubles digestifs. J'ai été quasiment alité pendant deux semaines. Pendant cette période, j'ai déclaré à ma copine que j'étais frustré de ne pas connaître les sensations de porter un enfant. À partir du moment où j'en ai parlé, les symptômes se sont tus. »

Alain, papa de Manon (6 mois)
« Alors moi, la grossesse, ça a été du n'importe quoi. J'arrivais à manger des framboises, des bananes, du guacamole avec des chips, avant de me faire une tartine de pâte à tartiner… J'avais tout simplement des envies incompréhensibles et impossibles à réfréner. Un jour, j'ai même demandé à ma femme en me tordant de douleurs sur le lit d'aller m'acheter une part de couscous. J'ai honte, elle était à 8 mois de grossesse ! »

À lire
"Papa débutant : le guide que tous les jeunes pères attendaient", Benoît Le Goëdec, éd. First.



FONTE: http://www.tendance-sante.fr/

De plus en plus souvent, l’implication est tellement forte que dès la naissance du premier enfant, le père referme la porte de sa jeunesse, tous les espaces "masculins" qu'il avait réussi à préserver même pendant sa vie de couple, disparaissent... l'homme impliqué dans la vie au quotidien avec bébé, n'a plus le temps de voir ses copains, de pratiquer un sport, d'assouvir sa passion.
Et beaucoup d'hommes en souffrent en secret.
La conséquence se traduit en chiffres par une augmentation des séparations des couples peu après la naissance du premier enfant.
Il est ainsi capital que l’homme tout en s’investissant dans son rôle de père, parvienne à conserver son identité propre, ses loisirs… un homme ne peut sur le long terme aller contre sa nature, s'il a besoin de s'évader un peu de temps à autres, la venue d'un enfant ne doit pas mettre définitivement un terme à cela. Il en va de l'équilibre du couple et de sa pérennité.

FONTE: http://www.bebemonamour.com/

domingo, 23 de janeiro de 2011

PAI EXTREMAMENTE ZELOSO!

Aos futuros pretendentes

Autorização de Namoro - Formulário.

Com o recente surgimento de alguns pretendentes querendo namorar a minha filha, tirei da gaveta o seguinte formulário que agora disponibilizo para todos que tenham ou possam a ter uma filha.
OBS : Já se passaram dois meses e os pretendentes ainda não voltaram para me entregar o formulário preenchido.

FORMULÁRIO PARA AUTORIZAÇÃO DE NAMORO COM MINHA FILHA :
NOTA IMPORTANTE : Este formulário deverá vir devidamente acompanhado de:
Declaração completa de bens
Histórico Escolar;
Histórico Profissional;
Árvore Genealógica completa;
Ficha Criminal;
Exame de Saúde completo e atualizado.
DADOS PESSOAIS :
Nome: __________________________________
Data de Nascimento: ___/___/____
Altura:______ ( Se inferior a 1,65 mt - NÃO CONTINUE )
Peso : _____ ( Se acima de 70 kg - NÃO CONTINUE )
Q.I. : _____
Média Escolar: _____ ( Se inferior a 8 - NÃO CONTINUE )
PRONTUÁRIO :
RG : ____________________
CPF: ____________________
Escoteiro? Medalhas? Atividades Esportivas? ( ) SIM ( ) NÃO
Quais?: ____________________________________________
Endereço Residencial (Completo):
___________________________________________________
Você tem 1 (UM) Pai e 1 (UMA) Mãe? ( ) SIM ( ) NÃO
Se Não,
Explique: ___________________________________________
Há quantos anos seus pais são casados?: ________________
Se menos que sua idade, Explique: ____________________ _
ACESSÓRIOS ESQUISITOS:
Usa piercings na orelha, nariz ou boca?.. ( ) SIM ( ) NÃO
No umbigo e outras partes do corpo?...... ( ) SIM ( ) NÃO
Tem tatuagem?......................................... ( ) SIM ( ) NÃO
Onde?_______________________________
( SE VOCÊ RESPONDEU POSITIVAMENTE QUALQUER ITEM ACIMA, NÃO CONTINUE)
INTERPRETAÇÃO DE TEXTO:
Usando 50 palavras ou menos, descreva o que significa chegar TARDE para
você?
__________________________________________________
__________________________________________________
__________________________________________________
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__________________________________________________
Usando 50 palavras ou menos, descreva o que significa NÃO BULINAR MINHA FILHA :
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__________________________________________________
Usando 50 palavras ou menos, descreva o que significa ABSTINÊNCIA , na
sua opinião:
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__________________________________________________
__________________________________________________
__________________________________________________
OUTROS:
Igreja que você freqüenta:_______________________
Com que freqüência?___________________________
PREENCHA OS ESPAÇOS ABAIXO. TODAS AS RESPOSTAS SERÃO CONFIDENCIAIS:
1 - Se eu for atingido por uma bala, eu detestaria ser atingido no:
__________________________________________________
2 - Se eu levar uma surra, não quero que me quebrem o seguinte osso:
__________________________________________________
3 - Lugar de mulher é:__________________________________
4 - Escreva algo que você não espera ter que responder neste formulário:
___________________________________________________
5 - Qual a primeira coisa que você nota em uma mulher?
___________________________________________________
( Nota: Se a resposta começar pelas letras "P" , "B" ou "C" ,
abandone imediatamente este formulário e saia correndo, de cabeça
baixa seu pervertido ... )
6 - O que você quer ser " SE " crescer?
___________________________________________________

EU, ABAIXO ASSINADO,
Assinatura____________________________________________ (o estúpido)
As letras pequenas abaixo são mera formalidade, não precisa ler!!!
1) Eu, o namorado, doravante denominado "estúpido "
2) Declaro ainda que este documento tem poder de "procuração" seja
para que assunto for.
3) Desisto de qualquer direito, mesmo sobre minha integridade física,
tais como ossos, órgãos, dentes, durante todo o tempo de vigência do
namoro "mais nove meses" pertencendo ao Pai da Namorada os poderes de
decisão, inclusive de vida ou de morte.
4) Ao pai da namorada não questionarei a autoridade ou ordens, deverei
agir com obediência cega a toda e qualquer ordem ou vontade que me for
imposta, a mínima que seja.
5) Admito toda e qualquer culpa que me for imputada sem questionar.
Sem direito a teste de DNA.
6) Reconheço a legitimidade de "Pagamento de pensão" durante o período
que a "namorada" se mantiver solteira a titulo de indenização moral
caso este não resulte em um honroso matrimônio.
"Obrigado pelo seu interesse. Favor aguardar de 2 a 3 meses para seleção."
"Se aprovado, você receberá uma notificação por escrito. Não chame,
ligue ou escreva. Aguarde minha chamada."
"Se você não for aprovado e dependendo das circunstâncias, vocêserá
notificado, pessoalmente, pela Polícia Militar!!!!!!! "
Atenciosamente,
----------------------------------------------------------
(O PAI)
1 - Campeão Paulista de tiro (2007) - modalidade saque-rápido;
2 - Campeão Brasileiro de tiro ao alvo (2006) - modalidade Moore System;
3 - Campeão Brasileiro de judô - (2006 - 2007 - 2008);
4 - Campeão Paulista de vale-tudo - (2002);
5 - Campeão Brasileiro de vale-tudo - (2003);
7 - Combate com facas;
8 - Adestrador de Cães de ataque;
Livros Publicados :
1 - "Táticas de Combate"
2 - "Silenciamento de Sentinelas"
3 - "Matando com as mãos".
PS: NÃO ESQUEÇA DE REPASSAR PARA TODOS OS SEUS AMIGOS COM FILHAS.
MUITO IMPORTANTE NOS DIAS DE HOJE.

FONTE: http://www.bobolandia.com.br/




À parte a piada, espero que um pai tenha o mesmo zelo para com as filhas dos outros, e que ensine o seu filho -futuro homem- a respeitá-las.

Pais assim, precisa-se!


Dia dos Pais
Clique aqui para enviar um recado!

sábado, 22 de janeiro de 2011

SONDAGEM (VERY IMPORTANT!)

AS-TU DÉJÀ ÉTÉ FAUSSEMENT ACCUSÉ(E) D'ALIENATION PARENTALE? HAVE YOU BEEN FALSELY ACCUSED OF PARENTAL ALIENATION? JÁ FOSTE FALSAMENTE ACUSADO(A) DE ALIENAÇÃO PARENTAL?


-OUI (JE SUIS UNE MÈRE/I'M A MOTHER/SOU UMA MÃE)
-OUI (JE SUIS UN PÈRE/I'M A FATHER/SOU UM PAI)
-OUI (JE SUIS UNE AUTRE PERSONNE DE LA FAMILLE/I'M SOMEONE ELSE OF THE
FAMILLY/SOU UMA OUTRA PESSOA DA FAMÍLIA)

Ce sondage, vous le trouvez sur la marge gauche de cette page.
This sondage, you'll find in the right side of this page.
Esta sondagem encontra-se na margem direita desta página.

Si c'est votre cas, cochez la bonne case!
If it's your case, please vote (in the right place!).
Se for o teu caso, por favor vota, assinalando a casa certa!

sexta-feira, 21 de janeiro de 2011

TOUTE LA VÉRITÉ SUR RICHARD GARDNER ET LE SAP!

20 janvier 2008
LA VERITE SUR RICHARD GARDNER ET LE "SYNDROME D'ALIENATION PARENTALE"

L'ambition de ce site est de renseigner objectivement les personnes cherchant à s'informer sur le Syndrome d'Aliénation Parentale et son inventeur Richard Gardner.

Les agresseurs ont toujours intérêt à discréditer systématiquement la parole des enfants : cela leur permet de poursuivre leurs exactions en toute tranquillité et en toute impunité...

Il y a moins de 10 ans, on avait déjà vu la déferlante des "fausses allégations" voler au secours des parents incestueux et/ou violents pour leur permettre de se laver des accusations formulées contre eux par leurs enfants.

Aujourd'hui la mode a changé : on ne parle plus tellement de "fausses allégations" mais plutôt de Syndrome d'Alénation Parentale ou d'Aliénation Parentale.

Mais l'objectif est toujours le même : baîllonner les enfants. Empêcher qu'ils s'expriment, qu'ils dénoncent ce qu'ils ont subi, et, s'ils parviennent toutefois à parler, discréditer leur témoignage.

Des personnages peu scrupuleux battent à l'heure actuelle la campagne pour tenter de faire "reconnaître" cette supercherie discréditée depuis longtemps aux Etats-Unis.
Ils luttent de toutes leurs forces et sur tous les terrains : on les voit intervenir sur divers forums, sur Wikipédia (où les deux entrées "SAP" et "Richard Gardner" sont prises d'assaut par leurs défenseurs qui vandalisent systématiquement toute contribution qui toucherait à leur icône et à son "invention"), dans des congrès, sur des sites internet, dans des revues de droit...

Bref : nous sommes en pleine période de propagande.

Il est donc capital de remettre les choses à plat et de se référer aux écrits-même de Gardner, afin de s'en faire une opinion fondée.

Il est important de souligner que toutes les informations référencées ici sont rigoureusement vérifiées et sourcées. Il suffira de se reporter aux références indiquées pour s'en assurer.




Posté par ContreleMensonge à 20:14 - Permalien [#]

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QUI ETAIT REELLEMENT RICHARD GARDNER?

Psychiatre dans le secteur privé, Richard Gardner a toujours prétendu enseigner comme professeur à la faculté de médecine et de chirurgie de l'Université de Columbia.

Après de multiples vérifications, il apparaît que si Richard Gardner disposait bien d'un cabinet de consultations psychiatriques privé, il n'a jamais été salarié de l'Université de Columbia, dans laquelle il n'a jamais exercé.
Richard Gardner était simplement parvenu à s'introduire à la faculté de médecine et de chirurgie de cette université en tant que bénévole : il n'a jamais été recruté par la moindre commission de spécialistes, n'y a jamais enseigné ou publié quoi que ce soit et n'a jamais été payé (source : Hoult Jennifer, The Evidentiary Admissibility of PAS, note 288).

En 1985, Richard Gardner inventait une théorie, le "SAP", "Syndrome d'Aliénation Parentale", et tentait de la faire reconnaître par ses pairs.
N'y parvenant pas, Richard Gardner fondait sa propre maison d'édition, "Creative Therapeutics", afin de publier ses travaux à compte d'auteur. Gardner parvenait par ce biais à donner quelque notoriété à son invention.
Entre 1985 et 2003, date de sa mort, Gardner a ainsi publié une bonne dizaine de livres, tous à compte d'auteur. Aucun d'entre eux n'a jamais été soumis à la moindre évaluation du moindre spécialiste en psychiatrie.

Parallèlement, Richard Gardner publiait des articles dans des revues de droit, c'est-à-dire des revues non dotées d'un comité de re-lecture spécialisé en psychiatrie et devenait expert près les tribunaux. Cette activité d'expert lui a permis de propager son invention auprès des cours de justice, notamment des tribunaux familiaux, et de gagner sa vie.

Le SAP, Syndrome d'Aliénation Parentale, n'ayant aucune validité médicale (il ne repose sur aucun symptôme médical défini ni sur aucune diagnostic précis), a systématiquement été rejeté par la communauté scientifique, médicale et psychiatrique aux Etats-Unis : il n'a donc jamais été référencé dans le DSM (manuel diagnostic de psychatrie aux Etats-Unis).

A l'âge de 72 ans, après une carrière passée à museler les victimes et à incriminer les femmes, Richard Gardner se suicidait d'une vingtaine de coups de couteau dans le ventre (mai 2003).

Sources :

* Hoult Jennifer, "The Evidentiary Admissibility of PAS" (http://www.abusosexualinfantilno.org/base/spip.php?article16)
* Dallam Stephanie, "Le Syndrome d’Aliénation Parentale a-t-il une base empirique ? Examen critique des théories et opinions de R. Gardner" et "Examen critique des théories et opinions du Dr Richard Gardner en matière de sexualité atypique, de pédophilie et de traitement" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=294 et http://sisyphe.org/article.php3?id_article=296)
* Emery Robert, "SAP : la charge de la preuve incombe à ses défenseurs" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1715)
* Walker Lenore, "A Critical Analysis of Parental Alienation Syndrome and Its Admissibility in the Family Court" (http://www.ingentaconnect.com/content/haworth/jcc/2004/00000001/00000002/art00003)





Posté par ContreleMensonge à 20:13 - Permalien [#]
ABSENCE DE FIABILITE SCIENTIFIQUE DU SAP

Dans l'ouvrage "True and False Allegations of Child Sex Abuse", publié à compte d'auteur, Gardner affirme, sans se référer à la moindre étude empirique, que toutes les paraphilies sexuelles humaines (c’est-à-dire les comportements déviants) seraient des mécanismes d’adaptation naturels qui stimuleraient la procréation et augmenteraient donc les chances de survie de l’espèce.

Ainsi, la pédophilie, le sadisme, le viol, la nécrophilie, la zoophilie, la coprophilie et d’autres paraphilies assureraient la survie de l’espèce en stimulant la procréation. Gardner se représentait les hommes comme des donneurs de sperme et les femmes comme des réceptacles à sperme : il prétendait que ces comportements sexuels « atypiques » servent à encourager la production de sperme chez les hommes et ainsi à augmenter les chances d’appareillage avec une personne susceptible de concevoir un enfant. Gardner considérait toute situation dans laquelle une femme devenait un réceptacle à sperme comme une chance de survie pour l’espèce. Il affirmait que les femelles humaines seraient naturellement « passives » et que le viol ou l’inceste résulteraient de cette passivité: il déclarait en effet que la passivité sexuelle des femmes les conduisait à devenir des victimes masochistes de viol, des victimes qui « ressentent du plaisir à être battues, ligotées et soumises à des mauvais traitements », comme si c’était là « le prix qu’elles sont prêtes à payer pour obtenir la gratification de recevoir du sperme » (Gardner, True and False Accusations, note 27, 26).
Il affirmait que l’inceste n’est pas dangereux en soi ; paraphrasant Shakespeare, il ajoutait, « c’est d’y réfléchir qui le rend dangereux ».

Gardner déclarait que les activités sexuelles entre les adultes et les enfants feraient « partie du répertoire naturel de l’activité sexuelle humaine » (Gardner, "True and False Accusations", note 27, 24) et que la sexualité entre adultes et enfants serait une pratique constructive du point de vue de la procréation, la pédophilie permettant selon lui de « charger à bloc » l’enfant, le rendant « hyper sexualisé » et ainsi plus enclin à rechercher des expériences sexuelles qui stimuleront la procréation.

L’analyse de Gardner se concentrant surtout sur les hommes adeptes de paraphilies, il précisait que la sexualité homosexuelle augmente elle aussi les chances de reproduction de l’espèce, malgré le fait que les homosexuels ne pratiquent que rarement la sexualité hétérosexuelle (c’est-à-dire à visée reproductive).

Gardner affirmait que le mal causé par les paraphilies sexuelles ne provenait pas d’elles à proprement parler mais uniquement de la stigmatisation sociale dont elles sont l’objet. Il affirmait que les amateurs de paraphilies méritent d’être respectés et compris.

Sources :

* Hoult Jennifer, "The Evidentiary Admissibility of PAS"(http://www.abusosexualinfantilno.org/base/spip.php?article16)
* Dallam Stephanie, "Examen critique des théories et opinions du Dr Richard Gardner en matière de sexualité atypique, de pédophilie et de traitement" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=296)




Posté par ContreleMensonge à 20:12 - Permalien [#]
GARDNER ET L'ASSOCIATION NAMBLA

Le point de vue de Gardner sur les relations sexuelles entre adultes et enfants s’aligne sur celui développé par les tenants de la légalisation de la sexualité entre adultes et mineurs et par des groupes pro-pédophiles tels que NAMBLA (North American Man Boy Love Association).

Cette association, créée en 1978, se décrit comme une « organisation politique pour les droits civiques et l’éducation » dont le but est de «mettre fin à l’oppression dont sont victimes les hommes et les garçons qui entretiennent des rapports consentants ». L’association affirme qu’elle « ne s’engage dans aucune activité contraire à la loi, et n’incite personne à l’enfreindre ».
NAMBLA fournit pourtant de la documentation et son soutien aux criminels sexuels emprisonnés, les qualifiant de « personnes indûment incarcérées » pour des « relations amoureuses consenties entre personnes d’âges différents » au lieu de les décrire comme des hommes emprisonnés pour avoir transgressé la loi et causé du mal à des enfants.

Gardner et NAMBLA affirment que les relations sexuelles entre enfants et adultes sont biologiquement naturelles et qu’elles ne sont pas nécessairement mauvaises pour l’enfant : si l’enfant en retire une souffrance, disent-ils, ce n’est pas à cause de la relation en elle-même mais parce que la société stigmatise cette pratique. Selon Gardner « le caractère traumatisant de ces expériences (c’est-à-dire ces rencontres sexuelles entre adultes et enfants) dépend surtout de la réaction de la société face à elle. Il déclarait d’ailleurs :
« De nombreuses sociétés ont été injustement répressives à l’égard de ceux qui ont des tendances sexuelles paraphiles (c’est-à-dire les pédophiles, les violeurs, etc.) et n’ont pas prêté attention aux facteurs génétiques qui peuvent les expliquer. Prendre en considération cette dimension pourrait permettre de mieux tolérer ceux qui ont des penchants sexuels atypiques. J’espère que cette théorie permettra de mieux comprendre et respecter ces individus qui par ailleurs jouent un rôle dans la survie de l’espèce » (Gardner "True and False Accusation", note 27, 670).
Gardner affirmait que les « récidivistes doivent être mis au ban de la société » mais il déclarait aussi qu’ils ne devaient être emprisonnés qu’en cas d’échec de traitement, afin, disait-il, qu’ils ne soient pas incarcérés avec des « criminels de grand chemin » et qu’ils n’aient pas à accomplir des peines de prison interminables (Gardner, "Sex Abuse Hysteria", note 356, 119).

Sur le plan politique, Gardner a activement œuvré pour l’abolition du signalement obligatoire d’agressions sexuelles sur mineurs, pour l’abolition de la garantie de protection pour les professionnels signalant un cas de maltraitance sur enfant, et pour la création de programmes financés au niveau fédéral destinés à aider les personnes se disant victimes de fausses accusations.

L’organisation NAMBLA, tout comme Gardner, affirme que les relations sexuelles entre adultes et enfants sont normales, saines et bénéfiques pour les enfants.

Les partisans de la pédophilie et les scientifiques qui les soutiennent affirment, en ignorant délibérément les preuves des dégâts causés par la pédophilie sur les enfants des deux sexes, que les enfants ne souffrent pas des contacts sexuels qu’ils peuvent expérimenter avec des adultes; ils disent même que refuser aux enfants ces contacts sexuels revient à bafouer leurs droits.

Gardner et NAMBLA ont donc l’un comme l’autre déclaré que les relations sexuelles entre adultes et enfants sont sans conséquences pour ces derniers et qu’elles leur sont même bénéfiques. L’un et l’autre disent condamner et détester les conduites d’exploitation et d’agression sexuelles mais aucun ne définit la notion d’agression sexuelle sur enfant.

Le fait que le SAP trouve son origine dans une théorie que l’on peut aisément qualifier de « pro-pédophile » pose quelques soucis pratiques en matière judiciaire et législative.

Les origines et l’utilisation du SAP montrent qu’il est un outil politique et légal inventé et utilisé pour protéger les agresseurs d’enfants de poursuites judiciaires et pour promouvoir leurs contacts sans entrave avec ces enfants au travers d’ordonnances judiciaires leur en attribuant la garde totale.
Le SAP considère que les femmes et les enfants enfreignent les règles du patriarcat lorsqu’ils se permettent de manquer de respect ou lorsqu’ils refusent de faire preuve de respect à l’égard des hommes.
Le SAP présume a priori que toute plainte de violence masculine est nécessairement infondée : ce qui est un déni patent des preuves circonstanciées démontrant que les hommes utilisent plus la violence que les femmes et ressemble à un rappel de la loi patriarcale selon laquelle la violence masculine à l’encontre des femmes et des enfants est légale.
Le SAP condamne les femmes qui font usage de leur droit à agir en justice : ce faisant il réédite la règle patriarcale selon laquelle les femmes sont dépourvues de droits légaux.

Ainsi, il apparaît que les promoteurs du SAP recherchent le moyen de faire intervenir l’Etat afin qu’il prenne des mesures coercitives à l’encontre de femmes et d’enfants, qu’il écoute les doléances d’hommes qui exigent qu’on leur manifeste affection et respect et qu’il protège sans condition les liens entre des criminels sexuels et leurs enfants victimes, en leur en attribuant la garde totale.

Sources :

* Hoult, Jennifer,"The Evidentiary Admissibility of PAS" (http://www.abusosexualinfantilno.org/base/spip.php?article16)
* Dallam, Stephanie, "Examen critique des théories et opinions du Dr Richard Gardner en matière de sexualité atypique, de pédophilie et de traitement" (http://sisyphe.org/article.php3?id_article=296).




Posté par ContreleMensonge à 20:11 - Permalien [#]
FLORILEGE DE CITATIONS DE RICHARD GARDNER

Pour finir le portrait édifiant de cet individu, voici quelques phrases issues de ses livres..

* "Intrafamilial pedophilia (that is, incest) is widespread and ... is probably an ancient tradition", Gardner, R.A. (1991). Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited .
Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, 119.

=>Traduction : "La pédophilie intra-familiale, c'est-à-dire l'inceste, est répandue et ... est probablement une tradition ancienne".

* "Western society is excessively moralistic and punitive toward pedophiles. The Draconian punishments meted out to pedophiles go far beyond what I consider to be the gravity of the crime." Gardner, R.A. (1991), Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, 118.

=>Traduction : "La société occidentale est excessivement moralisatrice à l'égard des pédophiles. A mes yeux, les punitions draconiennes infligées aux pédophiles vont bien au-delà de la gravité des faits qu'on leur reproche".

* "It is of interest that of all the ancient peoples it may very well be that the Jews were the only ones who were punitive toward pedophiles. Early Christian proscriptions against pedophilia appear to have been derived from the earlier
teachings of the Jews, and our present overreaction to pedophilia represents an exaggeration of Judeo-Christian principles.."(Gardner, R.A. (1992). True and false accusations of child sex abuse, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics pp. 46-7).

=>Traduction : "Il est intéressant de noter que parmi les peuples de l'Antiquité, seuls les Juifs avaient une attitude punitive envers les pédophiles. Chez les premiers chrétiens, l'interdiction de la pédophilie provient directement de l'enseignement du Judaïsme, et notre réaction exagérée envers la pédophilie à l'heure actuelle est une exagération de ces principes judéo-chrétiens.."

* "There is good reason to believe that most, if not all, children have the capacity to reach orgasm at the time they are born." (Gardner, R.A. (1992), True and false accusations of child sex abuse, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics. p 15)

=>Traduction: "Nous sommes fondés à croire que la plupart, sinon tous les enfants, ont la capacité d'atteindre un orgasme dès leur naissance".

* "Some children experience high sexual urges in early infancy and the normal child exhibits a wide variety of sexual fantasies and behaviors, many of which would be labeled as `sick' or `perverted' if exhibited by adults" ( Gardner, R.A. (1991, Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited, Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, p. 12).

=>Traduction : "Certains enfants expérimentent de puissants désirs sexuels dès le plus jeune âge et l'enfant normal présente une grande variété de fantasmes et comportements sexuels qui seraient taxés de 'pathologiques' ou 'pervers' s'ils étaient le fait d'adultes".

* "The sexually abused child is generally considered to be the victim, though the child may initiate sexual encounters by "seducing" the adult". Gardner, R.A. (1986), "Child Custody Litigation: A Guide for Parents and Mental Health Professionals", Cresskill, NJ : Creative Therapeutics, p 93.

=>Traduction : "L'enfant victime d'agressions sexuelles est généralement tenu pour une victime alors que l'enfant peut perfaitement initier des rencontres sexuelles en 'séduisant' l'adulte".

* "The younger the survival machine at the time sexual urges appear, the longer will be the span of procreative capacity, and the greater the likelihood the individual will create more survival machines in the next generation." Gardner, R. A. (1992), "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, pp.24-5.

=>Traduction : "Plus la machine à survie est jeune au moment de l'apparition des pulsions sexuelles, plus durable sera sa capacité procréatrice et plus grande la probabilité que cet individu engendre d'autres machines à survie dans la génération suivante."

* "Of relevance here is the belief by many of these therapists that a sexual encounter between an adult and a child--no matter how short, no matter how tender, loving, and non-painful--automatically and predictably must be psychologically traumatic to the child". Gardner, R. A. (1992), "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics, pp. 670.

=>Traduction : « Il est important de souligner ici que beaucoup de ces thérapeutes croient qu’une rencontre sexuelle entre un adulte et un enfant – même brève, même tendre, aimante et non douloureuse – est automatiquement et immanquablement traumatisante pour l’enfant. ».

* "Her own diminished guilt over masturbation will make it easier for her to encourage the practice in her daughter, if this is warranted. And her increased sexuality may lessen the need for her husband to return to their daughter for sexual gratification."
Gardner, R. A., "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics. 1992, p. 585.

=>Traduction (parlant de la mère de l'enfant incestué) : « La réduction de sa culpabilité par rapport à la masturbation l’aidera à encourager cette pratique chez sa fille, au besoin. Et le gain de sexualité de la mère pourrait réduire le besoin qu’éprouve son mari de retourner vers leur fille pour des satisfactions sexuelles. ».

* "He has to be helped to appreciate that, even today, it is a widespread and accepted practice among literally billions of people. He has to appreciate that in our Western society especially, we take a very punitive and moralistic attitude toward such inclinations. He has had a certain amount of bad luck with regard to the place and time he was born with regard to social attitudes toward pedophilia", Gardner R. A., "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics. 1992, p. 593.

=>Traduction (parlant du père incestueux): « On doit l’aider à reconnaître que, même aujourd’hui, [la pédophilie] est une pratique largement répandue et acceptée, littéralement, par des milliards de gens. Il doit considérer que, dans notre société occidentale en particulier, nous avons une attitude très punitive et moralisante envers de telles tendances. En fait, il a simplement été quelque peu malchanceux d'être né en ce lieu et en cette époque pour ce qui est des attitudes sociales à l’égard de la pédophilie."

Sources :

* Gardner, Richard, A. (1991) "Sex Abuse Hysteria: Salem Witch Trials Revisited", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics
* Gardner, Richard, A. (1992) "True and false accusations of child sex abuse", Cresskill, NJ: Creative Therapeutics
* Gardner, Richard, A. (1986) "Child Custody Litigation: A Guide for Parents and Mental Health Professionals", Cresskill , NJ : Creative Therapeutics.

Une dernière chose :
diffusez autour de vous les informations que vous trouvez ici.
Il est capital d'ouvrir une brèche dans le discours de promotion de ce personnage et de sa théorie.
Richard Gardner méprisait ouvertement les femmes et faisait la promotion de la sexualité pédophile.
Tous ceux qui reprennent à leur compte le discours et les théories de Gardner doivent savoir ce qu'ils font et de quel côté ils se placent.
Tous ceux qui tentent d'introduire en justice le SAP doivent savoir d'où il provient, et, lorsqu'ils en seront informés, doivent cesser de promouvoir une théorie aussi douteuse et aussi coupablement proche des milieux pédophiles.


Posté par ContreleMensonge à 17:01 - Permalien [#]

FONTE: http://forum.aufeminin.com/
http://contrelesap.canalblog.com/



JE DONNE LA PAROLE À M. RICHARD GARDNER, DANS L'EXPOSITION DE SES EXPÉRIENCES:


(...)

Qui a été appelé pour les données sur l'évolution de la situation ?
Dans tous les cas la personne qui a été appelée à fournir des informations sur
l'évolution de la situation était le parent aliéné. C'étaient les personne qui avaient
été victimisées par les endoctrinements de SAP, qui a souffert le plus, et qui, je le
pense, est le plus réceptif à parler avec moi au sujet de leurs expériences. Ceci
s'est avéré être le cas. Je n'ai pas appelé les parents aliénateurs parce que j'ai
suspecté (et je crois avec justification) qu'ils ne seraient pas coopéreraient pas
entièrement avec moi en ce qui concerne la fourniture des informations précises.
Je ne crois pas non plus qu'ils seraient réceptifs à passer du temps avec moi au
téléphone afin que je puisse obtenir des données appropriées. Je discuterai cette
question plus loin dans la section "limitations de l'étude."
sap gardner traitement du SAP grave Seite 11 von 17
file://E:\div\aapas\articles\sap gardner traitement du SAP grave_files\sap gardner trait... 14.02.2006
Quelles questions ont été posées ?
Au cours de l'enquête j'ai posé des questions dans 3 secteurs, pas nécessairement
dans cet ordre :
1. Les enfants sont-ils encore aliénés contre vous ?
2. Décrivez le degré d'aliénation. (ici j’ai essayé d’évaluer si l'aliénation était
dans la catégorie douce, modérée, ou grave.)
3. Combien de temps l'enfant (les enfants) a-t-il été aliéné ?

(...)

DISCUSSION
Cette étude fournit la confirmation de mon observation de longue date : la mesure
thérapeutique la plus efficace que l'on puisse utiliser pour des enfants de victime
de SAP est la réduction de leur accès au parent aliénateur. Dans certains cas,
cette réduction exige le transfert de résidence. Dans d'autres cas, la réduction du
temps d'accès des aliénateurs peut se montrer efficace. Seuls les tribunaux ont le
pouvoir d'effectuer une telle réduction d'accès. Le principe ici est semblable à celui
utilisé pour traiter les patients qui ont été endoctrinés dans une secte. Avant
qu'on puisse les traiter, on doit réduire, si ce n'est éliminer entièrement, leur
participation avec les gourous de la secte. Bien que, dans le cas d'une secte, il y
ait l’espoir d’éloignement complet de la victime de la secte, dans le cas du SAP
l’objectif de soustraire un enfant à un parent est entièrement différent.. Dans la
plupart des cas, l'endoctrineur de SAP peut fournir à l'enfant des apports
psychologiquement salutaires malgré le fait que l'enfant soit également
programmé.
Ainsi, la réduction de l'accès n'est pas aussi facilement accompli avec des enfants
victimes de SAP qu'il peut l'être pour des enfants programmés par les gourous
d'une secte.
L'étude fournit également la justification de mon observation de longue date: le
rapport que l'enfant établit avec le parent aliéné est potentiellement la mesure
préventive la plus puissante contre le SAP et un antidote très puissant aux
sap gardner traitement du SAP grave Seite 13 von 17
file://E:\div\aapas\articles\sap gardner traitement du SAP grave_files\sap gardner trait... 14.02.2006
symptômes de SAP dans beaucoup de cas.
L'étude fournit également la confirmation de mon observation de longue date: la
thérapie traditionnelle est de peu si ce n'est d'aucune valeur pour la grande
majorité d'enfants victimes de SAP. En fait, dans la plupart des cas ils ne font
qu’aggraver la situation, parce que les thérapeutes traditionnels font
habituellement juste l'opposé de ce dont les enfants SAP ont besoin.
Il est important de noter que les 7 cas dans lesquels les enfants ont réduit les
symptômes de SAP, malgré le refus du tribunal de réduire l'accès aux aliénateurs,
étaient des cas où les enfants étaient adolescents et donc capables sciemment
d’appréhender et d’évaluer le processus de programmation. Dans ces cas, aussi
bien, il y avait des modèles comportementaux de l'aliénateur qui ont facilité la
réconciliation de l'enfant avec le parent aliéné.
Il y avait une certaine négligence et même des abus imposés par le parent
aliénateur (le cas numéro 96 étant l'exemple le plus dramatique d'un tel abus) ce
qui a contribué à la réconciliation de l'enfant avec le parent aliéné. Bien que 7 cas
ne puissent pas être raisonnablement considérés comme une preuve définitive, le
phénomène doit être noté. Ce serait une erreur, cependant, de conclure que cela
représente une possibilité. Le lecteur doit se rappeler que ceci s'est seulement
produit dans 9.1 pour cent des 77 cas dans lesquels le tribunal n'a pas changé la
garde ou réduit l'accès des aliénateurs. Ce chiffre doit être comparé au taux de
succès de 100 pour cent quand des enfants de SAP ont été transférés à la garde
du parent aliéné et/ou qu'il y avait une restriction significative de l'accès des
aliénateurs aux enfants.
LIMITES DE L'ETUDE
Une limite possible de cette étude serait mon échec à conduire des entretiens avec
les aliénateurs. Cependant, comme je l’ai déjà expliqué, la probabilité d’obtenir la
coopération d’un pourcentage minimal des aliénateurs était extrêmement faible.
Dans chaque cas, l'aliénateur était habituellement fâché contre moi parce que mes
recommandations ont impliqué la réduction de son accès aux enfants ou le
transfert de résidence.
Dans tous les cas où ma participation a été, au début, sollicitée par une des
parties, je lui ai présenté ma préférence pour l'évaluation idéale, à savoir, dans
laquelle j'aurais l'occasion de conduire des entretiens cliniques avec les parents et
l'enfant (les enfants), individuellement et dans des combinaisons variables. De
telles tentatives n'ont pas réussi dans certains cas, et ceci représente une limite de
l'étude. Cependant, dans tous les cas, j'ai passé en revue un matériel très vaste et
n'ai inclus aucun enfant dans cette étude complémentaire sans avoir été
entièrement convaincu qu'il souffrait de symptômes de SAP. Le SAP est un
désordre relativement "pur" une fois qu’on le compare à d'autres perturbations
psychiatriques et il se diagnostique aisément -- particulièrement quand le
symptôme modéré et grave est présent.
Enfin, j’ai été la seule personne à faire des entretiens de suivi. En tant que
personne qui a également fait les évaluations initiales et qui est venue à la
conclusion qu'un SAP était présent, on pourrait arguer du fait qu'un interviewer
sap gardner traitement du SAP grave Seite 14 von 17
file://E:\div\aapas\articles\sap gardner traitement du SAP grave_files\sap gardner trait... 14.02.2006
entièrement indépendant devrait avoir été employé pour rassembler les données
de suivi afin d'éviter la polarisation possible de ma personne dans les entrevues de
suivi de mes propres clients. Un argument contre l'utilisation d'une autre partie
en tant qu'interviewer de suivi, est le fait que j'avais déjà établi un bon rapport
avec tous les parents victimisés, et qu’ainsi je pouvais compter sur eux pour me
fournir leur temps et leur conviction pour un entretien de suivi.

(...)

SOURCE: http://www.acalpa.org/lettres_ouvertes.htm



MON COMMENTAIRE:

Si le "pauvre homme" était sincère dans ce qu'il dit, ne voulant pas séparer les enfants de son parent gardien que dans les cas où celui-ci réprésentait un risque, alors il serait bien deçu de voir ce qui se passe à présent!

Je l'imagine même poursuivre ses expériences, cette fois dans le sens de prouver qu'il existe un grand nombre de cas où on fait des fausses alégations d'aliénation parentale, étant -vous le savez bien- les femmes les principales victimes.

À présent, un grand nombre de mères se voit séparée de ses enfants, parfois emprisonnée, jugées d'être aliénantes. Celà se passe à côté de vous.

Faute de la théorie de Gardner, quoi que ce soit qu'il en voulait exprimer.

quinta-feira, 20 de janeiro de 2011

POURQUOI LES FILLETTES SE SUICIDENT-ELLES?

Cette question que je vous pose vient à propos de la nouvelle qu'on a apris, en parlant d'une fillette de 9 ans qui s'est suicidée.

La raison: elle ne supportait plus le traitement qu'elle était obligée de faire pour le diabète chronique dont elle souffrait. Elle voulait juste avoir une vie normale, comme toutes les autres filles.

D'autres fillettes, ayant 10,11 et 12 ans, se sont suicidées, ces derniers mois, pour d'autres raisons. L'une à la suite d'une dispute avec sa mère, une dispute banale, selon son père.

Aucune de ces fillettes ne s'est suicidée parce qu'elles n'avaient pas la présence d'un père.

On peut dire qu'il y avait, pourtant, des problèmes au sein de la famille. Peut-être.

Mais le suicide de ces fillettes ne se fait forcément par la faute de ses parents. Il y a d'autres raisons, comme nous explique le psychiatre Xavier Pommereau dans l'entrevue faite par une journaliste du journal LE POST.






Sur Le Post, le psychiatre et auteur de "L'adolescent suicidaire" revient sur le suicide de deux enfants de 10 et 11 ans ces deux derniers jours.

En deux jours, deux fillettes âgées respectivement de 10 et 11 ans se sont donné la mort par pendaison.

La première s'est pendue avec une écharpe, à Cavaillon dans le Vaucluse. Contacté par Le Post, le procureur de la République d'Avignon raconte: "Il semblerait qu'il y ait bien eu une dispute. Mais c'était une dispute banale selon le témoignage du père."

L'autre fillette, âgée de 10 ans, s'est également donné la mort par pendaison, à Evian-les-Bains, en Haute-Savoie. Elle a été retrouvée par sa mère mardi matin. Selon les premiers éléments de l'enquête, elle s'était disputée avec ses parents le lundi soir.

Pour Xavier Pommereau, psychiatre et auteur du livre "L'adolescent suicidaire": "Une dispute ne peut être à l'origine d'un suicide, c'est juste un élément déclencheur".

Comment peut-on expliquer un tel acte si jeune? Quelles peuvent être les raisons qui poussent au passage à l'acte? Les fillettes avaient-elle l'intention de se donner la mort?




Poupée (photo d'illustration).


Contacté par Le Post, Xavier Pommereau, nous répond:

Un suicide à 10-11 ans est-ce un acte exceptionnel?
"Oui, cela reste un acte rare. Il faut savoir que l'on compte entre 600 et 800 suicides par an chez les 0-25 ans. Bien sûr, un bébé d'un an ne pense pas à se suicider et la majorité de ces suicides se font entre 15 et 25 ans. Ainsi, chez les moins de 15 ans, le nombre de suicides est de 10 à 15 par an. C'est pour cela que l'on peut dire qu'une fillette de 10-11 ans qui se donne la mort reste un acte assez rare. Mais cette tendance risque de ne pas aller en s'améliorant. On observe depuis ces cinq dernières années un rajeunissement de l'âge des suicides. Le seuil baisse à 13 ans. Le curseur s'est déplacé et l'on rentre dans l'adolescence bien plus tôt qu'avant. Il est tout à fait probable qu'il y en ait d'autres."

Quelles évolutions peuvent expliquer l'augmentation des suicides chez les plus jeune?
"Tout se rapporte à la société ultra moderne dans laquelle nous vivons. Une société centrée sur l'individu et non pas sur le groupe. Cette notion d'identité, de construction de soi est bien plus prégnante qu'avant. Et les jeunes y sont sensibles de plus en plus tôt. Ils ressentent une forme de pression qui peut pousser les plus sensibles à un acte suicidaire. Par ailleurs, dans cette société moderne on se sent bien plus seul qu'avant, mais l'humain ne peut pas se construire seul. La question du suicide est intimement liée à un sentiment de solitude.
Par ailleurs, l'acte suicidaire est rarement prémédité depuis des mois chez les personnes jeunes. Ils ne macèrent pas longtemps leur suicide, mais macèrent depuis longtemps leur mal-être."

Quelles raisons peuvent expliquer le suicide chez des enfants si jeunes?
"Une dispute, une mauvaise note peut constituer l'élément déclencheur, la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Mais personne ne se suicide pour une dispute avec sa mère. Il y a toujours une cause plus profonde au suicide. J'ai pu constater avec mes patients que le dénominateur commun à tous les suicides repose dans un problème majeur d'identité. Les jeunes suicidaires ont été blessés, humiliés dans leur construction identitaire. Pour les jeunes filles, il est très courant de constater des violences sexuelles dans l'enfance. Une homosexualité refoulée peut également expliquer un tel acte. Ce n'est pas forcément la cause des parents."

Dans une interview au Temps, une pédopsychiatre affirme: "A l'adolescence, on ne se suicide pas pour mourir", que pensez-vous de cette affirmation?
"C'était vrai il y a 20 ans, mais maintenant ça ne tient plus. De nos jours l'adolescence commence bien plus tôt. Le débat sur la question de la conscience de se donner la mort est obsolète. Les jeunes ne se disent pas 'j'ai conscience du suicide', ils ont juste un trouble qu'ils essaient de rompre. Ils boivent, prennent des médocs', fument du shit et après ils lâchent l'affaire. A 10-11 ans on a conscience du caractère irréversible de la mort."


L’auteur

Cécile Bouanchaud
Journaliste à la rédaction du Post



Sources : Le Post, Le Temps.ch

LINK : http://www.lepost.fr/article/2010/08/12/2182309_suicide-de-fillettes-a-10-11-ans-on-a-conscience-du-caractere-irreversible-de-la-mort.html




Tristeza
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Facteurs de risque du suicide à l'adolescence
Soumis par Gestion le 11 février 2006 Article psychologie Suicide
Le suicide à l'adolescence

Ghislaine Bouchard,
M.Ps. Psychologue


2e partie: FACTEURS DE RISQUE

La famille

Bien que plusieurs facteurs soient associés au suicide des adolescents, il demeure que les problèmes familiaux sont parmi les premières raisons évoquées par les adolescents suicidaires. Le climat familial est perturbé qu’il y ait séparation des parents ou non. On retrouve des caractéristiques telles que la présence de conflits parentaux et conjugaux, des abus physiques ou moraux des enfants, un climat de violence, l’alcoolisme d’un des parents, l’indifférence d’un des parents à l’égard du jeune, le manque de maturité de la mère, des difficultés ou une absence de communication, l’incompréhension, le manque de soutien, des difficultés dans la négociation des tâches reliées à leur individualité, des attitudes négatives ou négligeantes des parents envers le jeune, l’absence d’implication émotive, l’abandon ou le rejet du jeune, les placements fréquents en famille ou centre d’accueil.
Au niveau du contrôle parental, un contrôle excessif peut décourager l’indépendance et la réalisation de soi. L’adolescent dominé peut se sentir impuissant à changer ce qu’il ne peut tolérer. A l’inverse, l’inconsistance ou le manque de contrôle peut traduire l’indifférence des parents à l’égard de l’adolescent, avec ses conséquences de négligence, de carences affectives et éducatives qui constituent des caractéristiques fréquentes chez les adolescents suicidaires.

L’adolescent peut subir l’influence par le fait que des personnes dans son entourage ont fait des tentatives de suicide ou se sont suicidées. Il se produit alors une baisse du niveau d’inhibition face au geste suicidaire.

La vie sentimentale

Perdre la personne que l’on aime est un des événements le plus difficile à surmonter, peu importe l’âge. La plupart des adolescents vivent à un moment donné une peine d’amour. Par contre on observe que les jeunes suicidaires sont engagés plus intensément dans leur relation amoureuse et que la rupture laisse des traces très profondes. La douleur est intense, elle devient insupportable et le jeune a l’impression qu’il ne s’en remettra jamais, que sa souffrance n’aura pas de fin.

L’isolement social

Certains adolescents suicidaires sont seuls, ils ont l’impression d’être rejetés par leurs pairs. Cependant, tous les adolescents suicidaires ne sont pas nécessairement isolés socialement. Plusieurs possèdent un réseau d’amis, bien qu’ils vivent des difficultés relationnelles avec leurs pairs. Toutefois, ils ne sont pas réceptifs au soutien que peut leur offrir l’entourage. Ils préfèrent s’en sortir seul. Ils sont persuadés que personne ne peut les aider comme ils ont besoin de l’être. L’adolescent suicidaire vit donc un isolement qui est davantage affectif que physique.

L’ADOLESCENT À RISQUE


Fonctionnement familial perturbé
Vit des expériences émotionnelles difficiles, perte récente ou événement traumatisant
Déjà vécu un suicide dans leur famille ou leur cercle d’amis
S’identifie au défunt et voie en lui un modèle
Difficulté d’identification sexuelle, homosexualité
Adopte des comportements déviants tel que la délinquance, la prostitution
Problème de consommation de drogues, alcool, médicaments
Les fugues, les placements répétitifs en foyer ou centre d’accueil
Une ou plusieurs tentatives antérieures de suicide
LA PERTE

La crise suicidaire survient suite à une perte qui peut prendre différentes formes : besoins non satisfaits perçus comme une perte de support, d’amour. La perte peut aussi être dans des termes de perte d’identité et d’estime de soi. La charge émotive et affective liée à la perte est importante. Les réactions aux pertes sont intenses et l’adolescent possède un pauvre contrôle de la rage et de l’impulsivité. Quand les pertes et le stress s’accumulent, la réaction de l’adolescent peut aussi être désespérée et indifférente. Si l’adolescent continue de se détacher du support du système il y aura augmentation des sentiments de désespoir et perte de confiance que sa situation change.

Le suicide à l'adolescence (1 ère partie)

Le processus suicidaire chez l'adolescent (3e partie)

Mythes et réalités sur le suicide (4e partie)

Intervention pour aider une personne suicidaire (5e partie)

FONTE: http://www.psychomedia.qc.ca/articles-psychologiques/facteurs-de-risque-du-suicide-a-l-adolescence

quarta-feira, 19 de janeiro de 2011

A MULHER CONQUISTOU O DIREITO DE TER SOMENTE OS FILHOS QUE DESEJA, QUANDO OS DESEJA... MAS QUE É DO SEU DIREITO DE TER TANTOS FILHOS QUANTOS DESEJA, NO MOMENTO EM QUE OS DESEJA?

Eu sou, certamente, um ser em extinção.
Para muitos, sou mesmo uma aberração.

Mas, mais do que por um princípio católico, eu defendo que um acto de amor não se restringe a sexo. Defendo-o, por ser essa a minha natureza, nada mais.

Dizem que é comum uma mulher desejar ter mais filhos, mesmo quando acaba de ter (mais) um. Nada de mais normal, atendendo à sua natureza.

Mas, o que lhe diz a sociedade?
"Tu já tens esses, cria-os e não penses nisso.
Os tempos estão difíceis."

A uma mulher que, como eu, já se encontre na faixa dos quarenta, lembram-lhe que não é muito salutar, nem é bom para a criança, que terá uma mãe com idade de ser avó dele, para não falar que ele pode, de um momento para o outro, perdê-la.

Se vamos por aí, há que lembrar que qualquer criança pode, por uma fatalidade qualquer, perder a sua mãe, qualquer que seja a idade desta.

A natureza não diz à mulher que ela já não pode ter mais filhos.
A mulher ainda pode ser mãe, se assim o desejar, embora possa já não ter tantas facilidades.

Se a natureza não a impede, quem sois vós para a impedir?

E que é do direito do homem, perguntareis?
Certo, o homem pode aceitar ou não a paternidade.

A questão é se tem o direito de obrigar a mulher a aceitar um estado que ela não deseja, e que ela vive todos os meses?

Pode um homem impôr-lhe um estado que se torna, física e psicologicamente, difícil de suportar? Que é do direito que a mulher tem de ter (mais) filhos?

Não esqueçais que o homem não perde nunca o seu direito, pois continua a copular, tal como lhe manda a natureza.

Que o faça apenas por prazer, que o faça também para procriar, ele cumpre o seu papel. Não tem que suportar um estado que não deseja.

Nunca um homem deixa de agir como lhe manda a natureza por imposição de outra pessoa, mas por opção própria.

E quando eu falo em agir conforme a sua natureza não quero dizer "ter várias fêmeas", porque na natureza também as fêmeas não copulam com o mesmo macho, mas com o que elas escolhem naquele momento, por lhes parecer aquele que garante uma melhor progenitura.
Numa altura será um, noutra será outro.

Portanto, um homem raramente suporta um estado que não quer.
A mulher, sim, tem que o suportar.

Se já é difícil para aquela que não quer ter (mais) filhos, imaginai o que é para aquela que os quer ter!

Para quem não queria estar submissa à vontade do homem, eis que nos encontramos, mais do que nunca, à sua mercê.

A vontade de ter filhos é do casal, direis.

De acordo, desde que o homem não se esqueça de que é a mulher quem pode gerar e dar à luz, e não a obrigue a um estado que ela não deseja.

A vontade deve partir de ambos, sim, mas é o homem quem deve escutar a mulher, e não o contrário. Não deve a mulher submeter-se à vontade do homem, pois que a natureza manda este cumprir o desejo dela.

Eu não entendo isto como uma obrigação, muito menos como uma submissão do homem à vontade da mulher. Entendo mais como uma missão, ou, se preferis, a conquista do Santo Graal.

Pois o que há de mais nobre e mais puro que gerar uma nova vida num acto de amor?

Uma mulher que deseje ter (mais) filhos, mas o homem não, sente-se como? Não achais que isso interfere na vida do casal?
Muito provavelmente, sim.

Dificillmente um homem que não queira ter (mais) filhos se porá a alterar a sua própria natureza por meio de pílulas ou mesmo através de uma vasectomia. Limitar-se-á a usar um preservativo ou ao coito interrompido.

E se tal não lhe agradar (a ele), caberá à mulher impedir que a sua natureza siga o seu livre curso, pois que da vontade do homem.

Parece-vos isto justo?
Pergunto-me como pode um casal sobreviver, nestas condições...



Gravidez
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Trouxe-vos um post que reproduz em tudo o meu pensar.
Espero que toque, pelo menos, alguns de vós.




A contracepção em perguntas e respostas
Por Padre Luiz Carlos Lodi da Cruz

(que ensina a Igreja Católica sobre isso?)
1. Para que serve a união sexual?
R. Para exprimir o amor entre os cônjuges e para transmitir a vida humana.

2. Toda a relação sexual tem que gerar filhos?
R. Não necessariamente. Mas deve estar sempre aberta à procriação. Senão deixa de ser um acto de amor para ser um acto de egoísmo a dois.

3. Uma mulher depois da menopausa já não pode ter filhos. Ela pode continuar a ter relações sexuais com o seu marido?
R. Pode. Pois não foi ela quem pôs obstáculos à procriação. Foi a própria natureza que a tornou infecunda.

4. Um homem que tenha o sêmen estéril não pode ter filhos. Mesmo assim pode ter relação sexual com a sua esposa?
R. Pode. Pois não foi ele quem pôs obstáculos à procriação. Foi a própria natureza que o tornou infecundo.

5. E se o homem ou a mulher decidem por vontade própria impedir que a relação sexual produza filhos?
R. Neste caso eles estarão a pecar contra a natureza. Pois é antinatural separar a união da procriação.

6. Quais são os meios usados para separar a união da procriação?
R. Há vários meios, todos eles pecaminosos:
a) o onanismo ou coito interrompido: consiste em interromper a relação sexual antes da ejaculação (ver Gn 38,6-10)
b) os métodos de barreira, como o preservativo masculino (condom), o diafragma e o preservativo feminino.
c) as pílulas e injecções contraceptivas, que são substâncias tomadas pela mulher para impedir a ovulação.

7. Como é que a pílula contraceptiva funciona?
R. A pílula contraceptiva é um conjunto de dois hormónios - o estrógeno e a progesterona - que a mulher toma para enganar a hipófise (uma glândula situada dentro do crânio) e impedir que ela produza o hormónio FSH, que faz amadurecer um óvulo. A mulher que toma a pílula deixa de ovular, pois a hipófise está sempre a receber a mensagem falsa de que ela está grávida.

8. A pílula é um remédio para não ter filhos?
R. Não chamaria remédio a um comprimido que alguém tomasse para fazer o coração parar de bater ou para fazer o pulmão deixar de respirar. O que a pílula faz é que o ovário (que está a funcionar bem) deixe de funcionar. Logo ela não é um remédio, mas um veneno.

9. Quais são os efeitos desse veneno?
R. Além de fechar o acto sexual a uma nova vida, a pílula – conforme estudos realizados – expõe a mulher a graves consequências para a sua saúde. Eis algumas delas:
.doenças circulatórias: varizes, tromboses cerebrais e pulmonares, tromboflebites, trombose da veia hepática, enfarto do miocárdio;
.aumento da pressão arterial;
.tumores no fígado;
•câncro da mama;
.problemas psicológicos, como depressão e frigidez;
.obesidade;
•manchas de pele;
.cefaléias (dores de cabeça);
.certos distúrbios de visão;
.aparecimento de caracteres secundários masculinos;
.envelhecimento precoce.

(Cf. GASPAR, Maria do Carmo; GÓES, Arion Manente. Amor conjugal e paternidade responsável. 2. ed. Vargem Grande Paulista: Cidade Nova, 1984, p. 50-51.)

10. É verdade que as pílulas de hoje têm menos efeitos colaterais do que as de antigamente?
R. É verdade. Para reduzir os efeitos colaterais, os fabricantes diminuíram a dose de estrógeno e progesterona presentes na pílula. Isto significa que cada vez menos a pílula é capaz de impedir a ovulação.

11. Assim as mulheres de hoje que usam a pílula podem ovular?
R. Podem. E, caso tenham relação sexual, podem conceber. Mas quando a criança concebida na trompa chegar ao útero, não encontrará um revestimento preparado para acolhê-la. O resultado será um aborto.

12. Então a pílula contraceptiva é também abortiva?
R. Sim. Este é um dos seus mecanismos de acção: impedir a implantação da criança no útero. Isto está escrito, por exemplo, na bula de anticoncepcionais como Evanor e Nordette: “mudanças no endométrio (revestimento do útero) que reduzem a probabilidade de implantação (da criança)”. A bula de Microvlar diz: “Além disso, a membrana uterina não está preparada para a nidação do ovo (a criança)”.

13. Em resumo, quais são os mecanismos de acção das pílulas ou injeções anticoncepcionais?
R. a) inibir a ovulação;
b) aumentar a viscosidade do muco cervical, dificultando a penetração dos espermatozóides;
c) impedir a implantação da criança concebida (aborto).

14. Existem dias em que a mulher não é fértil. Nesses dias o casal pode ter relação sexual?
R. Pode. Pois ao fazer isso eles não colocam nenhum obstáculo à procriação. A própria natureza é que não é fértil naqueles dias.

15. O casal pode procurar voluntariamente ter relações sexuais somente nos dias que não são férteis, a fim de impedir uma nova gravidez?
R. Pode, mas deve ter razões sérias para isso. Pois em princípio um filho não deve ser “evitado”, mas desejado e recebido com amor. Uma família numerosa sempre foi considerada uma bênção de Deus (Cf. Catecismo da Igreja Católica, n. 2373).
[Nota da autora do blog: Somente por motivos graves, de extrema gravidade (psicológicos, económicos), deve uma mulher limitar, espaçar ou mesmo chegar a impedir a concepção de mais filhos. Motivos graves, não dá cá aquela palha. Egoísmo e trabalhar fora de casa; dar muito boa situação económica aos filhos que já tem e fazer viagens todos os anos não são motivos graves.

16. Como se chama a abstinência de actos conjugais nos dias férteis?
R. Chama-se continência periódica. É popularmente conhecida como “método natural” de regulação da procriação. Não se deve falar em “planiamento familiar”, pois esse termo foi criado pelos defensores do aborto, da esterilização e da anticoncepção. Os documentos oficiais da Igreja nunca usam a expressão “planiamento familiar”. Ao contrário, usam paternidade responsável ou procriação responsável.

17. Que diz a Igreja sobre a paternidade responsável?
R. “Em relação às condições físicas, económicas, psicológicas e sociais, a paternidade responsável exerce-se tanto com a deliberação ponderada e generosa de fazer crescer uma família numerosa, como com a decisão, tomada por motivos graves e com respeito à lei moral, de evitar temporariamente, ou mesmo por tempo indeterminado, um novo nascimento” (Paulo VI, Encíclica Humanae Vitae, n.º 10).

18. Dê exemplos de motivos graves que seriam válidos para se limitar ou espaçar os nascimentos através da continência periódica.
R. Nas palavras de Dom Rafael Llano Cifuentes, “já que o matrimónio ordena-se, pela sua própria natureza, aos filhos, esta decisão [de praticar a continência periódica] só se justifica em circunstâncias graves, de ordem médica, psicológica, economica ou social”.

As razões médicas “poderiam reduzir-se a duas:
1º) perigo real e certo de que uma nova gravidez poria em risco a saúde da mãe;
2º) perigo real e certo de transmitir aos filhos doenças hereditárias”.

“As razões psicológicas estão constituídas por determinados estados de angústia ou ansiedade anómalas ou patológicas da mãe diante da possibilidade de uma nova gravidez”.

“As razões económicas e sociais são aquelas situações problemáticas nas quais os cônjuges não podem suportar a carga económica de um novo filho; a falta de moradia adequada ou a sua reduzida dimensão, etc.

Estas razões são difíceis de avaliar, porque o padrão mental é muito variado e porque se introduzem também no julgamento outros motivos como o comodismo, a mentalidade consumista, a visão hipertrofiada dos próprios problemas, o egoísmo, etc.” (CIFUENTES, Rafael Llano. 274 perguntas e respostas sobre sexo e amor. 2. ed. Rio de Janeiro: Marques Saraiva, 1993. p. 141.)

19. Um casal poderia utilizar a continência periódica sem ter nenhum motivo sério para espaçar ou limitar o número de filhos?
R. Não. Se fizesse isso estaria a frustrar o plano de Deus, que disse: “Crescei e multiplicai-vos” (Gn 1,22). Para evitar que o casal decida valer-se da continência periódica por motivos egoísticos, a Igreja dá aos confessores a seguinte orientação: “... será conveniente [para o confessor] averiguar a solidez dos motivos que se têm para a limitação da paternidade ou maternidade e a liceidade dos métodos escolhidos para distanciar e evitar uma nova concepção” (PONTIFÍCIO CONSELHO PARA A FAMÍLIA, Vade-mécum para os confessores sobre alguns temas de moral relacionados com a vida conjugal, 1997, n.º 12).

20. É mais fácil educar um só filho do que muitos?
R. O Papa João Paulo II, quando ainda era cardeal de Cracóvia, escreveu: “A família é na realidade uma instituição educadora, portanto é necessário que ela conte, se for possível, com vários filhos, porque para que o novo homem forme a sua personalidade é muito importante que não seja único, mas que esteja inserido numa sociedade natural. Às vezes fala-se que é ‘mais fácil educar muitos filhos do que um filho único’. Também se diz que ‘dois não são ainda uma sociedade; eles são dois filhos únicos’”(WOJTYLA, Karol. Amor e responsabilidade: estudo ético. São Paulo: Loyola, 1982. p. 216.)

De facto, o filho único arrisca-se a ser uma criança problemática. Recebe toda a atenção dos pais e não está acostumado a dividir. Poderá ter dificuldades no futuro ao ingressar na sociedade civil. Já um filho com muitos irmãos acostuma-se desde pequeno às regras do convívio social. Os irmãos maiores ajudam a cuidar dos menores, e todos crescem juntos.

21. Quantos métodos naturais existem para regulação da procriação (da natalidade, da fecundidade, são outras expressões válidas)?
R. Existem vários métodos usados para se identificar os dias férteis da mulher, a fim de que o casal possa praticar a continência periódica.
a) o método Ogino-Knauss, ou método da tabela. É o mais antigo de todos e tem pouca eficácia. Hoje o seu uso está quase abandonado.
b) o método da temperatura. Baseia-se na observação da temperatura da mulher, que varia quando ocorre ovulação. O aparelho Mini-Sophia é uma versão electrónica e computadorizada do uso deste método.
c) o método Billings, que se baseia na observação do muco cervical, que se torna fluido e úmido nos dias férteis, e seco nos dias inférteis. Não exige que o ciclo menstrual seja regular. A vantagem é que pode ser usado pelos casais mais pobres e mais incultos.
[Nota da autora do blog: fiz um curso sobre este método, posso explicar na perfeição como funciona. Tenho a certeza absoluta que só falha se o casal quiser que falhe, se não tiver os cuidados necessários. É muito eficaz este método]

22. É verdade que o método Billings “não funciona”?
R. “Não funciona” para os fabricantes de contraceptivos, que não querem perder os seus lucros. Mas a Organização Mundial de Saúde (OMS) declarou que a eficiência do método é de 98,5 %. Ele foi testado em diversos países como Filipinas, Índia, Nova Zelândia, Irlanda e El Salvador.

23. Mas não é muito mais cómodo tomar a pílula contraceptiva do que abster-se de relações sexuais em certos dias?
R. Sem dúvida é mais cómodo. Mas o verdadeiro amor prova-se pelo sacrifício.
[Nota da autora: o amor a Deus tem, obrigatoriamente, que estar acima de qualquer amor. Por isso não aceito certo tipo de discurso, como por exemplo que os divorciados recasados são convertidos. Mentira! Conversão é radical! Amor a Deus acima de todo e qualquer amor.]

24. E se a mulher engravidar apesar de praticar a continência periódica?
R. O filho deve ser recebido com amor e alegria. Aliás, o casal já deveria estar a contar com esta possibilidade. A atitude de abertura à vida é fundamental para o verdadeiro amor.
[Nota da autora do blog: E também é fundamental para o crescimento na santidade e na fidelidade a Deus.]

FONTE: http://a-dignidade-da-mulher-catolica.blogspot.com/2010/04/contracepcao-em-perguntas-e-respostas.html

terça-feira, 18 de janeiro de 2011

A MATERNIDADE E O ENCONTRO COM A PRÓPRIA SOMBRA

A maternidade e o encontro com a própria sombra
(Brasil)

Este é um livro escrito para mulheres. Não pretende ser um guia para mães desesperadas. Ao contrário, é uma espécie de “alto lá!” no caminho para que possamos pensar como mães que estão criando seus filhos, com nossas luzes e sombras emergindo e explodindo em nossos vulcões em chamas.
Muitos aspectos ocultos de nossa psique feminina são desvelados e ativados com a chegada dos filhos. Estes momentos são, habitualmente, de revelação e de experiências místicas se estivermos dispostas a vivê-los nesse sentido tais e se encontrarmos ajuda e apoio para enfrentá-los. Também são uma oportunidade de reformularmos as ideias preconcebidas, os preconceitos e os autoritarismos encarnados em opiniões discutíveis sobre a maternidade, a criação dos filhos, a educação, as formas de criar vínculos e a comunicação entre adultos e crianças.
Este livro pretende abordar a experiência vital da maternidade como vibração energética mais do que como pensamento linear.
Trazer as experiências que todas as mulheres atravessam como se fossem únicas, sabendo, ao mesmo tempo, que são compartilhadas com as demais fêmeas humanas e fazem parte de uma rede intangível em permanente movimento. Mesmo sendo muito diferentes umas das outras, as mulheres ingressam em um território onde circula uma afinidade essencial comum a toda mãe. Refiro-me ao encontro com a experiência maternal como arquétipo, em que cada uma se procura e se encontra em um espaço universal, mas buscando também a especificidade individual.
Por meio de diversas situações cotidianas, descreveremos um leque de sensações em que qualquer mulher que se tenha tornado mãe poderá facilmente identificar. Paradoxalmente, o uso da linguagem escrita como ferramenta para transmitir essas experiências pode ser um obstáculo, pois atende a uma estrutura em que vários elementos vão se ordenando para construir um discurso. A abordagem do universo da psique feminina, que pertence a uma construção oculta do ponto de vista de nossa cultura ocidental, então se complica. Nesse sentido, para acessar e compreender este livro, serão muito úteis a intuição ou as sensações espontâneas que nos permitam fluir com o que nos acontece quando percorremos alguma página escolhida ao acaso.
De qualquer maneira, é de se imaginar que ficaremos presas à tentação de discutir calorosamente quais são os pontos em que estamos de acordo ou em profundo desacordo. Embora as discussões que venham a surgir entre as mulheres possam ampliar o pensamento, insisto em tentar uma leitura mais emocional, esperando que tenha ressonância no infinito. Ou seja, captar o conteúdo sensorial, imaginativo ou perceptivo, em vez de aprender ou avaliar os conceitos linearmente. Isso tem a ver com deixar abertas as portas
sutis e estar atenta às que vibram com especial candura. Permitamos que aquelas que não nos sirvam sigam seu caminho sem nos distrair.
Suspeito que há vários pontos de partida para a leitura: o mais evidente é a partir do “ser mãe”. Espero, também, que o livro seja interessante para as profissionais de saúde, comunicação ou educação que tenham contato com mães, cada uma esperando, com suas próprias ferramentas intelectuais, obter resultados convincentes no que se refere ao comportamento e ao desenvolvimento das crianças.
Acredito que é possível conservar as duas visões simultaneamente; de fato, muitas de nós somos profissionais no campo das relações humanas e também somos mães de crianças pequenas.
Espero conseguir transmitir a energia que circula nos grupos que funcionam dentro da instituição que dirijo, nos quias as mães se permitem ser elas mesmas, rindo dos preconceitos e dos muros que erguem por medo de ser diferentes ou de não ser amadas. Ali foi gestada a maioria dos conceitos que fui nomeando nestes últimos anos e que, tocados por uma varinha mágica, começaram a existir.
Na Escuela de Capacitación Profesional de Crianza, continuamos inventando palavras para nomear o indefinível, os estados alterados de consciência do puerpério, os campos emocionais em que ingressamos com os bebês, a loucura indefectível e esse permanente não
reconhecer mais a si mesma. No intercâmbio criativo, as profissionais tentam encontrar as palavras corretas para nomear o que acontece conosco. Arrependo-me de não ter filmado as aulas ou as entrevistas individuais com as mães que nos consultam, porque esse poder, esse florescer dos sentimentos femininos, raramente pode ser traduzido com exatidão pela palavra escrita. Conto, assim, com a capacidade de cada leitora de se identificar com os relatos, imaginando a essência e sentindo que, definitivamente, todas somos uma.
Por último, convido-as a fazer esta viagem juntas, preservando a liberdade de levar em consideração apenas o que nos seja útil ou possa nos apoiar. Esta é minha maneira de contribuir para gerar mais perguntas, criar espaços de encontro, de intercâmbio, de comunicação e de solidariedade entre as mulheres. Esse é meu mais sincero desejo.

Laura Gutman


Sumário

PREFÁCIO

CAPÍTULO 1
Uma emoção para dois corpos
A fusão emocional • As crianças são seres fusionais • Início da separação
emocional • Por que é importante compreender o fenômeno da
fusão emocional? • O que é a sombra? • Por que é tão árduo criar um
bebê? • As depressões pós-parto existem ou são criadas? • O caso Romina
• A perda de identidade durante o puerpério • Entre o externo e
o interno.

CAPÍTULO 2
O parto
O parto como desestruturação espiritual • Institucionalização do parto • A submissão durante o parto ocidental: rotinas • Reflexões sobre os maus-tratos • A opção de parir cercada de respeito e cuidados • Acompanhar o parto de cada mulher • Existe um lugar absolutamente ideal para parir? • Parto e sexualidade • Recordando meu segundo e terceiro partos.

CAPÍTULO 3
Lactação
Amamentar: uma forma de amar • O encontro com seu eu • O início da lactação • As rotinas que prejudicam a lactação • O bebê que não engorda • O caso Estela • Há mulheres que não têm leite? • Os bebês que dormem muito • O caso Sofia • Algumas reflexões sobre o desmame • Valéria quer desmamar sua filha.

CAPÍTULO 4
Transformar-se em puérpera
Preparação para a maternidade: ao encontro da própria sombra • A relação amorosa no pós-parto • A doula: apoio e companhia • Feminilizar a sexualidade durante o pós-parto.

CAPÍTULO 5
O bebê, a criança e sua mãe fusionada
As necessidades básicas do bebê do nascimento aos 9 meses • O olhar exclusivo • A capacidade de compreensão das crianças pequenas (falar com elas) • Recursos concretos para falar com as crianças • Estrutura emocional e construção do pensamento • Separação emocional e comunicação • Cuidados com as crianças “com problemas” • O caso Norma • O caso Constanza • Cada situação é única.

CAPÍTULO 6
Apoiar e dividir: duas funções do pai
O papel do pai como esteio emocional • Confusão de papéis nos tempos modernos • E quem apoia o pai? • O papel do pai como separador emocional • Outros separadores • O caso Pablo • Manter o lugar do pai mesmo que esteja ausente • Criar os filhos sem pai • As crianças que acordam à noite: a importância da figura paterna • Funções feminina e masculina na família.

CAPÍTULO 7
As doenças infantis como manifestação da realidade emocional da mãe
Materialização da sombra • Uma visão diferente das doenças mais frequentes na primeira infância • Os resfriados e a mucosidade • Asma • O caso Eloísa • Alergias • Infecções • O caso Rodrigo e sua mãe • Problemas digestivos • Comportamentos incômodos: o caso Florencia • O caso Marcos: fusão emocional, música e linguagem.

CAPÍTULO 8
As crianças e o direito à verdade
Verdade exterior • Verdade interior • A busca da própria verdade • A verdade nos momentos difíceis • A verdade nos casos de adoção • O caso Bárbara (dar um novo significado à morte de um ente querido) • O caso Sandra.

CAPÍTULO 9
Os limites e a comunicação
As crianças precisam de mais limites ou de mais comunicação? • Para ouvir o pedido original: acordos e desacordos • O uso do “não”, um recurso pouco eficaz • As crianças tiranas • O tempo real de dedicação exclusiva às crianças • Os “caprichos” quando nasce um irmão • As crianças e as exigências de adaptação ao mundo dos adultos • A loucura das festas de fim de ano nos jardins de infância • O estresse das crianças • O caso Rodrigo.

CAPÍTULO 10
Prazer das crianças, censura dos adultos
O controle natural dos esfíncteres e o autoritarismo dos adultos • O controle noturno dos esfíncteres • O caso Brígida • A sucção: prazer e sobrevivência • A água, essa doce sensação • Ao baleiro da esquina, com amor • Crianças, alimentação e natureza • Exigências e alternativas na hora de comer.

CAPÍTULO 11
Comportamentos familiares na hora de dormir
Transtornos do sono ou ignorância sobre o comportamento previsível do bebê humano? • A noite e os bebês de zero a dois anos • No compasso das opiniões • As crianças com mais de dois anos que acordam à noite • Procurase um separador emocional (para ler com o homem) • As crianças também querem dormir.

CAPÍTULO 12
Crianças violentas ou crianças violentadas?
Algumas reflexões sobre a violência: ao conhecimento de si mesmo • Violência ativa e violência passiva: um guia para profissionais • O caso Roxana • Crianças agressivas: reconhecendo a própria verdade • As crianças que provêm de famílias violentas • Crianças que sofreram abusos emocionais ou sexuais: abuso entre crianças • A negação salvadora: o caso Rubén e o caso Leticia • A visão profissional.

CAPÍTULO 13
As mulheres, a maternidade e o trabalho
Maternidade, dinheiro e sexualidade • A confusão de papéis nos trabalhos maternos • As instituições educacionais • Em busca do ser essencial feminino.

EPÍLOGO

FONTE: http://www.lauragutman.com/en_brasil/libro_mater_brasil.html



Bebês
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RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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