segunda-feira, 3 de janeiro de 2011

UN PROGRAMME TROMPEUR QUI PRIVE LES ENFANTS DE LEUR MÈRE!

vendredi 14 novembre 2003


États-Unis
Un programme qui prive les enfants de leur mère
par Liz Richards


J’œuvre auprès de plaignantes mères de famille depuis 1995. Un jour, j’ai été informée, par leurs dirigeants eux-mêmes, qu’un organisme de défense des droits des pères de Virginie du Nord utilisait un programme fédéral de garde d’enfants comme stratégie dite de " terre brûlée" contre les mères.

Ma banque de données, plus de 850 demandes, inclut 80 plaintes provenant de Virginie du Nord, la plupart concernant les droits des pères. Et, bien qu’ils parlent de " garde commune " et d’" éducation conjointe ", en réalité, cela se traduit par du harcèlement juridique et des enfants privés de leur mère.

Les gens supposent que les tribunaux sont en faveur des mères. Or, il existe une hostilité profonde envers les mères qui se plaignent. Un phénomène de sympathie inversée envers les hommes perçus comme opprimés résulte souvent en un backlash contre les femmes.

Les hommes emploient ce stratagème pour obtenir la garde des enfants ainsi que pour bénéficier d’obligations financières réduites - allant même jusqu’à provoquer des querelles pour susciter des plaintes. Les hommes ont appris qu’ils pouvaient mentir au tribunal et justifier leur comportement inadéquat en accusant les femmes. Peu de gens osent les confronter, tandis que les femmes sont sommées de se taire - tant par leur propre famille que par leurs avocats.

Ces porte-flambeaux des droits du père font en fait partie d’une branche secrète d’une organisation juridique basée en Californie, l’Association des tribunaux de la famille et de médiation (Association of Family and Conciliation Courts), qui les utilisent pour créer des litiges. Le Conseil des droits des enfants (Children’s Rights Council) et la Coalition américaine pour les pères et les enfants (American Coalition for Fathers and Children), basés en Virginie, sont des groupes très actifs au sein de cette association.

Le Conseil des droits des enfants est lié de près aux juges et aux professionnels de l’Association des tribunaux de la famille et de médiation, et lui fournit les cas de ses membres. Ce conflit d’intérêt demeure secret.

Le Conseil des droits des enfants est également affilié à des psychologues pro-pédophiles, tels Richard Gardner et Ralph Underwager, dont les thèses - fortement critiquées - en faveur des abuseurs/pédophiles, sont utilisées en cour pour masquer les abus et attribuer la garde aux pères.

Le Conseil des droits des enfants et la Coalition américaine pour les pères et les enfants ont mis en œuvre un programme fédéral relatif à la " garde-type ", basé sur les méthodologies de Gardner, bien que celui-ci soit dénoncé par beaucoup de membres de la profession juridique comme faisant la promotion de la pédophilie.

Tant la Revue trimestrielle de droit de la famille (Family Law Quarterly), la branche californienne de l’Organisation Nationale des Femmes (California National Organization for Women) que l’Université de Wellesley ont publié des rapports confirmant la tendance de plus en plus répandue des tribunaux à attribuer la garde des enfants aux hommes abuseurs, tandis qu’ils restreignent les mères victimes à un droit de visite limité.

Les programmes de garde pour les pères sont financés par le Service d’exécution des ordonnances de pension alimentaire aux enfants (Child Support Enforcement Office), du Ministère fédéral de la santé et des services aux citoyens, un département dirigé par les alliés des droits des pères depuis dix ans.

Tant David Gray Ross, ex-commissaire du Service d’exécution des ordonnances de pension alimentaire aux enfants, que l’actuel secrétaire adjoint du Ministère fédéral de la santé et des services aux citoyens, Wade Horn, ont contribué à transformer le ministère en agence de garde pour les pères, par l’intermédiaire des programmes " Accès/Visite " et " Père responsable " incorporant les méthodologies de Gardner.

Alors que ces programmes sont présentés au public comme favorisant une " paternité responsable ", les documents officiels indiquent que le but est de fournir gratuitement aux pères des avocats pour plaider leur cause et obtenir la garde des enfants.

Ces programmes étatiques sont si biaisés en faveur des abuseurs qu’à Tacoma (Washington), le programme a assumé les frais de l’avocat du tireur isolé de Beltway (Beltway Sniper) John Allen Muhammad, - dont un voyage à l’est des États-Unis à la recherche de l’ex-conjointe de son client.

Le Ministère de la Santé de Virginie gère plusieurs de ces programmes et a d’ailleurs alloué au Conseil pour les droits des enfants une subvention pour la mise en place de centres de visites.

Mais des personnes qui surveillent ce genre d’activités ont dénoncé les pratiques malhonnêtes ayant cours dans ces centres, comme la manipulation des chiffres pour obtenir plus de financement ou l’omission de mentionner au tribunal le comportement violent d’un père afin qu’il obtienne la garde des enfants.

En outre, Wade Horn a initié une Campagne de Paternité de Virginie (Virginia Fatherhood Campaign), en ayant recours à son ancienne organisation, l’Initiative de Paternité Nationale (National Fatherhood Initiative), qu’il rémunère, sur une base annuelle, à titre de consultant. Après que j’eus identifié des contradictions majeures révélées par des entrevues avec la plupart des bénéficiaires de la Campagne de Paternité de Virginie, un rapport de vérification de l’État a confirmé que la conjointe de Horn travaillait pour l’Initiative de Paternité Nationale et que le programme référait des hommes à des groupes de pères afin de les " aider " avec leurs problèmes de pension alimentaire et de garde d’enfants.

La division virginienne d’exécution des ordonnances de pension alimentaire aux enfants (Virginia Division of Child Support Enforcement) gère un autre programme en collaboration avec la Campagne de Paternité de Virginie , en procurant une aide spéciale aux pères. Ainsi, cette agence étatique viole les règles de l’éthique en fournissant des services juridiques aux adversaires des clients pour lesquels ils sont mandatés par le Congrès.

Le Service d’exécution des ordonnances de pension alimentaire aux enfants a pour mission de faire exécuter les ordonnances, et non de divulguer des astuces à l’autre partie sur la façon de contourner la loi. Si les législateurs et les fonctionnaires du Ministère de la Santé estiment que les hommes ont besoin d’une aide additionnelle afin de ne pas perdre leur cause en cour, il suffit alors de créer un organisme de promotion des droits des hommes, et non pas de se cacher derrière des noms tels que " paternité responsable " et autres revendications trompeuses afin d’inciter les pères à les appuyer.

Les programmes de paternité causent un grave préjudice aux enfants et à leurs mères. Ils devraient être abandonnés immédiatement - et faire l’objet d’enquêtes.

(Révision de la traduction : Nathalie Durand)

Northern Virginia, Opinion Section 14-Jan-03
Reproduction sur Sisyphe autorisée par l’auteure. On peut la joindre à LIZGOAL@aol.com

Mis en ligne sur Sisyphe, le 7 novembre 2003

© Sisyphe 2002-2010

FONTE: http://sisyphe.org/



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Underwager, co-inventeur du sap: interview

Paidika : Selon vous, le choix de la pédophilie est-il un choix responsable pour les individus ?

Ralph Underwager : Certainement. J'ai été frappé en apprenant à mieux connaître et comprendre les personnes qui choisissent la pédophilie, de voir à quel point elles se laissent définir par d'autres personnes. Cette définition est habituellement et avant tout négative. Les pédophiles dépensent beaucoup de temps et d' énergie à défendre leur choix. Je ne pense pas qu'un pédophile ait à faire cela.

Les pédophiles peuvent affirmer fièrement et courageusement leur choix. Ils peuvent dire que leur volonté est de trouver la meilleure façon d'aimer. Je suis également théologien, et en tant que théologien, je crois que c'est la volonté de Dieu qu'il existe de la proximité et de l'intimité, de l'unité de la chair entre les gens.

Un pédophile peut dire : "Cette proximité est une possibilité pour moi au sein des choix que j'ai fait." Les pédophiles sont trop sur la défensive. Je pense que les pédophiles peuvent affirmer qu'ils choisissent de vivre l'intimité et l'amour. Avec fierté, ils peuvent dire "Je crois que ceci fait vraiment partie de la volonté de Dieu". Ils ont le droit d'affirmer ces choses pour eux-mêmes en tant que choix personnels. Mais c'est une autre question de savoir s'ils arrivent à persuader d'autres personnes qu'ils ont raison (rire).

Paidika : Vous dites que les pédophiles devraient affirmer le fait qu'ils croient que la pédophilie fait partie de "la volonté de Dieu". Cela veut-il également dire que lorsqu'un pédophile mentionne la volonté de Dieu, cela implique qu' il connaît réellement la volonté de Dieu ?

Ralph Underwager : (riant) Evidemment, je ne suis pas en lien direct avec la volonté de Dieu. Mais je pense que c'est la volonté de Dieu que nous soyons libres. Je crois que la volonté de Dieu est que nous disposions d'une liberté absolue. Pas de conditions, pas de contingences. Lorsque l'apôtre saint Paul dit "Toute chose m'est légitime", il ne le dit pas une fois mais à quatre reprises. "Toute chose m'est légitime". Il ajoute également que tout ne marche pas toujours.

Paidika : Votre analyse de l'hystérie autour de la sexualité des enfants réfère à la rupture du contrat social et à un dysfonctionnement religieux/mythique. Reconnaissez-vous d'autres causes que celles-ci ?

Ralph Underwager : Je rajouterais le féminisme radical, qui inclut une forte dose de haine des hommes. Je pense que d'une façon très concrète ces femmes peuvent être jalouses du fait que des hommes soient capables de s'aimer, d'être des camarades, amis, proches, intimes, de travailler de façon coopérative, de fonctionner en groupe. Cela peut rendre des femmes jalouses que des hommes affirment que la masculinité peut inclure l'intimité et la proximité liées au sexe. Ceci s'appliquerait autant pour les liens entre hommes, que pour la sexualité pédophile. La femme est jalouse de cette connexion. Elle dit, "Attends voir, nous n'allons pas vous laisser faire ça!"

Paidika : N'est-ce pas un souhait raisonnable pour les pédophiles de vouloir obtenir la décriminilisation de la sexualité pédophile? Ce n'est peut-être pas réaliste aujourd'hui aux Etats Unis mais n'est-ce tout de même pas un but légitime ?

Ralph Underwager : Oh oui, certainement, certainement. Je veux dire, Jésus a dit: "Je ne veux vraiment pas faire ceci. Je ne veux pas monter là vers le Calvaire." De même pour la décriminalisation, la vraie question est: si on n'y est pas, comment va-t-on y arriver ?

Paidika : Des conseils ?

Ralph Underwager : Prenez le risque, assumez les conséquences du risque, et affirmez: ceci est quelque chose de bien. Les pédophiles doivent devenir plus positifs et affirmer que la pédophilie est une expression acceptable de la volonté de Dieu d'amour et d'unité entre les humains.

Ce serait bien si quelqu'un pourrait obtenir un fonds important de recherche afin de faire une étude longitudinale de, disons, 100 garçons de 12 ans en relation avec des pédophiles aimants. Quiconque ferait cette étude aurait à suivre ces garçons à des intervalles de 5 ans pendant 20 ans. Ceci est impossible aujourd'hui aux États Unis. On parle donc d'un futur très éloigné.


FONTE: http://forum.aufeminin.com/



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Underwager was a prolific defense expert for people accused of child sexual abuse. By the late 1980s, he had appeared in court on behalf of defendants in child sexual abuse cases more than 200 times in the US, Canada, Australia, New Zealand and Britain.[8] In court and in the media, Underwager claimed that 60% of women sexually abused in childhood reported that the experience was good for them,[9] he characterized child protection investigations as nothing less than an "assault on the family as an institution"[10] and he alleged that 75% of mothers alleging sexual abuse in custody proceedings suffered from a "severe personality disorder" that prompted them to manufacture false allegations.[11] He claimed that forensic interviews with children inevitably lead the child to confabulate an account of satanic ritual abuse because the "fantasy world of children is filled with mayhem, murder, cannibalism, blood and gore".[12] He claimed that all forensic interviews with children provoked this sadistic sexual fantasy life, creating "psychotic" and sexualized children who were "ruined for life".[13]

Anna Salter claimed that in response to her criticism of his courtroom testimony and for claiming he lied in order to help child molesters evade punishment, Underwager filed several unsuccessful suits against Salter as well as other threatening actions.[14]

FONTE: Wikiédia



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Dr. Salter received her Ph.D. in Clinical Psychology and Public Practice from Harvard University and obtained a Masters Degree in Child Study from Tufts. She was a Teaching Fellow at both Universities.

Dr. Salter has lived in Madison Wisconsin since 1996 and consults half time to the Wisconsin Department of Corrections. In addition, she lectures and consults on sex offenders and victims throughout the United States and abroad. She has keynoted conferences on sexual abuse in Australia, New Zealand, Scotland and England. In all, she has conducted trainings in 45 states and 8 countries. Dr. Salter also evaluates sex offenders for civil commitment proceedings and other purposes. She testifies as an expert witness in sexual abuse civil and criminal cases.

Before moving to Madison, Dr. Salter was on the faculty of Dartmouth Medical School in Lebanon, New Hampshire in the Departments of Psychiatry and Maternal and Child Health. While there, she was Director of Psycho-social Training for the Pediatric Residency Program, Director of Child Psychiatry Consultation to the Pediatric Ward, Co-Director of the Parenting Clinic, Assistant Director of the Children-at-Risk Program and Director of the Parents in Distress Program. She also won the Saul Blatman Teaching Award in the Department of Pediatrics and Maternal and Child Health.

Dr. Salter is the 1997 winner of the Significant Achievement Award from the Association for the Treatment of Sexual Abusers.

She is the author of three nonfiction books:

Predators: Pedophiles, Rapists and Other Sex Offenders: Who They Are, How They Operate and How We Can Protect Ourselves and Our Children. (2003) New York: Basic Books

Transforming Trauma: A Guide to Understanding and Treating Adult Survivors of Child Sexual Abuse. (1995), Newbury Park, CA, Sage Publications

Treating Child Sex Offenders and Victims: A Practical Guide. (1988) Newbury Park, CA, Sage Publications.

In addition she has produced two educational video tapes:

Truth, Lies and Sex Offenders

Sadistic Offenders: How They Think, What They Do

Dr. Salter has also published four forensic mysteries:

Shiny Water

Fault Lines

White Lies

Prison Blues

Prison Blues has been nominated for a 2003 Edgar Allan Poe Award in the category of Best Original Paperback.

FONTE: http://annasalter.com/biography.html

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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