quarta-feira, 29 de junho de 2011

LE BAISER DES NARCISES!

(...) : belle autrefois, Dora était devenue mignonne. (...) sa vérité... Son apparence avait fini par l'exprimer avec justesse...

"j'étais vraiment magnifique. (...) Alors, évidemment, j'étais la proie idéale pour Fred G. Il sést servi de mon insécurité pour m'attrapper dans ses filets. Ah ç, il était tr
es habile. Non pour aimer, mais pour se faire aimer. Il devinait ce qu'une femme fragile a envie d'entendre. Et pour cause! Son problème à lui était symétrique du mien: sa laideur. Bref, l'un et l'autre, nous ne pensions qu'à notre image."

Elle rit. En la voyant si naturelle, je songeais que Fred G et elle avaient accompli un trajet inverse: lui était devenu la caricature de lui-même, une sorte d'icône pop qui refusait de vieillir et soignit son image en cltivant un dandisme sophistiqué; elle avait accepté le temps qui passe et, ce faisant, s'était débarrassée de son image. Dora portait son âge non pas comme une coquetterie, mais comme une sagesse. (...).

"(...) La raison du baiser n'est pas l'amour mais l'égocentrisme. Chacun va vers l'autre en ne pensant qu'à lui. Moi parce que je doutais de ma beauté. Lui parce qu'il voulait douter de sa laideur".

(...)

"Regardez bien. Pendant le baiser, je ferme les yeux tandis que lui se regarde dans le mirroir qui se trouve derrière moi. Vous parlez d'un échange! Comment Edmon Brouba appelait-il cette photographie?

- La Belle et la Bête"

Elle sourit puis elle ajouta de sa voix lumineuse et claire, tel un ruisseau qui coule:

"Je vous permets de la publier mais je propose un titre plus adéquat.

- Lequel?

- Le baiser des narcises"


LA BELLE ET LA BÊTE, une nouvelle inédite d'Éric-Emmanuel Schmitt, in PSYCHOLOGIES MAGAZINE nº 309

segunda-feira, 27 de junho de 2011

domingo, 26 de junho de 2011

JESUS HAD 2 DADDIES

C'est ce qui disent les homossexuels.

Alors, il était chanceux, lui.
C'est peut-être pour ça qu'on raconte -les mauvaises langues, surement- qu'il était homossexuel.



J'apprécie beaucoup quelques écrits bibliques, mais je m'en doute que Jésus ait été vraiment un saint. Défendre une prostitué (là, je n'ai rien à dire, bien au contraire), et ignorer sa propre mère!



Vous vous rappelez de la scène du soit-disant miracle du vin (apparemmment les convives étaient trôp burrés pour qu'ils s'apperçoivent que jésus n'avait rien fait d'autre qu'ajoutter de l'eau au vin qui restait, d'après le livre de Hubert Prolongeau, LE BAISER DE JUDAS), où sa mère l'a appelé et il lui a répondu grossièrement "qu'est-ce que tu me veut encore, femme?"



Moi, je suis chrétienne d'éducation, mais j'ai toujours défendu des idées à moi.

Certainement pas cette idée de coparentalité qui veut, à toute force, effacer la place de la mère de la vie de son enfant. Certainement pas l'idée de l'egalité absolue, tant qu'il existe les diférences et les besoins de l'enfant, toujours oubliés, par ce que je vois.



Qu'on défende la valorisation de la paternité, je n'ai rien à dire.

Sauf si cette valorisation entraîne une dévalorisation de la maternité.



Je viens de visiter le blog d'un père où il défend qu'il faut valoriser le rôle du père, ne voulant pas -assure-t-il- nier l'importance du rôle de la mère. Ce sont des rôles différents, affirme-t-il.



http://coparentalite-paternite.blogspot.com/2010/08/un-pere-cest-important.html



Alors, si le père est important, ceux qui ont deux sont bien chanceux.



Mais qu'est-ce qui arrive à ceux qui n'ont aucun, comme ceux qui vivent avec deux femmes? Car, oui, un enfant peut vivre avec deux femmes, mais pas avec une femme seule (là, il manque toujours un père!)



Apparemment, les études démontrent que les enfants vivant avec deux personnes du même sexe (que ce soit deux hommes ou deux femmes) se développent aussi bien et sont aussi heureux que ceux qui vivent avec un homme et une femme. Ce qui veut dire que, dans les cas où l'enfant vit avec deux hommes, le rôle du père est doublement important, mais, dans les cas où il vit avec deux femmes, ce rôle perd toute importance. Le père ne sera qu'un insémineur.



De même pour la femme: dans le cas où l'enfant vit avec deux hommes, la maternité n'a aucune importance, et dans les cas où il vit avec deux femmes elle devient doublement importante. Dans le premier cas, la mère ne sera que la génitrice.



Puisque les hommes ne veulent pas être considérés comme seuls insémineurs et les femmes comme seules génitrices, je ne comprends toujours pas comment on défend ce que les gays et les lésbiennes demandent. "Il a de la tolérance, mais pas assez", nous disait un homossexuel. Il me semble qu'on oublie, encore et encore, les droits de l'enfant.



Il a certainement le droit d'être aimé et protégé. Quelqu'un peut le faire.

Aurait-il choisit de vivre avec deux papas ou deux mamans, au lieu d'un papa et une maman?

Aurait-il choisit d'être séparé de sa maman?



Et puis, il reste un problème: celle qui est la véritable mère, et celui qui est le véritable père, aura quand même, il me semble, plus de droits que celle qui a adopté l'enfant de sa compagne et celui qui a adopté l'enfant de son compagnon. Tout comme il se passe dans les familles recomposées, où une marraine ne peut prétende avoir les mêmes droits que son compagnon (père de l'enfant) et le parrain les mêmes droits de sa compagne (mère de l'enfant).



Qu'est-ce qu'il feront en cas de séparation (vous n'imaginez tout de même pas que les couples homossexuels sont plus fidèles que les autres , et on raconte même que les scènes de violence y sont encore pire...)? Est-ce que la vraie mère (biologique, de droit et social) va devoir partager la garde de son enfant avec celle que la société a décidé d'accepter comme l'autre mère? Et le vrai père, devra-t-il partager la garde de son enfant avec son ex-compagnon? On se dirait dans une histoire de Salomon.

Un enfant qui doit prendre son sac pour aller chez son autre mère/père.
Un enfant qui a deux pères/mères et deux parrains/marraines.

Est-ce que le parrain (ou la marraine) aura le même droit que celui (ou celle) qui n'était le père (ou mère) que dans un papier? Trôp confus pour un enfant...



Jésus a eu, à croire les écritures, deux pères.

Mais seule la mère était la vraie.




Eis alguém que pensa como eu:

http://umaespecie.blogspot.com/2010/09/filhos-sem-mae.html

sexta-feira, 24 de junho de 2011

11º MANDAMENTO: NÃO IMPORÁS A TUA VONTADE!

Assim o diz o dicionário:



CAPRICHO - nm 1 Vontade súbita e sem justificação 2 teima; birra





Eu pergunto: será que todas as mulheres que decidem, por qualquer razão, mudar para outro lugar, o fazem somente por capricho? Terei eu, por exemplo, agido por capricho quando, ao cabo de dois anos de sacrifício, decidi mudar-me? Terá sido a vontade da minha filha mais velha de ficar comigo -vontade essa expressa em tribunal quando tinha já 10 anos e meio passados- um mero "capricho", como ficou escrito na sentença que a impediu de se juntar à sua mãe e à sua única irmã?



Alguém me perguntava: e que solução é que encontras para o problema de um dos pais (regra geral a mãe) se mudar? Respondi que, em primeiro lugar não se lhe pode impôr que fique, como também não se lhe pode impôr que se separe dos filhos. A única coisa que se impõe é o diálogo e a compreensão.


http://www.peticaopublica.com/?pi=P2010N1902


http://www.lapetition.be/en-ligne/non-limposition-de-la-rsidence-alterne-par-dfaut--4045.html

quinta-feira, 23 de junho de 2011

A FALAR É QUE A GENTE SE ENTENDE! (ASSIM O FIZESSEM TODOS...)

EU:

Eu estive no teu blog, Kristiana, e li os comentários sobre o teu português. Esses comentários não são meus, de certeza, que eu não tenho comentários desse estilo. Não me reconheço em nenhuma das palavras que li nesses comentários. Já te expliquei isso também, lá no blog. Não sei porque cargas de água foste tu pensar que eram meus...

Bom, tu dizes que o teu marido é informático. Eu percebo pouco da coisa, mas acho que não seria a primeira vez que um comentário que se julga vir de uma pessoa vem afinal de uma outra. Essa coisa de vírus e pirataria que põe tudo de pantanas.
Vê lá tu que hoje estive no blog do meu ex e ele estranha ter muitos visitantes, até mesmo do fim do mundo, quando lhe desapareceram seguidores e diminuiram os comentários, e pelo menos uma das pessoas que lá comentou disse estar a passar pelo mesmo problema. Eu nunca comento lá, mas não deixei passar a ocasião de frisar que também eu ando às aranhas. Pensava eu que era a única, disse-lhe eu.

Honestamente, Kristiana, pelos comentários que faço, por aqueles a que respondo e pelo que escrevo (e da forma que eu escrevo), pensas ainda que fui eu que escrevi aquilo no teu blog?
Sem querer ofender-te, nem pôr mais achas na fogueira, digo-te que descer ao nível de quem te insultou não foi bem, da tua parte! E como tu acreditavas ser eu, eis que me enxovalhas no teu blog, assim sem mais nem quê!!!
Que escrevas bem ou mal o português (sinceramente já vi bem pior!), a mim pouco me diz. Interessa-me mais o conteúdo, e é isso que eu tenho por hábito comentar, à parte convidar os restantes a visitar o meu blog. Interessa-me o conteúdo, e a atitude das pessoas.
Repara: eu também já recebi comentários pouco agradáveis, mas sempre lhes respondi à altura, tentando nunca descer ao mesmo nível, e respeitar a pessoa a quem me dirijo.
É preciso não esquecer que por vezes tomamos umas palavras por outras (o que pensamos que a pessoa está a dizer é, afinal, uma coisa diferente) e uma pessoa por outra (como foi, aliás, o caso).
Como te disse no blog ERRAR É HUMANO... DESDE QUE NÃO SE COMETA O MESMO ERRO DUAS VEZES!
P.S. Dizia eu que era distraída, e sou. Não me dei sequer conta que a Kris eras tu! Assim sou eu.




KRIS:

Ainda nao tive tempo de ir responder aos teus comentarios, mas amanha vou com certeza...

Hoje so da mesmo para uma respostazita rapida, mas olha o melhor è mudares as tuas passwors dos e-mails etc...pois posso afirmar-te que nao fui a unica pessoa a receber aquele comentario, houve pelo menos mais uma pessoa, nao a vou mensionar, pois nao tenho autorizaçao para isso...

Eu nao enxovalhei la ninguem, nem mesmo quando num dos comentarios anonimos falaram em dar "chapadas no focinho" etc...nunca faltei a ninguem ao respeito, e no post onde eu digo, que sei que es tu, etc, vou retirar, e peço entao desculpa, mas a verdade è que os comentarios veem do teu IP...manda limpar o PC, pois mesmo os problemas que tens no blog, pode ser sinal de que algo nao esta bem...mas nao te esqueças de mudar as password das tuas contas de e-mail, porque sem duvida, anda alguem a usa-las!!

Aqui fica o meu pedido de desculpa...espero que esteja tudo esquecido, nao sou pessoa de rancores, nao gosto de os guardar, nem que os guardem de mim, por isso se errei, peço desculpa!
beijoca


EU:

Se me faço seguidora de um blog, é porque partilho das mesmas opiniões ou interesso-me pelos mesmos assuntos. Mesmo quando não concordo com algo, a mim ensinaram-me a dar a minha opinião sem denegrir ninguém. E mesmo quando me causam ou falam mal, ensinaram-me também a não agir igual.

Está tudo esquecido e perdoado, Kris:)

MES CHOIX ET CEUX DE MON EX

Hier quelqu'un me disait, à propos de choix, que ça va de la personalité et du sens de responsabilité de chacun(e). Peut-être, oui... Sauf quand on n'a pas le choix.











Alors je me suis décidée à vous présenter mes choix et ceux de mon ex, au moment de notre séparation:





- Quand on s'est séparé, moi et le père de ma fille aînée, il avait le choix de me laisser partir et le choix de me faire rester. Il a choisit de me demander de rester, et il savait bien que je n'aimais point y vivre et que cela pourrait me faire très mal et se refléchir sur notre fille.



Qu'est-ce que cela dit de sa personalité et de son sens de responsabilité?







- Quand on s'est séparé, moi et le père de ma fille aînée, j'avais le choix de partir et le choix de rester. J'ai choisis de rester, comme il me l'a demandé, croyant que je supporterai bien de vivre où je n'avais jamais aimé de vivre, et que notre fille ne souffrirai rien de cette décision, bien au contraire.



Qu'est-ce que cela dit de ma personalité et de mon sens de responsabilité?







- Pendant ce temps, il ne venait voir sa fille que le jour que je recevais mon salaire. Il jouait avec elle, certes, mais avant de s'en aller il me demandait de lui emprunter de l'argent. C'etait toujours (ou la majorité des fois qu'il est venu la voir) comme ça.



Qu'est-ce que cela dit de sa personalité et de son sens de responsabilité?







- Au bout de deux ans, pour mon bien et le bien de notre fille, qui souffrai de mon état dépressif, j'ai averti mon ex (à l'avance de 6 mois, peut-être plus) que je déménagerai, et je l'ai même invité à nous accompagner -puisque nous étions encore tous les deux célibataires-, ce qu'il a réfusé.



Qu'est-ce que cela dit de ma personalité et de mon sens de responsabilité?







- Au but de deux ans, voyant que je partais, mon ex (qui savait à l'avance de ce fait et qui avait été invité à nous accompagner) a décide de dire que je me suis enfuite, que je n'étais pas capable de m'occuper même pas de moi-même, que je laissais notre fille toute seule à la maison, et d'autres choses pareilles, et, avec le consentement de la Justice, s'est saisi de la petite.



Qu'est-ce que cela dit de sa personalité et de son sens de responsabilité?


- Quelques années après, ma fille aînée, déjà agée de 10 ans, a déclaré en tribunal qu'elle nous aimait tous, mais voulait rester avec moi (et aussi avec sa soeur, la seule qu'elle a), mais son père et sa famille ont tout fait pour l'empécher, car -ainsi est écrit dans la décision- cette chose de vouloir sa maman "ce n'est qu'un caprice"!



Qu'est-ce que cela dit de leur personalité et de leur sens de responsabilité?



- Toutes ces années -cela fait presque 8 ans- je n'ai jamais essayé d'agir contre la justice et de reprendre ma fille de force, et c'est moi qui l'a plusieures fois convaincue de rentrer chez ses grands-parents (où habitent son père et sa tante célibataire et sans enfants, à qui d'ailleurs le juge a decidé de lui donner la garde de ma fille, puisque le père tout seul contre moi ne l'aurait jamais gagné sans qu'on ne soupçonne quelque chose de très mal fait, ce qui, en fait, c'est bien passé).



Qu'est-ce que cela dit de ma personalité et de mon sens de responsabilité?









Un autre de mes amis récents me disait que quels que soient les choix, tout le monde en souffre, surtout les enfants. Je suppose qu'il a raison quelque part, même s'il y a des cas où ce sont les uns qui souffrent bien plus que les autres. Surtout quand on nous impose un choix qui ne nous laisse pas aucun choix.





De ma part, vous avez toujours le choix d'être d'accord ou pas.

Merci, tout de même, de m'avoir lu.

quarta-feira, 22 de junho de 2011

Vote pour ce sondage !

Vote pour ce sondage !

VOUS PRÉFÉREZ LE CHOIX OU UNE LIBERTÉ OBLIGÉE? (encore de l'humour)

LES CARTES





Faut brasser, faire son souhaite. C'est ça. Coupez deux fois. Le souhaite que vous voulez, ça, ça vous regarde. Vous l'avez là, votre souhaite?... C'est ben. Asteur j'allons ouère quoi c'est que la vie vous a douné et quoi c'est qu'a' vous résarve.



(...) Les cartes allont vous dire la varité, c'est sûr; la seule chouse, c'est que la varité a plusieurs faces, coume mon père disait. Des fois, c'est malaisé à saouère quoi c'est que la varité veut dire. (...) Pornez le petit peddleux,.... Chaque fois qu'il passe par icitte, il se les fait tirer. Et à chaque fois sa varité lui dit que la chance le suit Ça l'a pas empêché de pardre sa job, sa femme, pis son truck. Quand s'est qu'i se plaint, j'y dis: pour le truck, c'est doumage; ben une job pis une femme qui te forçiont à bûcher comme ça, t'es peut-être chanceux de les aouère pardues en chemin. Ben lui, il a pour dire que si la chance le suit a' doit le suivre de ben loin.



Eh ben vous, c'est un valet de carreau qui vous suit. Un valet de carreau qu'est suivi de proche par un treufle qu'a les yeux beus, la face blanche pis les cheveux nouères. Un treufle pis un carreau. Vous faudra faire un choix. (...)



Ben je crois ben que c'est moins pire ça, que de pas aouère de choix pantoute. Quand c'est que ta vie est toute décidée d'avance, et pis que t'es obligé de la suire en l'empognant par sa cotte de robe, ça c'est malaisé. Moi j'ai à dire qu'une parsoune qu'a pas de choix, c'est quasiment coume si elle avait point de libarté pantoute. Il me r'semble qu'une parsoune est encore mieux devant son mauvais choix que devant sa libarté obligée. Coume diait ma mère: Tu viens au monde parce que tu peux pas faire autrement, (...) et pis tu sais d'avance que t'accompliras ta darniére obligâtion avec ton darnier souffle... Eh ben, c'est ce qui s'appelle souère ta liberté obligée, à mon dire.



Pornez la terre, par exemple. Tu viens au monde dessus, ben a' t'appartchent pas. T'as beau dire que t'es chus vous iccite, que la terre est ton bien coume aux autres, (...) tu t'aras bintôt cogné le front sus une barriére ou ben sus un peteau où c'est qu'est écrit: No trespassing! Et tu vires le bord. Par rapport que tu t'aparçois que la terre non plus est point à toi. (...) Ben, la terre, qui c'est qui l'a payée, et qui c'est qui l'a fait? A qui c'est qu'elle a appartchent en premier? C'est-i' point au Bon Djeu? Ben pourquoi c'est ouère qu'elle a venu à appartchendre à l'un putôt qu'à un autre? (...) Ça fait qu'asteur une parsoune est pas libre d'aller leu louter.



(...) Votre joie, votre aspérance et votre bounheur de vie sont dans le treufle. Pornez-en soin. Ton bounheur de vie, ça vient sans que tu ne le demandis, souvent, et sans que tu l'espèris. Ben faut en prendre soin, parce qu'il peut s'en retorner d'où qu'il est venu, sans t'avarti'. C'est tchurieux la vie, pareil! Tout un chacun cherche son bounheur, ça y a pas à se tromper. Ben coument ça se fait ben que d'autchuns le trouvent et d'autchuns le trouvent point? Y a des houmes qu'avont jamais souffri du coeur ou des poumons, et y a des femmes qu'avont jamais eu un seul incuretage; et y en a qu'avont jamais frette aux pieds, non plus, ni jamais entendu crier leux tripes ni horler leux enfants. (...) Ils avont tout eu à souhait, ceuses-là.



Tout eu, c'est une manière de dire. Parce qu'apparence qu'i sont pas encore contents. (...) Ça c'est le pus grand malheur: de pus jamais aouère envie de rien, par rapport que t'as déjà tout eu ce qu'une parsoune pouvit aouère. Ça, c'est le pus grand malheur, et une parsoune, à mon dire, est encore mieux de rester sus sa soif, pour pouère rêver à son aise à son bonheur de vie.



(...)



(...) Les jeunes, z-eux, faisont des souhaites à tout casser. (...) ..., il leur faut tout aouère tout de suite: (...). Ça voit grand, une jeunesse. Ben quand c'est qu'une parsoune a coumencé par les petits à effilocher sa vie, a' comprend mieux qu'on peut pas tout aouère. A moins qu'a' seyit point une parsoune de par iccitte. (...)



(...) Non, j'ai jamais demandé d'argent, moi. Rien qu'une maison. Ah! pas un château ni un bungalow; rien qu'une maison du commun où c'est que je pourrais tout faire en dedans: (...) C'est drôle, hein? Parce que j'ai entendu dire qu'y a des femmes aujord'hui qui demandont rien qu'une chouse, c'est de quitter leur maison. Quand c'est qu'i' sont rendues qu'i avont tout en dedans, là il leu prend le goût d'en sortir. C'est peut-être ça qui m'arait arrivé à moi itou, je pouvons-t'i' saouère? Je crois ben qu'une parsoune se tanne de toute. Même d'être ben. Ah! oui... Ben c'est coume je dis à Gapi des fois: ceuses-là qui sont tannées d'être ben deveriont venir laver ma bâillée de hardes devant la porte à cinq sous zéro; (...)



(...)



Il m'a dit l'autre jour: Y a rien qu'est écrit, et un houme fait sa vie à mesure. Chus libre, à l'heure qu'il est, qu'il a dit, d'aller faire mes besoins à la côte, si je veux, droite asteur, et ça, c'est point écrit dans les livres, ben, c'est pas si sûr que ça que, Gapi ou pas, il est libre de point faire ses besoins quand c'est qu'il en a envie. Ça fait que moi, je m'aventurerais pas trop à narguer la destinée.



(...)



(...) ... je dirais que votre souhaite pis votre bounheur de vie, ils sont pas loin d'iccite. Y a de quoi qui marche pas, sacordjé! Par rapport que votre souhaite arrive, et pis que c'est de quoi de bon, et pis, coume je disais, ça m'a l'air d'un vrai trésor... ben, il est par icitte... je suis quasiment assis dessus, bâteche! Jésus-Christ du Bon Djeu! ça se pourrait-i' par adon que vous ayez souhaité de vous fourrer la tête dans mon siau?



(...) Vous seriez mieux de brasser une autre fois.



... Faut brasser, couper, faire son souhaite. C'est ça. Coupez deux fois. Le souhaite que vous voulez, ça ça vous regarde. Vous l'avez, là, votre souhaite?... C'est ben. Asteur j'allons ouère quoi c'est que la vie vous a douné et quoi c'est qu'a' vous résarve.



... Un valet de carreau et pis du treufle... Sacordjé!


Antoine Maillet, LA SAGOUINE

terça-feira, 21 de junho de 2011

NOUS AUTRES (plein d'humour!)

(...) J'ai jamais compris qu'on pouvait apporter de l'encens à un enfant nouvellement-né pour y faire un présent... il a même pas ses dents pour mâcher, le marmot. (...)

(...)

(...) J'avions beau nous bailler une vraie crise de courte-haleine à leu faire comprendre que Santa Claus pouvait pas saouère où c'est que je restions, nous autres, et pis que j'avions même pas une cheminée... ils voulions rien comprendre, les enfants, et nous dormions sus les bras.

(...)

(...) Une belle crèche en beau carton ben propre, et une belle couvarte de soie bleue dans son auge, et de la boune paille en papier fin, et des animaux en pluche rasée... ça sentait point la borbis ni la grange là-dedans. Y a rien que nous autres qui sentions point à bon dans toute l'église, c'est pour ça que je restions en airière. (...)

(...) Mais à la messe de mênuit, il élevait jamais la voix, il chuchotait quasiment rien que pour les bancs d'en avant par rapport qu'il était ému. Mais nous autres, je compornions rien. (...)

Là, je m'en vas vous dire que le fumier c'en était du vrai, et la paille itou. Et si j'avions eu une étouèle filante pour accrocher sus le cadre de la porte, peut-être ben que les rois-mages se serions trompés et seriont venus porter leur or pis leur encens chus nous. Mais ils sont jamais venus... parsoune. (...)

Si un beau Nouël la procession se trompait de boute et erssoudait icitte dans nos cabanes... les bargers, les rois-mages, les camulles, Joseph et Marie, pis le petit... toute la Sainte famille avec les anges pis les archanges, pis la jument pis le boeu' qui s'écarteriont, pis se tromperiont de chemin et s'en vienderiont lander chus nous coume par adon--- Voyez-vous ça!

(...)

(...)... et j'envoyerions qu'ri Sarah Bidoche, la sage-femme, pour aider au cas de besoin. Ben il arait pas besoin de Sarah, le nouvaeau-né, pour venir au monde, par rapport que tout ça se passerait coume c'est écrit dans les Ecritures, coume par miracle. J'arriverions juste pour ouère ça: l'Enfant-Jésus dans les bras de sa mère; avec Joseph le père présomptueux, coume ils appelont, attoqué sus sa fleur-de-lys; pis la jument pis le boeu' qui souffleriont sus le borceau pour le réchauffer. Et les rois-mages seriont à genoux devant lui avec des présents. Des vrais présents, c'te fois-citte, pas de l'or pis de l'encens; des présents d'enfant, coume un ours de pluche ou ben une toupie qui joue des airs de Nouël.

(...)






(...)

(...) Quand c'est que le prêtre s'émoye pour saouère si t'as le farme propos de ne plus vous offenser... c'est tout coume si i'te disait de changer de vie. Ben coument c'est qu'il veut que nous changions de vie, nous autres? Je sons point du monde à l'aise et j'avons point de vie de rechange.

... Ah! je vous dis que c'est point aisé, point aisé pantoute. Quand ils nous disont: "Arrêtez de faire de la biére aux méres dans vos caves", ben où c'est qu'ils voulions que je la faisions? (...) Ils voulont itout que j'arrêtions de jurer pis de faire le mal devant nos enfants. (...) Si ça du ben sens asteur de jurér, Jésus-Christ du Bon Dieu, je savons même pas parler anglais. Ben tant qu'au reste... c'est ben malaisé... C'est ben malaisé de point faire mal devant nos enfants quand c'est que j'avons rien que deux lits dans la maison et qu'ils sont quasiment collés l'un sus l'autre. Je tuons toutes les lampes et pis... ah! c'est ben malaisé.

(...)

J'aurais ben voulu y expliquer pourquoi c'est que ma fille s'était point mariée tout de suite. (...) (...) il fallit espèrer son tour pour la robe blanche. (...) Ben par le temps que la robe était libre, son ventre l'était pus et pouvait pus rentrer dans la robe. Ça fait que faillit espèrer après que le petit seyit au monde. (...)

(...) Et quand c'est que tu sors du confessionnal et que t'as confessé tous tes péchés et tous ceux de ton houme et tous ceux de tes enfants, tu peux pas dire que le temps te dure au prochain premier vendordi du mois.

(...)

(...)

Une boune fois, il était vénu un prêtre des vieux pays. (...) Ben c't'ânnée icitte, ils contiont que c'éatit un saint, c'ti-là, un vrai saint à jouquer sus l'autel. Apparence qu'il faisait des miracles, ça fait que j'avons décidé d'aller ouère. Et bien en rentrant, j'avons compris tout de suite qu'il nous avait reconnus, parce qu'il a dit du haut de la chaire: "Bienheureux les pauvres, et les affamés, et les guénilloux, et ceuses-là qu'avont fait de la prison." Je savions pas que j'étions si heureux que ça... ben j'étions venus ouère, toujou'ben.

(...)

(...) Ça fait que j'avons pris une chance de le ouère à travers la grille du confessionnal. Là je m'ai apperçue que c'était encore plusse malaisé que de comprendre les prêtres de par icitte; par rapport que le prêtre de la mission, il connaissait rien que les péchés de Québec, lui.

(...)





Antoine Maillet, LA SAGOUINE

segunda-feira, 20 de junho de 2011

VENDREDI OU LA VIE SAUVAGE

"(... ) c'est à propos d'un plat cuisiné que pour la première fois Robinson et Vendredi se disputèrent. Autrefois -avant l'explosion- il ne pouvait pas y avoir de dispute entre eux. Robinson était le maître. Vendredi n'avait qu'à obéir. Robinson pouvait réprimander, ou même battre Vendredi. Maintenant, Vendredi était libre. Il était l'égal de Robinson. Aussi ils pouvaient se fâcher l'un contre l'autre.

(...)

Les deux amis allaient-ils se battre? Non! Vendredi se sauva.

Deux heures plus tard, Robinson le vit revenir en traînant derrière lui sans douceur une sorte de mannequin. La tête était faite dans une noix de coco, les jambes et les bras dans des tiges de bambou. Surtout, il était habillé avec des vieux vêtements de Robinson, comme un épouvantail à oiseaux. Sur la noix de coco, coiffée d'un chapeau de marin, Vendredi avait déssiné le visage de son ami. Il planta le mannequin debout près de Robinson.
- Je te présente Robinson Crusoé, gouverneur de l'île de Speranza, lui dit-il.
Puis il ramassa la coquille sale et vide qui était toujours là et, avec un rougissement, il la brisa sur la noix de coco qui s'écroula au milieu des tubes de bambu brisés. Ensuite Vendredi éclata de rire, et alla embrasser Robinson.

Robinson comprit la leçon de cette étrange comédie. Un jour que Vendredi mangeait des gros vers de palmier vivants roulés dans des oeufs de fourmis, Robinson exaspéré alla sur la plage. Dans le sable mouillé, il sculpta une sorte de statue couchée à plat ventre avec une tête dont les cheveux étaient des algues. On ne voyait pas la figure cachée dans l'un des bras replié, mais le corps brun et nu ressemblait à Vendredi. Robinson avait à peine terminé son oeuvre quand Vendredi vint le rejoindre, la bouche pleine de vers de palmier.
- Je te présente Vendredi, le mangeur de serpents et de vers, lui dit Robinson en lui montrant la statue de sable.
(...)
Dès lors, ils vécurent à quatre sur l'île. Il y avait le vrai Robinson et la poupée Robinson, le vrai Vendredi et la statue de Vendredi, et tout ce que les deux amis auraient pu se faire de mal -les injures, les coups, les colères- ils le faisaient à la copie de l'autre. Entre eux ils n'avaient que des gentillesses.




Pourtant Vendredi trouva moyen d'inventer un autre jeu plus passionant et curieux que celui des deux copies.

(...)

- Sais-tu qui je suis? demanda-t-il à Robinson en déambulant majesteusement devant lui.

- Non.

- Je suis Robinson Crusoé, de la ville de York en Angleterre, le maître du sauvage Vendredi!

- Et moi, alors, qui suis-je? demanda Robinson stupéfait.

- Devine!

Robinson connaissait très bien Vendredi pour ne pas comprendre à demi-mot ce qu'il voulait.

Il se leva et disparut dans la forêt.

Si Vendredi était Robinson, le Robinson d'autre fois, maître de l'esclave Vendredi, il ne restait à Robinson qu'à devenir Vendredi, le Vendredi esclave d'autrefois. (...)

(...)

Ils jouèrent souvent à ce jeu. C'était toujours Vendredi qui en donnait le signal. (...)

Robinson avait compris que ce jeu faisait du bien à Vendredi parce qu'il le guérissait du mauvais souvenir qu'il avait de sa vie d'esclave. Mais à lui aussi Robinson, ce jeu faisait du bien, parce qu'il avait toujours un peu de remords d'avoir été un maître dur pour Vendredi"





Michel Tournier, VENDREDI OU LA VIE SAUVAGE

sábado, 18 de junho de 2011

EST-CE QUE LA MÈRE FAIT VRAIMENT CE QU'ELLE VEUT?

Comment faire face au déménagement de l'autre parent ?
Prévenir vaut mieux que ne pas guérir



De nombreux parents sont confrontés à la décision unilatérale de leur ancien conjoint ou compagnon de déménager, que ce soit au terme ou dans le courant de l'année scolaire, en les informant ou non, les privant ainsi brusquement du droit de voir leur enfant.

(...)

En effet, si l'article 373-2 du Code Civil prévoit l'obligation pour le parent qui transfère sa résidence d'en « informer préalablement » l'autre et en « temps utile », il n'envisage pas de sanction en cas de non respect.

L'article 227-6 du Code Pénal n'est pas plus dissuasif et encore moins répressif dans la mesure où s'il prévoit une peine maximum de six mois d'emprisonnement, ce n'est que si le parent n'a pas notifié son changement de domicile dans un délai d'un mois à compter de son déménagement.

En réalité, il n'existe aucune sanction en cas de transfert soudain de domicile, si celui-ci a été notifié à l'autre parent dans un délai d'un mois, ce qui ne tend aucunement à dissuader le parent fautif, lequel fera tout au plus l'objet de remontrances de la part du JAF le jour de l'audience ou dans certains cas devra régler l'intégralité des frais de transport.

Or, le législateur aurait très bien pu prévoir un texte sanctionnant le défaut de notification préalable au changement d'adresse et non postérieurement, ce qui au mieux réduirait le nombre de déménagements intempestifs, et au pire ferait réfléchir à deux fois le parent gardien.

Par ailleurs, il est pour le moins regrettable que le JAF ait systématiquement tendance à faire primer la liberté d'aller et venir d'un parent sur l'intérêt supérieur de l'enfant, lequel exige le respect au droit à ses deux parents.

C'est notamment le cas, lorsqu'un parent, pour des raisons sentimentales, décide de partir s'installer à l'autre bout de la France ou à l'étranger, privant ainsi délibérément son enfant du droit d'avoir des relations normales et fréquentes avec son père ou sa mère. Bien souvent, le JAF prononcera sa décision alors que l'enfant sera scolarisé dans un nouvel établissement et aura pris ses marques.

De peur de le « traumatiser » une deuxième fois, il entérinera cette situation.

Il faut ainsi reconnaître que peu de solutions existent lorsque le parent qui déménage avec son enfant, tient l'autre au secret et le met devant le fait accompli.

Le cas est bien différent, lorsque le parent informe préalablement à son déménagement l'autre parent, ce qui laisse à ce dernier un délai pour intenter une action en justice.

Ceci est d'autant plus juste en cas de résidence en alternance de l'enfant.

En effet, il n'est pas rare que les juridictions préfèrent que l'enfant reste dans son milieu d'origine et conserve ses habitudes : collège, amis ou encore activités extra scolaires.


Delphine BIVONA
Avocat au Barreau de PARIS


FONTE: http://www.sospapa.net/pages2/article16052011





Et maintenant lisez ces quelques affiches que j'ai touvés sur ce même site:


1
TEDDY ATTEND DEPUIS PLUSIEURS MOIS QU'ON VIENNE LE PRENDRE DANS LES BRAS
MAIS MAMAN EN A DÉCIDÉ AUTREMENT
AVEC LA COMPLICITÉ DE LA JUSTICE

RESPECTEZ LES DROITS DE L'ENFANT!



2
BLEUETTE ATTEND DEPUIS PLUSIEURS MOIS QU'ON LA VIENNE PRENDRE DANS LES BRAS
MAIS MAMAN EN A DÉCIDÉ AUTREMENT
AVEC LA COMPLICITÉ DE LA JUSTICE

RESPECTEZ LES DROITS DE L'ENFANT!



3
200 KM SÉPARENT CE PÈRE DE CET ENFANT
C'EST LA MÈRE QUI EN A DÉCIDÉ AINSI...

RESPECTEZ LE DROIT DES ENFANTS!
DÉFENDONS LA RÉSIDENCE ALTERNÉE!



4
DEMAIN, SERGE SERA ACCUSÉ D'ATTOUCHEMENTS SEXUELS SUR SON ENFANT
IL NE LE VERRA PAS PENDANT DES MOIS, PUIS SERA INNOCENTÉ...
MAIS BEAUCOUP TROP TARD!

RESPECTEZ LES DROITS DE L'ENFANT!
CONDAMNONS LES ALLÉGATIONS MENSONGÈRES!



5
CET ENFANT A UN PÈRE QUI L'AIME
MAIS SA MÈRE EN DIT DU MAL
IL NE VEUT PLUS REVOIR SON PÈRE

N'UTILISEZ PAS L'ENFANT POUR RÈGLER
VOS DIFFÉRENTS

RESPECTEZ LES DROITS DE L'ENFANT!



6
DES ENFANTS ET LEUR PÈRE SONT RÉGULIÈREMENT CONDAMNÉS À NE SE VOIR QUE DANS DES POINTS RENCONTRÉS*

JUSTICE, NE SOIS PAS COMPLICE DU MAUVAIS COMPORTEMENT DU PARENT GARDIEN.

RESPECTEZ LES DROITS DE L'ENFANT!

* Les point rencontre c'est une à deux heures de visite toutes les deux-semaines sous surveillance qui se substituent au mode de garde défini, pour cause de non présentation de l'enfant à répétition, d'accusations ou de coupure du lien entre l'enfant et le parent non gardien.







Hier même je parlais à un un monsieur qui, me disait-il, est père aussi de deux enfants.
Je lui ai demandé s'il les voyait souvent, et il m'a répondu oui, même s'ils habitent loin (ils habitent en Normandie, chez leur maman).

Cela ne vous gêne pas?, lui ai-je demandé. Non, cela ne m'empêche pas de les voir.
Mais, insistais-je, d'autres pères insistent dans la justice pour que leurs enfants ne soient pas déplacés!

Et vous savez ce qu'il m'a répondu?
"Je ne suis pas un de ces 'machos'. Pour moi, la place des enfants c'est avec leur maman"





Puisque on considère que la mère est la source de tous les maux -le père étant toujours une victime- on applique des lois ultra-conservatrices, voire musulmanes, qu'on peut traduire de cette manière:


-Il est interdit à toute ex-femme ayant des enfants d'avoir de nouvelles rélations sentimentales avec un autre homme, sauf si celui-ci accepte de ne jamais déménager et de se soumettre aux lois de celui qui était avant lui;

-Il est interdit à toute ex-femme ayant des enfants de déménager, quelle que soit la raison (se procurer l'equilibre psychique et/ou physique, se procurer un emploi ou une meilleure situation financière, suivre son actuel compagnon, etc);

-Toute ex-femme ayant des enfants est obligée à avertir à l'avance le père de son déménagement, pour que celui-ci puisse entamer l'action judiciare "elle part, l'enfant reste", sous rique -si elle ne le fait pas dans ce délai- d'être sévèrement punie;

-Il est interdit à tout enfant de quitter le lieu, quel que ce soit le lien avec son parent gardien, car le lieu compte toujours beaucoup plus que le lien;

-Il est interdit à toute ex-femme de défendre son enfant de toute sorte de violence, étant toujours obligée à le présenter;

-Toute allégation mensongère sera punie;
[ainsi les fausses allégations d'aliénation parentale, dont beaucoup de femmes sont actuellement victimes]

-Il est interdit à toute ex-femme d'accuser le père de son enfant de quoi que ce soit, même étant vrai.
[un homme innocenté n'est pas forcément un homme innocent]


SIGNEZ CETTE PÉTITION:

http://www.lapetition.be/en-ligne/non-limposition-de-la-rsidence-alterne-par-dfaut--4045.html

sexta-feira, 17 de junho de 2011

A NOSSA BURRICE - NOTRE GROSSE BÊTISE

Dizem que o homem é mais inteligente que a mulher. Que tenha o cérebro maior não significa que o seja, embora jogue a favor. Sem esquecer que até há pouco mais de um século só ele tinha acesso ao ensino, pelo menos a um nível muito superior àquele que era permitido à mulher.



Compreendo que a mulher tenha sentido necessidade de lutar contra os entraves que não lhe permitiam aceder a tudo aquilo a que o homem tinha direito. Não era certo, tão pouco aceitável, que ela fosse considerada inferior ao homem.



A nossa burrice foi ter querido imitar o homem em tudo, acreditando que fazendo igual a ele seríamos iguais a ele. Engano nosso. Transformamo-nos num objecto sexual, à mercê do homem. Perdemos bem mais do que contávamos ganhar.



Quando um filho nosso entra num gang e adopta o comportamento do grupo para se sentir igual, nesse dia temo-lo perdido. Julgando ser livre de fazer o que ele quer, ele encontra-se preso nas malhas do vício. Com a mulher passa-se um pouco o mesmo: para ser aceite, adoptou os mesmos comportamentos que o elemento mais forte. Tal como sucede nos grupos de gangs, ela será tratada de igual para igual, mas nunca será igual.



Tivesse ela compreendido isso, e teria agido de outra forma.

Ainda estamos a tempo de provar que somos, de facto, bem mais inteligentes do que muitos crêem.













On nous dit que l'homme est plus intelligent que la femme. Qu'il ait un cerveau plus grand ne prouve rien, même si ça compte. On ne peut pas oublier que jusqu'à peu près un siècle il était le seul à faire des études, du moins jusqu'à un niveau supérieur à celui qui était permis à la femme.



On peut comprendre que la femme ait du lutter contre les obstacles qui l'empêchaient d'accéder à tout ce que l'homme avait droit. Ce n'était pas juste, encore moins acceptable, d'être considérée inférieure à l'homme.



Mais on a commis l'ânerie d'imiter l'homme en tout, trôp croyantes que, en faisant pareil à lui, on serait pareilles. Grosse bêtise. Nous nous sommes transformées en objet sexuel, à mercê de l'homme. Nous avons perdu beaucoup plus qu'on ne comptait gagner.



Si un de nos enfants joint un gang, il adoptera le comportement du groupe pour se faire égal. Ce jour-là nous l'aurons perdu. il se croira intièrement libre, alors qu'il est pris au piège. Avec la femme c'est pareil: pour être acceptée, elle a adopté les mêmes comportements de l'élément plus fort. Tout comme il se passe dans les gangs, elle sera traitée à l'égalitaire, mais jamais elle sera considérée égale.



Si elle avait compris cela, elle aurait agit autrement.

On peut encore prouver que nous sommes, en fait, beaucoup plus intelligentes qu'on ne le croit.

quinta-feira, 16 de junho de 2011

FALEMOS DE PORCENTAGEM... (TRADUIT)

"As pesquisas mais recentes indicam que em 92% dos casos de separação ou divórcio, são as mães que ficam com a guarda dos filhos."


FONTE: http://www.conjur.com.br/2010-jan-13/guarda-compartilhada-nao-sendo-aplicada-maneira-deveria

A minha pesquisa revela-me que UMA MESMA PORCENTAGEM de homens tendo família (mulher ou companheira e filhos) consegue ter tempo para andar aqui na net à cata de "novos conhecimentos", sendo que a conversa deles é invariavelmente a mesma (Tudo bem? O que fazes na vida? Podemos falar no msn?Podemos encontrar-nos? Dás-me o teu número de telefone?,...).

A maioria deles nem tem rosto, ou esconde-se sob um falso nome e uma foto falsa. Dois deles diziam ser professores (?), motivo pelo qual escondiam a sua identidade. Respondi-lhes que também eu o sou (o que é verdade, embora já não exerça), e não via motivo algum em esconder a minha.

Quem o faz tem muito a esconder, não é assim? E quem nunca admite aquilo que faz, principalmente diante de um tribunal, é, sem dúvida alguma, hipócrita. Leviandade e hipocrisia não são exemplos que se dêem aos nossos filhos. E os juízes primam, actualmente, pelo pai (refiro-me ao pai ou à mãe) que dê os melhores exemplos, aquele que se encontre mais capacitado para educar os filhos. Primam, mas não vêem. Ou fingem não ver.

Haja um estudo que ponha em claro esta realidade, para que não haja mais dúvidas de quem é que, maioritariamente, leva a sério os seus deveres conjugais e parentais.


Antes de se falar em injustiças, faça-se justiça a quem a merece.


NÃO SE TRATA SÓ DE DIREITOS. TRATA-SE TAMBÉM DE DEVERES. E O PRIMEIRO DEVER DE UM HOMEM É RESPEITAR A MULHER E OS FILHOS, COMO ELE QUER QUE O RESPEITEM A ELE. AQUELE QUE NÃO RESPEITA NÃO TEM, A MEU VER, CAPACIDADES PARA EDUCAR UMA CRIANÇA. TÃO SIMPLES COMO ISSO!















"Des études récents indiquent que pour 92% des cas de séparation ou divorce, ce sont les mères qui ont la garde de leurs enfants".

FONTE: http://www.conjur.com.br/2010-jan-13/guarda-compartilhada-nao-sendo-aplicada-maneira-deveria



Les recherches que j'ai fait m'indiquent que UNE MÊME POURCENTAGE d'hommes ayant une famille (femme ou copine et enfants) a encore le temps de surfer sur net en quête de "nouvelles connaissances", leur conversation étant invariablement la même (Ça va? Tu fais quoi de beau? On peut deal sur msn? On peut se rencontrer quelque part? Tu me donne ton numéro?,...)



La majeure partie n'a même pas un visage, ou bien ils se cachent derrière un faux nom ou une fausse photo. Deux me disaient même qu'ils étaient professeurs, et qu'ils ne voulaient pas que leurs élèves les reconnaissent. Je leur ai répondu que moi aussi je suis professeure (je n'exerce plus), mais je ne voyais pas là une raison pour cacher mon identité.




Celui qui se cache a certainement trop de choses à cacher, vous ne trouvez pas? Et celui qui n'admet pas ce qu'il fait ici, surtout devant un tribunal, celui-ci est sans aucun doute un hypocrite. La légèreté et l'hypocrisie ne sont pas de bons exemples pour nos enfants. Et les juges ne considèrent de nos jours que le parent qui donne les meilleurs exemples à ses ennfants comme le plus capable de les élever. Ils le considèrent, bien qu'ils ne le voyent pas toujours. Ou bien ils font semblant de ne pas voir.




Ça serait bien de mettre cette réalité au clair, pour qu'il ne reste aucun doute sur le parent qui, majoritairement, prend vraiment au serieux ses responsabilités conjugales et parentales.



Avant de dire qu'il y a de l'injustice, qu'on fasse justice à qui la mérite.





IL NE S'AGIT PAS SEULEMENT DE DROITS. IL S'AGIT AUSSI DE DEVOIRS. ET L'HOMME A, AVANT TOUT, LE DEVOIR DE RESPECTER SA FEMME ET SES ENFANTS, TOUT COMME IL VEUT QU'ON LE RESPECTE. CELUI QUI NE RESPECTE PAS, NE PEUT PAS ÉLEVER SES ENFANTS. UN POINT C'EST TOUT.















terça-feira, 14 de junho de 2011

L'INVESTISSEMENT PARENTAL: GAINS, BÉNÉFICES ET STRATÉGIES MIS EN ÉQUATIONS

Intéressant, cet article:

http://ethologie.unige.ch/etho2.now/par.date/2004_12_10.htm

J'AI UNE FAMILLE, MAIS J'AI DU TEMPS POUR TOI!

Une conversation pareille à telles d'autres:



-Ça va, on peut se faire connaissance?

-J'ai une famille. Pas le temps...



Et la réponse:



moi aussi j ai une famille mais tu vois pour apprendre a te connaitre je consacre un peu de temps pour toi on peut essayer de discuter sur msn?



-On parle ici. J'aime parler des enfants. Ça vous va?

-Pourquoi pas j'ai un enfant lol.

-Parlez-moi ,donc, de votre enfant.



Pas de réponse.







Vous connaissez des conversations pareilles, vous?

Cela vous dit quoi?





Apparemment cela ne dit rien aux juges de famille. Un homme qui court après toutes les femmes n'est pas un mauvais père.


Juste un très mauvais exemple...


(note: finalement il m'a répondu sur le sujet que je lui ai proposé, ce qui n'est pas mal, mais ne change en rien mon avis)



mercredi, le 15 juin



Je me suis occupée de ma plus jeune et du ménage. Dans quelques minutes, je reçois un petit que je garde pendant quelques heures, tous les jours. J'ai juste le temps de vous dire ceci:



J'ai une famille, donc -au contraire de ce monsieur qui a une famille et encore du temps pour moi- j'ai pas le temps pour faire ce qu'il vient faire ici, sur internet. Pas le temps, et surtout pas l'intention. Même parce que si j'avais le temps (que je n'ai pas) et je faisais pareil, je ne serais jamais pareille. Pas aux yeux du monde, pas aux yeux de la justice, pas à mes yeux. Une bonne mère (et un bon père) est avant tout celle qui donne de bons exemples. J'ai toujours respecté mon ex, et je respecte -et respecterai toujours- mon actuel compagnon. Faites le même. C'est comme ça que vos enfants comprennent et aprennent le respect pour les autres.

segunda-feira, 13 de junho de 2011

RESPOSTA A UM COMENTÁRIO

Recebi um comentário no post CHAQUE ENFANT APPREND PAR L'EXEMPLE, e ia responder a esse mesmo comentário, mas não sei porque obra de arte não consigo colar um comentário meu no meu próprio blog! De cada vez que selecciono o perfil 'Conta do Google', mandam-se abrir sessão, após o que eu vejo o meu comentário como anónimo. Para o publicar tenho de escrever as letras que se apresentam, mas após fazê-lo, acreditando que verei o meu comentário publicado sob o meu perfil, eis que me é pedido de novo que abra a sessão. E isto por duas ou três vezes! Aliás, qualquer que seja a operação que eu faça ou queira fazer, tenho de abrir sistematicamente sessão. Mal acabo de publicar um post, e o vou ler, para conferir que está tudo correcto, vejo sempre escrito 'iniciar sessão', o que significa que, uma vez mais, terei de o fazer.

Calha até bem ter por aqui a mulher de um informático, pois eu ando de facto às aranhas com isto, e não sei como hei-de resolver. Talvez ele me possa ajudar...

Única solução, por ora: copiar o que havia escrito (e reparem que surge ainda como ´'anónimo', apesar das minhas tentativas, infrutíferas, para o pôr sob o meu perfil) e pô-lo aqui. Talvez agora a pessoa que me respondeu (anonimamente) perceba que o aconteceu, aquilo de que me acusa, ultrapassa a minha compreensão, pelo que não sou, em nada, responsável.

Para uma melhor compreensão, terei que publicar também o comentário dela, que será o primeiro que vos aparece.


Anónimo disse...
O engraçado fazer comentários anónimos no blog dos outros nao è??

Pois a mim, parece-me que nao tem grande moral para falar de ninguem...há pessoas que escrevem bem, outras que escrevem mal, e outras assim assim...

Ha pessoas que morriam e matavam pelos filhos...outras que nem por isso...
doi?? pois se calhar doi...quando nos metem o "dedo na ferida"...a verdade è que não existe ninguem perfeito!!!

Olhe que mandar comentários anónimos para a mulher de um informatico...na na na ...nao è boa ideia!!!

12 de Junho de 2011 13:24






Anónimo disse...

Quando comento noutros blogs, tento que fique sempre o meu perfil (não gosto de o fazer anonimamente), mas acontece que muitas vezes não o consigo seleccionar, ou leva demasiado tempo, e acabo, então, por deixar um comentário anónimo. Se eu quisesse que fosse perfeitamente anónimo, não deixava o link do meu blog, não lhe parece? Senão, como teria chegado aqui?

Peço desculpa por não o ter explicado na altura. Se o tivesse feito, não teria sido mal interpretada.

De resto, eu nunca digo que as pessoas são perfeitas. Ninguém o é.

Acusar as pessoas a torto e a direito, sem primeiro indagar, não é bonito. Péssimo exemplo para os nossos filhos, futuros cidadãos.

Tanto mais que me acusa de uma coisa que eu não fiz intencionalmente, e você acaba de fazer o mesmo, deixando um comentário anónimo. Mas antes de a acusar a torto e a direito de o ter feito intencionalmente, deixo-lhe o benefício da dúvida, e o tempo de se explicar (porque se não o fez intencionalmente, parece então que também se esqueceu, como eu, de o frisar).

Respeitosamente.

13 de Junho de 2011 00:36


POST SCRIPTUM:

Visto que terei dificuldades, pelas razões que referi, em responder a um novo comentário deixado neste mesmo post como resposta ao mesmo, a minha resposta a esse comentário far-se-á aqui.

Aparentemente, assim o diz a cara anónima, também não lhe deixei qualquer link que lhe permitisse localizar-me. Não fora, deduzo eu, as artes do marido, dificilmente saberia de onde provinha o comentário que deixei no seu blog. Que falta me fazem tais artes, pois o problema que eu aqui vos relatei persiste. Uma dica seria muito benvinda.

Erro meu, portanto, em não ter deixado o link (como julgava ter feito, pois, de regra, é o que faço sempre) ou não ter explicado no momento que o facto de o meu comentário ser anónimo não era intencional, longe disso. Pena é que não tenha procurado saber a razão antes de me querer provocar intencionalmente um mal (há males piores, infelizmente) quando, da minha parte, nunca houve -repito- intenção de lho provocar.

Não se trata de coragem, cara anónima. Sei bem que indo ao seu blog dificilmente conseguirei pôr o meu comentário sob o meu perfil, coisa que -repito uma vez mais- sempre tive intenção de fazer. Quem me diz que, desta vez, acreditará em mim?

Não é bom exemplo, a vingança. Do tipo "cá se fazem, cá se pagam".
Admirem-se que os nossos filhos façam o mesmo...


NOTA:

Para responder a um segundo comentário -continuo a fazê-lo por esta via porque receio bem não ter resolvido o meu problema informático-, esqueci-me de vos dizer que sou muito distraída, pelo que me escapou o facto da cara anónima se ter, entretanto, identificado. De facto, a única coisa que na altura registei foi o nome do blog, o blog das amas frustadas.

Não partilho de todo da sua concepção de Justiça.
Por estas e por outras é que o mundo anda no estado em que anda...

Parece cruel dizê-lo assim, mas é a dura realidade.

Embora parecendo pessimista, guardo sempre uma visão optimista, porque acredito -sempre- que as pessoas são, no fundo, boas e podem (basta querê-lo) mudar.

E porque não quero alongar mais este post, visto que me sirvo dele, pelas razões que já conheceis,para responder aos comentários, fico por aqui.

Seria óptimo que, num próximo comentário, me dissessem o que posso fazer para comentar no meu próprio blog e no blog dos outros sob o meu perfil. Ficava o problema resolvido, não havendo azo a próximos mal-entendidos.

Aos que me lêem, um abraço.

LA DISTANCE N'EST PAS UN PROBLÈME!

bonjours moi c'est ... je suis seul et je fais de 1m75 et un poids de 69 je n'es pas enfants mon but sur ce site es avoir une femme bien qui es les meme complicité que moi et j'aimerai mieux vous connaitre pour voir ce que l'avenir nous réservent j'aimerai bien faire ta connaissance . et je pense que la distance n'es pas un problème quant 2 partenaires s'aiment .je veux vraiment que tu accepte de converser avec moi .juste quelque temps et tu pourras décider mais je pense que tu le découvriras au fil du temps nous pourrons découvrir plusieurs affinité en nous et voir ce qui pourrai nous lier pour entamé une relation sérieuse. alors espère vraiment avoir de tes nouvelle a bientôt je te laisse mon msn ... a bientot











"je pense que la distance n'es pas un problème quant 2 partenaires s'aiment ", il me dit.





La distance n'est pas un problème quand on s'aime, mais elle devient un problème quand on s'aime plus.

Ça devrait être le contraire: quand on s'aime, on veut être à côté l'un de l'autre, pour faire une vie à deux; quand on s'aime plus, chacun (re)fait ça vie, et la distance s'impose.



Pourquoi la femme qu'on aime peut être loin, mais pas notre ex! Si c'est à cause de l'enfant ou les enfants que l'ex-couple a eu ensemble, "je pense [citant 'mon ami', qui voulait bien -comme bien d'autres, d'ailleurs- faire ma connaissance] que la distance n'est pas un problème" quand on préserve l'amour que l'un (le père/la mère) et l'enfant ont l'un pour l'autre.



Tout va de la bonne volonté de chacun.

On est d'accord là, non?

domingo, 12 de junho de 2011

CHAQUE ENFANT APPREND PAR L'EXEMPLE




S'il vit entouré de critiques,...
il apprend à blâmer.

S'il vit entouré d'hostilité,...
il apprend à être agressif.

S'il vit entouré de moquerie,...
il apprend à être timide.

S'il vit entouré de honte,...
il apprend à se sentir coupable.

S'il vit entouré de tolérance,...
il apprend à être patient.

S'il vit entouré d'encouragement,...
il apprend à agir.

S'il vit entouré d'éloges,...
il apprend à complimenter.

S'il vit entouré de probité,...
il apprend à être juste.

S'il vit entouré de sécurité,...
il apprend à faire confiance.

S'il vit entouré d'approbation,...
il apprend à s'accepter.

S'il vit entouré d'amitié,...
il apprend à aimer la vie.


Source: http://www.lespasseurs.com/Chaque_enfant_apprend.htm

sábado, 11 de junho de 2011

MÊME SI ON FAIT PAREIL, ON N'EST PAS PAREIL!

Il y a quelques jours, dans une conversation, un de mes amis me disait que, chez lui, c'est l'égalité. Les garçons et les filles se comportent pareil, me disait-il.

Et est-ce que c'est pareil?, lui ai-je demandé.

Voyons voir:

Un garçon se met avec plusieurs filles. Une fille fait pareil.
Est-ce qu'ils sont pareils? Je m'en doute.

Un homme trompe sa femme. Une femme fait pareil.
Est-ce qu'ils sont pareils? Je m'en doute.




La réponse, je l'ai trouvé sur un profil:

"(...) Bienvenue au pays où l'homme porte encore le pantalon. (...) (...)
Dédicasse à la génération arbiatche, qui de nos jours il suffit d'entendre un 't'es bonne' pour qu'elle se donne et s'étonne après que le mec l'appelle 'sa bouffonne' ou 'sa chienne' (...)"

Je lui donne raison, d'ailleurs. La seule question que je me pose est ce qu'il veut bien dire quand il se réfère "au pays où l'homme porte encore le pantalon". Veut-il dire le pays où les hommes sont supérieurs et peuvent faire ce qu'ils ne veulent que leurs femmes fassent? Veut-il dire que seuls les hommes peuvent s'habiller d'un patalon? Veut-il dire que les hommes restent des hommes et les femmes des femmes, qu'ils ne sont pas pareils, mais se respectent pareil?

J'aimerais quand même avoir la réponse à cette dernière question.

sexta-feira, 10 de junho de 2011

CE N'EST PLUS PAREIL, C'EST FOUTU!

"Il était impossible de comprendre, en ce temps-là, le sens caché, la signification de cette émergence simultanée: un chanteur blanc qui remuait son sexe comme un chanteur noir et un acteur de cinéma qui se déplaçait sur l'écran comme une femme. Aujourd'hui seulement, arriverait-on à définir la naissance, la même année, de ces deux phénomènes, comme le début d'une ère où la jeunesse sortit d'un long silence pour se fabriquer ses héros, bissexuels et ambigus, rebelles et vides.

(...). James Dean (c'était le nom de l'acteur inconnu) avec son étrange allure de marionnette disloquée. Elvis Presley, grâce auquel j'avais franchi les limites de 'nigger-town'.



(...)



La musique des années 50, c'était de la musique bête et simple et primitive et qui ne posait pas de questions sur le sens de la vie. (...). Les rôles étaient bien définis. Les garçons étaient des garçons, et les filles étaient des filles, (...). Sur la piste de dance, le garçon menait, la fille suivait. Après, dans les années 60, il n'y a plus eu de meneurs ou des suiveuses, ça a été chacun pour soi, et puis on a voulu classer les choses et on a trouvé un nom pour répertorier le son que Fats réfusait d'identifier, mais c'était déjà terminé. L'innocence avait disparu. Et à partir de l'instant où l'on tente de definir les arts populaires et simples, et à partir de l'instant où les juges, les critiques ou les savants s'approprient tout cela et le mangent et le digèrent et se le resservent, ce n'est plus pareil, c'est foutu"




Philippe Labro, L'ÉTUDIANT ÉTRANGER

quinta-feira, 9 de junho de 2011

IT'S A JUNGLE OUT THERE!

http://www.youtube.com/watch?v=7j5Be5a86uA




It's a Jungle Out There

Randy Newman
Composição : Randy Newman
It's a jungle out there:
Disorder and confusion everywhere;
No one seems to care,
Well I do!
Hey, who is in charge here?
It's a jungle out there,
Poison in the very air we breathe.
Do you know what's in the water that you drink?
Well i do, and it's amazing!
People think I'm crazy, 'cause I'm woried all the time,
If you paid attention, you'll be worried too
You better pay attention
Or this world we love so much,
Might, just, kill you! (2x)
I could be wrong now,
But I don't think so!
'Cause it's a jungle out there!
It's a jungle out there!

quarta-feira, 8 de junho de 2011

LA FABRIQUE SOCIALE DE LA PARENTALITÉ!

C'est Jacques Faget qui le dit, pas moi.

Et voilà qu'on invente de nouvelles mesures pour impliquer plus les pères (une étude démontre que les mamans passent le double de temps avec leurs enfants et que ce sont encore elles, pour la plupart, qui les déposent à l'école et qui les y vont récupérer). On parle d'élargir le congé de paternité et de reduire le congé de maternité.



http://www.enfant.com/votre-bebe-0-1an/0-3mois/Nouvelle-proposition-pour-un-conge-paternite-d-un-mois.html




On dit, par exemple, que le papa peut allaiter son bébé en utilisant le lait de maman. Moi, je l'ai déjà fait pour qu' une tante allaite ma fille pendant que je n'étais pas là. Le résultat: le lait n'était pas, probablement, dans la bonne température, et ma petite n'a pas vraiment aimé que ce soit quelqu'un d'autre à lui donner le lait de sa maman. En plus, elle ne sentait pas mon sein, ma peau, et elle ne voyait pas mon visage (sa tante m'a dit "elle buvait ton lait, mais quand elle m'a regardé, elle a pleuré, car ce n'était pas toi"). Et celà faisait toute la différence.

Si c'est un choix, je n'ai toujours rien à dire. Si celà oblige les mamans à s'impliquer moins et les papas à s'impliquer plus, il faut absolument qu'on se manifeste.

Est-ce possible qu'on nous oblige à ASSIMILER un comportement qui ne va pas avec notre nature, notre conception? Et le respect pour les différences? Aura-t-on toujours le droit de choisir ce qu'on veut être et ce qu'on veut faire? Sera-t-on doublement pénalisé (du moins les femmes, car une maman qui décide d'élargir son congé au delà du temps établi n'aura droit , si je comprends bien, à aucune aide sociale; ayant moins de ressources, ce sera celui qui présentera les meilleures conditions, le père donc, à avoir la garde)?

Et l'enfant, dans tout ça? A-t-il le droit de se manifester?
(n'oublions pas que quand l'enfant pleure -même s'il ne le fait pas- il se manifeste).






POST SCRIPTUM - curieuse partie, celle que je viens juste de lire:



(...)



- Vous allez jusqu'où? dis-je.



- Je m'arrête une station après vous, répondit-elle. Vous appartenez sans doute à la fabrique des gentlement?

(...)



Philippe Labro, L'ÉTUDIANT ÉTRANGER



[je vous assure que je ne l'avais pas lue avant d'ecrire ce post sur le titre que je lui ai choisi]

terça-feira, 7 de junho de 2011

LE COMITÉ D'ASSIMILATION

A présent, je lis L'ÉTUDIANT ÉTRANGER de Philipe Labro (après avoir fini LE DÉMON DU PASSÉ, de Mary Higgins Clark).

Ik y a une partie qui m'a particulièrement touché -tel elle ressemble à la réalité de l'Homme de tous les temps- et que je veux partager avec vous:

"Il y avait beaucoup de comités, de sociétés, de fraternités, d'associations, de clubs et d'unions sur le petit campus (...), mais je sus très vite à quoi servait le Comité d'Assimilation. Son non était clair: il servait à vous assimiler, à bien vous faire prendre conscience des règles. On dit bonjour, on répond, on s'habille comme il faut, on est un gentleman. (...).

(...). Il [Gordon] se pencha vers moi.

- Tout va bien, me dit-il, tout le monde est très content de ton comportement sur le campus, mais voilà... la Règle de la Parole, nous avons reçu des informations selon lequelles tu ne t'y conformais pas. Pas vraiment.

- Mais ça n'est pas vrai, dis-je. C'est faux.

(...)

- Attends, s'il te plaît. Le Conseil d'Assimilation n'a pas pour habitude de lancer des affirmations pareilles à la légère. Nous vérifions toujours.

(...)

- Mais je dis bonjour, protestai-je, je suis désolé, je salue tout le monde, et je réponds au salut des autres. (...)

(...)

- Ça n'est pas que tu ne dises pas bonjour, ou que tu ne renvoies pas les saluts, ça n'est pas ça, nous avons vérifié. Nous sommes d'accord, ce n'est pas cela.

Il répéta:

- Lá n'est pas la question.

Puis il lâcha, comme si c'était une notion énorme et qu'il avait eu quelque pudeur a exprimer:

- C'est que tu ne souris pas en le faisant.

Il appuya en répétant:

- Tu ne souris pas en le faisant, ne laissant, cette fois, à aucun de ses adjoints le soin de répéter la phrase essentielle.

Le blond et le roux eurent vers moi le même regard qui voulait dire: et bien voilà, ce n'est pas compliqué, tout de même! (...)"









Voilà que, de nos jours, on nous oblige à assimiler des nouveaux comportements.

Il y a quelques années on trouvait bizarre une femme qui travaillait hors de sa maison et qui ne s'occupait pas de ses enfants. De nos jours on trouve bizarre celle qui décide rester à la maison, pour s'occuper de ses enfants, de sa famille.

Il y aura un jour où on trouvera bizarre l'homme qui n'est pas "papa au foyer"! On n'est pas loin...

segunda-feira, 6 de junho de 2011

NATURELLEMENT...

Hier, quand je commentais un message que j'avais reçu, il s'est posé une question: savoir lequel de nos comportements est naturel et lequel est conditionné.

Alors j'ai eu l'idée de présenter quelques comportements, pour voir quelle réponse vous me donnez:



1. A la naissance, on a l'habitude de habiller les filles en rose et les garçons en bleu.

A) naturellement, puisque ils sont différents.

B) c'est un comportement conditionné, puisque il n'existe pas des vêtements dans la nature.




2. Les garçons jouent avec les voitures et les filles avec les poupés.

A) naturellement, puique même les femelles et les mâles dans la nature jouent différemment, étant donné qu'on a vu les primates mâles jetter des bâtons -leur jouet- tandis que les femmelles, elles, les berçaient.

B) c'est encore un comportement conditionné, car il y a des filles qui jouent avec les voitures et au ballon et des garçons qui jouent avec des poupés.




3. Les garçons s'intéressent au futebol, les filles à des "choses de filles".

A) naturellement, puisqu'ils sont différents.

B) ce n'est pas parce qu'ils sont différents qu'ils doivent agir différemmment, alors leur comportement est encore conditionné.




4. Une femme enceinte, surtout à la fin de la grossesse, veut toujours sa maison propre et qu'il n'y manque rien.

A) naturellement, comme d'ailleurs le font les femelles dans la nature.

B) c'est un comportement conditionné, pour que personne ne lui repproche quoi que ce soit.



5. De nos jours, les (nouveaux) papas accompagnent les (nouvelles) mamans dans l'accouchement, et ce sont eux qui coupent le cordon ombilical.

A) naturellement, puisqu'il sont les papas, et c'est donc leur droit.
B) c'est le premier mâle à le faire, donc c'est un comportement conditionné.



6. On incite les mamans à allaiter leurs enfants.

A) naturellement, car leur lait est approprié aux besoins de leur enfant, et les autres femmelles (sauf quelques exceptions) le font.

B) On l'a conditionne à le faire, alors que rien ne dit qu'elle doit forcément le faire.



7. Aujourd'hui les femmes ne dépendent plus de l'homme pour manger et donner à manger à ses enfants.

A) naturellement, car dans la nature ce sont plutôt les femelles qui chassent pour elles et ses petits.

B) ce sont les conditions qui l'ont conditionnée à ce changement.



8. un nouveau-né et un enfant de très bas âge a aussi besoin de son père que de sa mère.

A) naturellement, et on regrètte que les nouveau-nés et les petits des autres mamifères soient obligés à vivre exclusivement avec sa mère.

B) on est conditionné à en croire, mais en vérité nos enfants ont les mêmes besoins que les autres nouveaux-nés et petits mamifères, et rien ne peut y changer.



9. la garde partagée est une très bonne chose.

A) naturellement, comme il serait pour tous les mamifères... si on pouvait changer leur comportement.

B) ça va conditionner bien de choses.


10.Un père peut avoir la garde exclusive, même si on n'a rien a repprocher à la mère.

A) naturellement, puisque il est le père.

B) un père se voit conditionné (obligé) à le faire, puisque d'autres mâles n'ont jamais eu le courage de prendre leurs enfants de la femmelle. Il faut comprendre d'une fois pour toutes que l'Homme n'a rien à avoir avec les autres animaux, et accepter que l'enfant humain n'a pas les mêmes besoins que les autres petits.

domingo, 5 de junho de 2011

SÃO INCONGRUÊNCIAS A MAIS...

Entre as mensagens que me foram enviadas estava a de um senhor que me perguntava se eu defendia que a criança ficasse sempre com mãe, salvo os casos em que esta não revele capacidades ou condições. Respondi-lhe que era exactamente isso que eu defendia, salvo excepções, entre as quais o não ser da vontade da criança (vontade que, frisei, devia ser respeitada).

Perguntei-lhe se porventura teria coragem de arrancar uma cria qualquer de junto da sua progenitora, sem qualquer motivo que o justificasse, para a pôr junto do progenitor.

Esta foi a sua resposta:




Viva Sara,

Na natureza, onde isso se pratica (e até há poucos séculos de forma generalizada na nossa espécie), pratica-se também o infanticídio e o estupro. São fenómenos naturais, e por isso não sou especialmente sensível ao argumento de "vem da natureza, tem de ser bom". Acho que é frequente na natureza (e nas civilizações menos desenvolvidas) a fêmea ficar (não por decisão, mas por condicionamento social) com muito mais ónus no acompanhamento e cuidado da criança do que o macho, e em contrapartida ser castrada profissional e socialmente noutros aspectos (tipicamente, os patrimoniais ou de poder).
Felizmente afastámo-nos disso. Provavelmente não quer que as suas filhas vivam num mundo assim. Além disso, é muito importante para todos os filhos ter os dois pais, desde que os dois estejam dispostos a estar presentes e dar afecto e cuidado à criança. Violar essa necessidade da criança por vontade de um dos pais (ou, pior, porque é essa a tradição) parece-me bárbaro.
(...)










[não sou especialmente sensível ao argumento de "vem da natureza, tem de ser bom"]




Nunca ninguém disse que a natureza era perfeita. Algumas fêmeas são, de facto, forçadas a ter relações (isso acontece também na nossa espécie, principalmente nas civilizações MAIS DESENVOLVIDAS), razão pela qual algumas fêmeas -não todas- acabarão por abandonar as crias, que, desprotegidas, acabam por morrer. O infanticídio existe, sim, embora sejam mais os machos e algumas outras fêmeas a cometê-lo. São casos excepcionais que não justificam que se altere a ordem das coisas. Tanto assim é que essa ordem ainda permanece.






[Acho que é frequente na natureza (e nas civilizações menos desenvolvidas) a fêmea ficar (não por decisão, mas por condicionamento social) com muito mais ónus no acompanhamento e cuidado da criança do que o macho]




Estamos, portanto, a falar de mamíferas. Que, regra geral, vivem sozinhas ou em grupos constituídos apenas de fêmeas, numa espécie de sociedade matriarcal. São elas que afastam as crias machos, quando estes estão suficientemente grandes para serem independentes, por forma a evitar que eles copulem com as próprias irmãs ou mesmo com elas. Diz-me então o amigo que elas não o fazem por natureza, mas por imposição social!


Admira-me que não tenha referido os casos em que são os machos a cuidar das crias, raros entre os mamíferos, mas frequentes entre as aves e os peixes. Já se perguntou porque razão eles o fazem? Talvez seja, como o amigo diz, por imposição social...


Ora os casos em que são os machos a cuidar das crias, ou em que ambos os progenitores se encontram envolvidos nesses cuidados, se devem tão somente a um propósito: a preservação da espécie, garantindo a sobrevivência do maior número de crias. A fêmea, assim que deposita os ovos (falamos ainda de aves e peixes,claro) fica liberada para voltar a procriar.


Felizmente nós não somos nem aves nem peixes, nem temos que nos comportar como tal. E não é, volto a insistir, porque somos humanos e estamos no século XXI que havemos de presumir que as nossas crias (as humanas) não têm as mesmas necessidades que as outras crias de mamíferos. Nenhum macho se atreveu a alterar a ordem natural das coisas. À excepção do macho humano. E diz ele (o macho humano) que não é machista...


Na natureza, as fêmeas dão à luz em total privacidade (o macho não assiste ao parto das crias que, aliás, também são deles) e são elas que maioritariamente ou exclusivamente cuidam das crias. Nas sociedades MAIS DESENVOLVIDAS, pelo contrário,o homem assiste ao parto e até corta o cordão umbilical (na natureza é a própria fêmea que o faz), e muitos são os que "compartilham" os cuidados com os filhos. Alguns até se designam "papas ao foyer".

Qual destes comportamentos é natural, e qual o condicionado?
É certo dizer que esta mudança de comportamento de homens e mulheres deriva de uma evolução natural?
Ou não serão estes novos comportamentos condicionados pela sociedade, que exige uma mudança?






[ é muito importante para todos os filhos ter os dois pais]




E ninguém aqui diz o contrário, ainda que as leis permitam que um filho nunca chegue a ter mãe (quando vive com dois homens) ou que não tenha pai (quando vive com duas mulheres).


Mas mais importante ainda é perceber as necessidades dos nossos filhos, perceber o mal que lhes fazemos quando o SEPARAMOS da progenitora em idades muito precoces, ou quando OBRIGAMOS esta (a mãe) a permanecer num lugar que a deprime (de que serve a um filho uma mãe deprimida?), e quando esta não aceite ficar, os SUJEITAMOS -mãe e filho- a uma separação demasiado dolorosa, quer para um quer para o outro. Isso, sim, é que é IMPOSIÇÃO.


E tudo o que é imposto não se faz por gosto, e só traz desgosto.
Principalmente àqueles a quem pretensamente queremos fazer bem, no seu Superior Interesse.


"Um pai pode estar num país e o outro noutro. Não impede que as coisas possam dar certo, e que um filho seja feliz. Com boa vontade, tudo se faz!", dizia-nos uma juíza (sim, era uma mulher, e depois?!), a mim e ao meu ex.


Com boa vontade, de parte a parte.
Não com a vontade de um sobre a vontade do outro.


Paz e Amor aos homens e mulheres de boa vontade:)

sábado, 4 de junho de 2011

OUTRAS INCONGRUÊNCIAS...

SANS PÈRE NI REPÈRE, on nous dit.
Ou bien, SANS (RE)PÈRE.
... On ne dit jamais SANS MÈRE NI REPÈRE!




- Un enfant ne peut pas vivre seul avec sa mère, sans avoir un père ...mais il peut avoir deux mères!



- Une mère ne peut pas remplacer un père ...mais un père peut remplacer la mère dès le debut, encore mieux s'ils son deux!



- Le pouvoir parental peut être donné à une troisième personne qui peut ou non être de la famille. Les parents biologiques sont obligés à lui renverser une pension alimentaire et à payer toutes les dépenses concernant l'école et la santé, entre autres ...mais cette troisième personne, qui a un pouvoir que ne lui appartient pas, n'aura jamais le devoir de payer quoi que ce soit aux parents biologiques!



- Une femme peut accoucher sous X, et la justice ne peut pas l'obliger à être mère malgré elle ...mais, encore une fois, il faut absolument que l'enfant ait un père, et donc on le cherche partout pour qu'il l'accepte de l'être malgré lui!



- Un père peut même ne pas vouloir de son enfant, en incitant la femme à avorter, et ne s'occupant jamais de lui après sa naissance ...mais, après le divorce, il peut toujours demander (et avoir!!!) la garde partagée ou même la garde exclusive!



- Un enfant -on le répète toujours- a besoin de ses deux parents (père et mère) pour bien construire son identité et mieux comprendre les differences de l'autre ...même si celà n'est pas possible quand il vit avec deux femmes ou deux hommes!



- Un beau-père ne remplace pas le père tout comme la belle-mère ne remplace pas la mère ...mais une autre femme peut occuper la place d'un père et un autre homme la place d'une mère!



(...)





continue

quinta-feira, 2 de junho de 2011

INCONGRUÊNCIAS DA LEI

-A lei diz que tenho de passar X de tempo com o meu pai (a minha mãe). Eu não quero. Sou obrigado(a) a ir?

Sim, excepto se o teu pai (a tua mãe) constituirem um perigo para ti.



-A lei confere ao meu pai (à minha mãe) o direito de visita e de alojamento. Ele (ela) é obrigado(a) a fazer uso desse direito?

Não. É um direito, não uma obrigação.



-A lei confere também aos meus avós o direito de visita e alojamento. Sou obrigado(a) a estar com eles?

Não, se tu não queres.



-A minha mãe (o meu pai) pode impedir-me de estar com o outro pai?

Não. Ela (ele) não tem esse direito. Mas, se tu não quiseres ir, ela (ele) tem o dever de te obrigar a ir.


-Os meus pais não se entendem. Sou obrigado(a) a aceitar viver num regime de guarda compartilhada e/ou num regime de guarda alternada?

Sim, se o tribunal entender que isso serve o teu Superior Interesse. Pelo menos até que haja provas de que assim não é.


-A minha mãe tem um novo companheiro e vai ter que se mudar para onde ele vive e trabalha. Terei que permanecer com o meu pai, mesmo querendo ir com a minha mãe?

A lei diz que, no caso de um dos pais se mudar para longe do local habitual de residência do(a) filho(a) menor, este(a) fica entregue à guarda do pai que permanece. No teu Superior Interesse.





(...)





Continua

quarta-feira, 1 de junho de 2011

AVANT D'INVOQUER LE SUPÉRIEUR INTÉRÊT DE L'ENFANT...

Puisque aujourd'hui c'est le Jour International de l'Enfant, pensons d'abord à son intérêt:

http://irts066.metz.irts-lorraine.fr/Document.htm&numrec=031939679911140

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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