domingo, 31 de julho de 2011

LA PETITE GARCE DANS LA PRAIRIE et POLISSE

http://www.franceloisirs.ch/fiche-produit?noRefProduit=0376520

Alison Arngrin. Ce nom ne vous dit rien?
Et Nellie Oleson, ça vous dit non?

Et bien, la petite peste d'UNE MAISON DANS LA PRAIRIE, a été, quand elle n'avait que 6 ans, victime d'un inceste (son frère), et, depuis qu'elle est adulte, et en se servant bien de sa célébrité, elle s'engage dans la lutte pour la protection des mineurs. Elle nous raconte tout dans son livre LA PETITE GARCE DANS LA PRAIRIE.

Maïenn, elle aussi, a eu une enfance dificille. Enfant maltraitée, elle s'engage à travers ses films dans la défense de tous les enfants.

"Viol, inceste, pédophilie, la maltraitance: POLISSE, le nouveau film de Maïenn, est une plongée brutale dans le quotidien d'une équipe de la brigade de protection des mineurs (...) POLISSE, prix du jury cette année à Cannes, est unm choc. Puissant."

In PSYCHOLOGIES MAGAZINE nº 309 - juillet-août 2011

sábado, 30 de julho de 2011

EST-CE AUX ENFANTS DE FAIRE DE PARENTS?!

Triste caricature de notre réalité.

Si les enfants perdent leurs repères, ce n'est pas qu'il leur manque un père. C'est qu'ils n'ont pas des parents.

sexta-feira, 29 de julho de 2011

POSER UN CHOIX C'EST D'ABORD RENONCER!

voici une lettre intéressante transmise par le Service de Santé Mentale du Tournaisis à la Chambre des Représentants de Belgique.

Source : www.lachambre.be/kvvcr/index.cfm?language=fr

ADOPTION ET HOMOPARENTALITES.

<< Monsieur, Il y a plusieurs mois maintenant vous nous interpelliez à propos de ces questions bien contemporaines touchant entre autre à l’adoption d’enfants par des couples homoparentaux. Il s’agit là de questions bien difficiles, soulevant les passions. Vous souhaitiez avoir un maximum d’avis pour ouvrir le débat. Comme promis, mais un peu tard sans doute, voici quelques réflexions partagées au sein de notre Service de Santé Mentale du Tournaisis. Il ne s’agit pas d’une argumentation bien construite, mais d’un certain nombre de « flashs » permettant effectivement d’ouvrir des bases de réflexion. > Préalables.

1 - D’abord et avant tout nous tenons à nous insurger fermement contre cette information diffusée par certains médias, information qui laissait entendre que « tous les psys » seraient d’accord avec ce projet de loi en faveur de l’adoption dans les couples homoparentaux.
D’abord ce n’est fondamentalement pas vrai.
Ensuite, il tiendrait du miracle, mais peut-être aussi de l’absurde que tous les psys aient une position unanime, convergente et concertante face à une telle question. Si c’était le cas, ils se mettraient automatiquement en porte à faux par rapport à ce qui fonde l’essence même de leur travail.

2 - Poser la question d’une loi pour régir l’adoption éventuelle par des couples homoparentaux ( ou monoparentaux) est ce la bonne question ? Est ce le juste débat ?
Si un « débat d’idées » s’ouvrait sur cette question, il s’agirait bien d’une question de société qui permettrait à l’homme de grandir, dans son humanité…. comme d’ailleurs le permet tout débat sur les grandes questions humaines.
En contre partie « voter une loi » est une toute autre démarche…. ni urgente…. peut-être même pas nécessaire.

3 - La tendance contemporaine est de légiférer sur tout.
Actuellement depuis quelques années nous votons à tour de bras, davantage en quelques années qu’en un siècle.
Du reste plus personne, parfois même les spécialistes, n’arrive à se débrouiller dans le dédale de ces lois qui finissent par se contredire et mettent en tout cas, de facto, tout citoyen dans son tort puisqu’en principe « nul n’est sensé ignorer la loi ».
Il y a là un « empressement à légiférer » donc les effets nous semblent souvent pervers.

4 - La vraie liberté pour un sujet s’inscrit bien dans le fait qu’il est libre de penser, libre de s’exprimer dans le respect des autres, libre d’ouvrir un débat au sujet des idées qu’il présente.
En ce sens encore, le débat sur l’adoption et l’homoparentalité est intéressant.
En contre partie il n’est pas vrai que la liberté c’est de « laisser tout faire » et d’ouvrir, dans la réalité concrète et quotidienne, un maximum de possibilités d’actions.

5 - Dans notre société contemporaine dire non devient un acte courageux, si pas héroique à certains moments.
Toute personne engagée dans un processus d’éducation a pu expérimenter le fait qu’il est bien plus difficile de dire non que d’accepter toutes les propositions émises.
Aujourd’hui, dire non est presque scandaleux, vécu comme raciste, comme abus de pouvoir…..
C’est un peu comme si le « rêve humain » évidemment et par définition sans limite, se confondait avec « les actions humaines » elles-mêmes, par définition, confrontées aux réalités de la vie et à de nombreuses contraintes.
Nous pouvons tous sans doute rêver à la vie éternelle, mais je suppose qu’elle ne sera jamais possible sur cette terre même à force de surgélation de nos corps ou de création de bébés en laboratoire.

6 - Ouvrir l’adoption aux couples homoparentaux nous inscrit bien dans une société de consommation qui tend à confondre l’enfant à un « bien de consommation », à un objet qui peut être dans pas si longtemps que cela sera un objet mis en vente publique. ( bébés fabriqués en laboratoire, puis confiés à des « porteuses » pour, enfin, être « vendus » à l’adoption !).

7 - Il va de soi que nous ne remettons en rien en question la qualité de l’amour qui anime un couple homosexuel ou lesbien.
Nous ne remettons en rien en cause ses éventuelles compétences éducatives.
Il ne s’agit pas non plus de s’opposer à ce que deux êtres humains, fussent-ils de même sexe, décident de lier leur vie pour un temps, en formant couple.
Autre chose serait évidemment de reconnaître ce couple dans les liens du mariage « comme si » il s’agissait d’un couple habituel.

8 - Il nous semblerait nécessaire de rappeler à tous les concitoyens et peut-être surtout à nos enfants et petits-enfants que la norme et donc, en conséquence la normalité, est bien le couple hétérosexuel.
Il s’agit là d’un déterminant de la destinée humaine.
Reconnaître que là se trouve la normalité n’entraîne évidemment en rien le fait de condamner voire de s’opposer à la création de systèmes plus particuliers, évidemment totalement respectables.

9 - Oser affirmer que ce sont les couples hétérosexuels qui produisent des humains homosexuels est vraiment un scandale. En soi ! !
Evidemment, les humains quels qu’ils soient, sont capables de tout : du meilleur comme du pire.
Toutefois cette affirmation nierait la bisexualité fondatrice de l’Homme …. qui reste sans doute permanente tout au long de la vie au moins sur le plan psychique ….mais qui nécessite un choix sur le plan social, par rapport au « mode de vie » que chacun va privilégier pour sa vie sociale, probablement au moment de l’adolescence.

C’est à ce moment là qu’il appartient à chaque humain de faire le travail de renoncer à cette bisexualité en posant un choix de vie qui impose une part de renoncement, évidemment douloureuse mais incontournable, si on ne veut pas rester dans une position de toute puissance telle que l’on peut imaginer qu’est celle des tout petits bébés.

10 - A écouter les médias aujourd’hui, le « must » pour tout humain serait d’être bisexuel.
Oser dire non c’est donc probablement s’inscrire en contre-pieds de la tendance actuelle ( mais pas culturelle) à accepter un peu n’importe quoi au nom de cette nouvelle valeur montante qui s’exprime de plus en plus depuis une dizaine d’année sous le mode de « il faut a tout prix se réaliser ».

11 - Donner le droit pour rendre légale l’adoption par des couples homoparentaux n’est ce pas prendre le risque d’arriver au contraire de ce que la loi souhaiterait.
Si la loi sort, adopter sera un droit qu’il ne s’agira plus de contester et qui se mettra de moins en moins en débat ce qui risque plutôt d’appauvrir notre humanité que de l’enrichir.


> Quelques idées intéressantes.

1 - Il faut se rappeler que dire non, c’est permettre aux humains d’accéder, de construire, puis d’assumer leur destin d’Homme, d’avoir accès au langage qui ne peut naître qu’à l’intérieur d’un décalage entre deux êtres, d’une différenciation, d’une séparation.

2 - Si on légifère à ce sujet, c’est sans doute pour éviter la transgression.
Or, c’est dans la transgression que la pensée peut se construire, que le débat peut s’ouvrir, que l’homme peut s’incarner en tant que sujet « pensant ».

3 - Un des argument pour justifier l’adoption par des couples homoparentaux se situe dans le fait qu’il y a sans doute une injustice dans le fait que les femmes peuvent constituer des couples lesbiens tout en mettant au monde des enfants, soit par une relation de passage (volontairement choisie) soit en recourant à une procréation médicalement assistée.
Les hommes vivant en couple homosexuels ne le pourraient pas.
Injustice ?
Ou plutôt simplement reconnaissance de ce qui nous différencie fondamentalement en tant que homme masculin ou en tant que femme.

4 - C’est justement dans cette différence, grâce à elle, parce qu’elle existe, qu’un petit d’humain peut se construire dans le langage et trouver, dans les jeux identificatoires, sa propre voie qui ne sera ni totalement celle de son père, ni totalement celle de sa mère, qui s’inspirera sans doute des deux pour se construire en « profitant » de ces différences.

5 - N’est ce pas un mythe de penser que s’il est vrai que les lois sont nécessaires, qu’elles ont une vocation universelle pour une communauté donnée, elles ne peuvent pas tout arranger des questions humaines.
Légiférer sur cette question n’est ce pas simplement déplacer ou post-poser la question fondamentale qui nous anime, à savoir : celle de nos différences ?

6 - La question des différences est bien une des question fondamentale de cette nouvelle culture naissante qui s’enracine déjà dans la fin du 20ème siècle : nous sommes tous les mêmes !
Puisque nous avons tous une particularité, le fait de l’avoir tous fait que nous sommes encore du côté du même.
Ne confondons nous pas d’une part « être les mêmes » avec d’autre part « avoir les mêmes droits » par rapport à l’organisation sociale.
Il nous semble que les deux éléments de ce binôme sont trop souvent confondus.
Il n’y a pas selon nous de racisme à reconnaître nos différences, que du contraire !
Au contraire , ce nouveau mythe de l’ « égalitarisme » ne nous semble en rien susceptible de protéger les enfants… que du contraire encore.

7 - « Poser un choix c’est d’abord renoncer », dit le proverbe.
Choisir de vivre en couple homosexuel ou lesbien c’est effectivement poser un choix.
Ce choix à des conséquences, comme tout choix.
Ces conséquences il faut que chacun de nous les assume.
Dans ces conséquences il y aura toujours du gain et des pertes.
Il ne peut en être autrement, en quelque matière que ce soit.
Il est vrai qu’aujourd’hui « manquer » est rapidement assimilé à une sorte d’état de maladie, insupportable…. qui doit être soigné…
Un peu comme si on oubliait que « le manque » est lié à la condition humaine…..et permet en fait, d’accéder à cette « humanité ».

8 - Un des gros problème des couples homoparentaux se situe dans le fait que les deux parents soient « du même » et justement non du côté de la différence.
Or, l’enfant grandit en face du couple de ses parents, sur un mode spéculaire, un peu comme s’il se voyait grandir dans le miroir de la différence, constituée par la différence des sexes.
Ce manque de différence ne peut que poser problème pour son développement. Il y a aura une plus grande difficulté à accéder à une forme de subjectivation, de remise en question, d’interrogation s’il est trop prisonnier d’un modèle unique ( même si nous savons que les fonctions parentales ne sont pas directement liées au sexe réel et ne sont pas toujours assumées prioritairement par les parents géniteurs ou légaux).

9 - Ceux qui défendent l’adoption dans les couples homosexuels se réfèrent à certaines statistiques qui témoigneraient du fait qu’il n’y a pas davantage de maladies mentales chez les enfants élevés dans les couples homoparentaux, par rapport aux couples traditionnels.
Avancer cet argument ( nous allons postuler que ces statistiques sont honnêtes), nous semble toutefois profondément hypocrite dans la mesure où il s’agit d’une réalité tronquée du moins du point de vue de la santé mentale.
S’il est vrai qu’un enfant élevé dans un couple homoparental ne présente pas davantage de « maladie psychiatrique », on ne peut nier l’existence d’une souffrance psychique, importante, souvent muette, qu’il y a lieu de prendre en compte et qui va tout de même constituer une difficulté supplémentaire pour le développement de cet enfant.

10 - Pourquoi est ce du côté de la loi qu’il faille intervenir ?
Cela ne doit il pas rester une question plus privée ?
A nos yeux, cela doit rester « une question » , une question éthique c’est à dire ce qu’il y a de plus intéressant pour l’humain.
Les humains ne doivent avoir de cesse que de s’interroger sur ce que c’est de vivre ensemble, sur ce que c’est d’être parent.
Légiférer en ces matières ( comme en d’autres ) touchant les questions humaines et privées, n’aurait il pas tendance à plutôt évacuer ces questions, comme les « résoudre » une fois pour toute ce qui va à contre sens de ce qui permet à l’humain de se déployer.
Plutôt que de légiférer, ne serait il pas davantage intéressant de proposer une réflexion sur les grands thèmes humains, et ceci aux jeunes générations pour que celles-ci puissent s’interroger sur : qu’est ce que c’est de poser des choix ? Qu’est ce que c’est d’être parents ? Quelles sont les conséquences liées à mes choix et comment les assumer ?
Normalement ces réflexions seraient à soutenir par les parents mais il est vrai que nous remplissons de moins en moins cette fonction.
Faut-il dés lors que l’école s’en charge ?
11- La question de l’homoparentalité, repose à nos yeux la question de l’inceste.
Dans cette situation, le « désir » a pour objet le même que celui d’autre parent.
Dans notre société le meurtre et l’inceste sont deux « lois fondatrices de notre humanité « , de notre culture.
De notre point de vue, on ne peut pas y toucher même par le biais d’une loi.
Le projet d’adoption par des couples homoparentaux viendrait sans doute égratigner cette loi.
Il permettrait une sorte de « flirt dangereux » entre la pensée, le rêve, le langage d’une part et la réalisation concrète et pratique de ce rêve…. entraînant une confusion entre ces deux espaces, confusion dont on sait les dommages qu’elle peut causer en terme de développement humain, d’identité…..

| Propositions |

1. Non, de notre point de vue, à une loi rendant légale l’adoption pure et simple d’enfants par des couples homosexuels, surtout s’il s’agissait d’une loi qui mettait sur pieds d’égalité l’adoption d’un enfant par un couple hétérosexuel ou par un couple homosexuel.

2. Si une loi particulière devait être créée en la matière elle doit être « fondamentalement différente » d’une loi qui s’adresserait à l’adoption dans des couples hétérosexuels….. même si la création de ce texte doit prendre du temps.
Qu’un enfant grandisse dans un couple homosexuel nécessite sans doute qu’il ait un statut légal.
Mais ce statut doit être différent, justement pour qu’il puisse s’interroger…. Pour qu’il ne puisse pas faire comme si ce couple s’inscrivait dans la « normalité de la destinée humaine ».

3. Reconnaître un statut à un enfant vivant dans un couple homosexuel, secondaire à des choix ultérieurs des parents, ne nous semble pas du tout la même chose que de voter une loi rendant légale l’adoption par des couples homosexuels.
Reconnaître le statut de l’enfant, n’est pas dire oui pour l’adoption à des couples de parents.


Pour les équipes du SSMT.

quinta-feira, 28 de julho de 2011

QUALQUER SEMELHANÇA É PURA COINCIDÊNCIA...

QUARTO LUGAR: CISNES-NEGROS (Cygnus atratus)



Cisnes-negros passeiam em lago

O cisne-negro macho, além de bastante monogâmico, é gay com frequência. Cerca de 25% deles escolhem outros machos para serem seus parceiros, e os animais ficam anos e anos juntos.

Casais gays, claro, têm um problema reprodutivo sério. Por isso, membros de casais de machos têm relações com fêmeas. Mas, assim que ela põe os ovos, os dois machos colocam a coitada para correr e, cheios de amor, cuidam juntos dos ovos. Em outros casos, os animais simplesmente roubam os ninhos de casais heterossexuais e adotam os seus ovos.

(...)

FONTE: http://www1.folha.uol.com.br/ciencia/785884-golfinho-faz-sexo-gay-para-manter-amigo-veja-ranking-animal.shtml


O MEU COMENTÁRIO:

Curiosa coincidência! Mais curioso ainda é vermos que, regra geral, as pessoas rejeitam quaiquer semelhanças com os animais (quando tal lhes convém, como quando é preciso contrariar a ideia de que as crianças, sobretudo pequenas, devem ficar com as mães, à semelhança do que sucede com a maioria dos animais) e aproveitam-se de exemplos da natureza quando é para defender a existência da homossexualidade (25% contra 75% faz com que sejam casos à parte, uma minoria por assim dizer), ou o envolvimento dos machos no cuidados com as crias, muito raro entre os mamíferos.

Para quem não quer ter nada a ver com os animais, parece que, afinal, há casos em que agimos como eles. Pior ainda.

A prova.

quarta-feira, 27 de julho de 2011

DRAME DE LA SÉPARATION: UN ENFANT BATTU À MORT!

Reims: un enfant de 4 ans et demi aurait été battu à mort par son père

Un petit garçon de 4 ans et demi aurait été battu à mort, dans la nuit de lundi à mardi à Reims, par son père dont l'état psychologique a nécessité un placement en unité psychiatrique, a-t-on appris de sources policière et judiciaire. "Vers 3H00 du matin, des voisins alertés par de grands bruits et des cris ont prévenu les secours qui ont découvert, dans un appartement dévasté, le cadavre d'un petit garçon", a-t-on expliqué au parquet de Reims. Selon les services de police, les forces de l'ordre et les pompiers ont mis plusieurs minutes avant de réussir à forcer la porte blindée, alors que le père était en pleine crise.

L'homme, âgé de 32 ans, qui se trouvait seul avec l'enfant, était dans un "état très agité qui a nécessité son placement en unité psychiatrique sur ordre du préfet, après avis d'un médecin psychiatre", a-t-on précisé au parquet. De source policière, l'autopsie pratiquée mardi matin a révélé de nombreuses traces de coups qui ont entraîné la mort de l'enfant.

Le couple était en phase de séparation et la mère, absente du domicile conjugal depuis plusieurs jours, devait venir prochainement chercher l'enfant. L'enquête a été confiée au SRPJ de Reims qui devrait auditionner le père dès que son état psychologique le permettra.

FONTE: http://lci.tf1.fr/filnews/france/reims-un-enfant-de-4-ans-et-demi-aurait-ete-battu-a-mort-par-son-pere-6600462.html

terça-feira, 26 de julho de 2011

ON EST DES SINGES, OU QUOI?

J'entends toujours: si tel pays a changé leur mentalité, pourquoi pas nous? On ne se demande même pas s'ils ont tort. On fonce. C'est ça l'evolution: faire comme les autres.

Tout comme un enfant qui nous dit "eh bien, moi j'ai fais ça, parce que lui/elle aussi, il/elle l'a fait". Ou comme un adolescent qui adopte le comportement de son groupe. Dire que l'adulte fait pareil.

Finalement, ça sert a quoi, notre masse grise?
À part ça, nous restons des singes.

domingo, 24 de julho de 2011

PS: "ÉGALITÉ RÉELLE" ET "LIBERTÉ DE CHOIX"...

"Bâtir l'égalité réelle, qui rime avec liberté de choix, pour retouver une France juste", ils nous disent.

Donc, chacun a la liberté de choix. Moi, par exemple, comme maman je peux donc choisir de rester avec mon enfant le temps que je juge nécessaire, de l'allaiter tant que je juge nécessaire, et de ne retourner au travail que quand je juge que mon enfant supportera la séparation, sachant qu'elle est brève. Ai-je le choix, sans que la société me récrimine et me dise que je suis trop "attachante" ou chose pareille? Veuiilez bien nous préciser, s'il vous plaît.



"Pour que l'égalité salariale et professionnelle femme-homme devienne une réalité, nous en ferons en condition pour conserver des exonérations de cotisations patronales", ils nous disent.

Déjà je veux savoir si, ayant pris mon choix (vous dites que je suis libre de le faire), je conserverai mon job, puisqu'on sait que les deux journalistes, pris en otage pendant un an et demi, pourront retrouver le leur dès le prochain mois de septembre, et je suppose que rien n'aura changé, même leur salaire. Merci de nous préciser.



"Pour lutter contre les descriminations, nous généraliserons les CV anonymes, sans nom ni photo et nous expérimenterons un système d'attestations remises par les policiers lors des contrôles d'identité", nous disent-ils.

Ce qui veut dire qu'une femme peut se candidater à un job qui demande la force physique d'un homme, et un homme peut se candidater à un job qui demande un "plus" féminin (voyons, si les hommes ont la force en plus, nous les femmes aurons quelque chose en plus aussi, non. Le nom et le visage ne comptent plus. Mais les condamnations, oui. Or, comme vous savez, on peut être condamné par des fausses accusations, comme par exemple d'abus sexuel (quelques hommes le sont) ou d'aliénation parentale (quelques femmes le sont), et là c'est la vie d'une personne de bien qui est en cause. Merci encore de nous préciser.



"Pour assurer l'égalité des genres et des familles, nous ouvrirons le droit au mariage et à l'adoption pour tous les couples", ils nous disent-ils encore.

Alors là, arrêtez de dire que l'enfant perd ses repères s'il perd sont père! Et s'il perd la mère? Où sont les droits de l'enfant? On attend des précisions.



LE CHANGEMENT, promettent-ils. Est-ce bien le bon?

Note: ces déclarations font partie du projet socialiste 2012

sábado, 23 de julho de 2011

OS ORFÃOS DE MÃE (EPISÓDIO DE INÊS DE CASTRO)

"Traziam-na os horríficos algozes
Ante o rei, já movido a piedade;
Mas o povo, com falsas e ferozes
Razões, à morte crua o persuade.
Ela, com tristes e piedosas vozes,
Saídas só da mágoa e saüdade
Do seu Príncipe e filhos, que deixava,
Que mais que a própria morte a magoava,

Pera o céu cristalino alevantando,
Com lágrimas, os olhos piedosos
(Os olhos, porque as mãos lhe estava atando
Um dos duros ministros rigorosos);
E despois nos mininos atentando,
Que tão queridos tinha e tão mimosos,
Cuja orfindade como mãe temia,
Pera o avô cruel assi dizia:

-Se já nas brutas feras, cuja mente
Natura fez cruel de nascimento,
E nas aves agrestes, que sòmente
Nas rapinas aéreas têm o intento,
Com pequenas crianças viu a gente
Terem tão piadoso sentimento
Como co a mãe de Nino já mostraram,
E os irmãos que Roma edificaram:

Ó tu, que tens de humano o gesto e o peito
(Se de humano é matar ua donzela,
Fraca e sem força, só por ter subjeito
O coração a quem soube vencê-la),
A estas criancinhas tem respeito,
Pois o não tens à morte escura dela;
Mova-te a piedade sua e minha,
Pois te não move a culpa que não tinha.

(...)

Queria perdoar-lhe o Rei benino,
Movido das palavras que o magoavam;
Mas o pertinaz povo e seu destino
(Que desta sorte o quis) lhe não perdoam.
Arrancam das espadas de aço fino
Os que por bom tal feito ali apregoam.
Contra ua dama, ó peitos carniceiros,
Feros vos amostrais - e cavaleiros?


Luís de Camões, OS LUSÍADAS (canto III, est 124 a 130)


sexta-feira, 22 de julho de 2011

UN PÈRE ABUSE DE SON FILS ET LE VEND À UN PÉDOPHILE!

Article - 08/03/2011
«UN suisse M’a vendu son enfant POUR 450 fr.»

Un pédophile italien a pu abuser d’un enfant de 7 ans après avoir versé 450 francs à son père, un homme domicilié en Suisse alémanique. L’aveu, terrible, est venu de la bouche du prédateur transalpin, coffré dans le cadre d’une vaste opération de lutte contre la pédopornographie menée par la police italienne.

Les faits remontent à 2007. Mais jusqu’à lundi et les révélations de laGazzetta del Mezzogiorno, ils n’avaient jamais été évoqués dans la presse. Le quotidien s’est procuré le procès-verbal de l’audition de Pietro M. , 31 ans, enseignant spécialisé, interrogé par la magistrate Anna Gloria Piccininni en juillet 2010 à Potenza, en Italie méridionale.

«J’AI D’aBORD JOUé AVEC SON FILS»
«Le Matin» a obtenu une copie de ce document. Pietro M. répond tout d’abord à des questions sur deux écoliers – l’un souffrant de troubles du développement, l’autre d’autisme – dont il a abusé. Il raconte, entre autres, avoir pris des photos de ces enfants et les avoir échangées sur Internet. Puis la magistrate lui demande: «Avez-vous eu des contacts avec une personne qui se trouve en Suisse?» «Oui, en 2007, via Internet», répond l’accusé.

Et Pietro M. , qui se faisait notamment appeler «Jimmy2» ou «Lady Oscar» sur la Toile, de se mettre à table: «Sur Internet, un des pseudos du Suisse était «Dad of Spain». Je me suis rendu à son domicile. Je ne me souviens plus du nom de la ville, mais il est venu me chercher un après-midi à la gare de Zurich. Il a dit s’appeler Dave. Chez lui, j’ai d’abord joué avec son fils de 7 ans. Puis j’ai pris l’enfant en photo dans son bain. Ensuite, l’enfant a eu un rapport oral avec son père, j’ai continué de prendre des clichés. »

enfant drogué?
Vers 21 h 30, le garçon va au lit. «Je suis allé dans sa chambre, raconte le prédateur. Alors qu’il dormait, j’ai eu un rapport anal et oral avec lui. Le père était présent. Quand j’ai eu fini, il m’a remplacé. L’enfant dormait toujours. J’avais négocié ce rapport avec le père. Nous avions convenu d’un montant de 450 francs. Je lui ai remis cette somme le lendemain matin lorsqu’il m’a raccompagné à la gare. »

La magistrate Anna Gloria Piccininni poursuit son interrogatoire. «Le père a-t-il donné à boire à son fils?» Pietro M. : «Il lui a donné un verre de Coca. Mais je ne sais pas s’il a ajouté une substance dedans. Et je n’ai pas cherché à le savoir. » La magistrate: «Vous êtes-vous protégé avec l’enfant?» Le pédophile: «Non, le rapport s’est fait sans protection. » La magistrate: «Vous avez encore les photos?» Pietro M. : «Oui, elles sont sur le disque dur qui a été séquestré. Pour protéger mes fichiers, j’ai suivi les conseils du Suisse et utilisé un programme de cryptage des données. Reste que je n’ai plus eu de contacts avec lui. Je ne le voyais plus sur Internet. En mai 2009, j’ai lu qu’en Suisse un homme qui vendait son fils avait été arrêté. Je me suis dit que ça devait être lui. »

RéSEAU DéMANTELé
Dave, dit «Dad of Spain», a-t-il donc été arrêté? Etait-il membre de ce réseau pédophile démantelé courant 2008 en Allemagne et en Suisse? Pour mémoire, huit personnes – dont trois établies en Suisse – avaient été arrêtées. Plusieurs d’entre elles étaient soupçonnées d’avoir drogué leurs propres fils pour en abuser sexuellement avant de les échanger au sein du réseau.

Porte-parole de la police cantonale de Thurgovie, où deux des huit suspects ont été interpellés, Rolf Müller ne nous dit pas si «Dad of Spain» est l’un d’eux. Mais sa réponse pourrait le laisser entendre. «Le Parquet de Frauenfeld (TG) soupçonne un citoyen allemand domicilié en Thurgovie d’avoir commis des actes d’ordre sexuel avec des enfants entre l’été 2007 et son arrestation, en mai 2008. L’accusé aurait abusé de son fils de 7 ans et attiré plusieurs autres pédocriminels chez lui. »

Quid de l’enfant? «Depuis le début de la procédure, il a été confié aux autorités compétentes, répond le porte-parole de la police. L’accusé, arrêté au terme d’une enquête internationale, a reconnu les faits et se trouve actuellement en prison en Suisse. » Ce qui lui fait un autre point commun avec Pietro M. Ce dernier est également incarcéré. Il attend l’ouverture de son procès, renvoyé à deux reprises depuis le début de l’année.

Interrogée par laGazzetta del Mezzogiornoaprès l’arrestation du prédateur sexuel italien, la magistrate Anna Gloria Piccininni avait confié «qu’Internet facilite la vie des pédophiles. Ils ont cette perversion et ils trouvent des personnes qui l’ont aussi sur la Toile. Ils en discutent, s’influencent. Et se sentent légitimés. »


http://archives.lematin.ch/LM/LMS/-/article-2011-03-764/ecrivain-suisse-residant-dans-un-petit-village-de-france-

quarta-feira, 20 de julho de 2011

SYNDROME D'ALIÉNATION PARENTALE ET/OU ALIÉNATION PARENTALE

JE VOUS RAPPÈLLE QUE RICHARD GARDNER DÉFENDAIT LA PÉDOPHILIE ET QU'IL S'EST BARBAREMENT SUICIDÉ!


Syndrome d’aliénation parentale et/ou aliénation parentale. Par Jacqueline Phélip







Alors que des inconnues fondamentales demeurent, non seulement sur la nature même de ce concept, mais également sur l’étiologie, les critères de diagnostic, l’étendue et le traitement, un lobby de plus en plus actif essaye d’introduire le syndrome d’aliénation parentale (SAP) dans la sphère judiciaire, en multipliant colloques et « formations » de magistrats et autres personnels judiciaires.


Dans la même rubrique :

Une approche interdiscursive de la métaphore juridique ”le juge, bouche de la loi” : application au discours jurisprudentiel francophone. Par Edgard Abesso Zambo, Jurilinguiste

A l’origine du concept d’Etat Kelsenien. Par David Boccara, Avocat


Les auteurs d’articles promouvant le SAP et/ou aliénation parentale et souhaitant son introduction dans les nosographies internationales, se réfèrent systématiquement à Richard Gardner, son inventeur, à ses thèses et ses critères de diagnostic. Le ton de ces articles est le plus souvent péremptoire, définitif, ne laissant aucune place, pour un observateur non averti, à la moindre incertitude ou au moindre doute. Un article du psychiatre Jean-Marc Delfieu, qui est expert près des tribunaux en est l’illustration (revue « Expert », 2005), mais aussi l’article de la revue « Annales Médico-Psychologiques » (2009) intitulé « Aliénation parentale : vers la fin du déni ? », du docteur Paul Bensussan qui est aussi expert près des tribunaux.

On peut en dire autant de la thèse de B. Goudard, étudiante en médecine générale, qui a bénéficié d’une large promotion. Pourtant cette thèse, pour ceux qui connaissent le milieu universitaire médical, s’illustre par une absence de recherche et des démarches scientifiques minimales, qu’on serait en droit d’attendre d’une thèse présentée comme une référence scientifique. L’utilisation de ce concept, en l’état actuel des connaissances, a généré aux USA des centaines d’erreurs de diagnostic qui ont mis les enfants en danger, et nous commençons à suivre le même chemin.

Le professeur de psychiatrie Paul Fink, ancien président de l’APA (American Psychiatric Association) et directeur du Leadership Council on Mental Health, déclarait : “ Je suis très inquiet en ce qui concerne l’influence que Gardner et sa pseudo-science peuvent exercer sur les tribunaux…. Une fois que le juge admet le SAP, il est facile de conclure que les allégations d’agressions sont mensongères et les tribunaux attribuent la garde des enfants à des agresseurs présumés ou avérés.” ( Bruch 2006).

Dans un article du « The Huffington Post » daté du 20 janvier 2011, Joan Dawson fait part d’un cas récent où une mère, refusant de confier son bébé de neuf mois à son père car ce dernier avait menacé de le tuer, et demandant des visites supervisées, fut soupçonnée par le juge de commencer une « aliénation parentale ».

Dès le premier jour de garde accordé par le tribunal, le père disparut avec l’enfant, et les deux furent retrouvés morts dix jours plus tard.

Jacqueline Phélip, Présidente de l’association L’Enfant d’abord.
http://www.lenfantdabord.org/
association@lenfantdabord.org

FONTE: http://www.village-justice.com/articles/Syndrome-alienation-parentale,10382.html



VOTEZ À CE SONDAGE: http://www.mesopinions.com/sondage.php?sondage=67

terça-feira, 19 de julho de 2011

VIOLENCE CONJUGALE

Étude de l'OMS

Une étude menée par l'[[Organisation mondiale de la santé]], basée sur des interviews de 24 000 personnes dans 10 pays différents, montre une prévalence de violence conjugale variant suivant le site entre 15 et 70% des femmes interrogé[http://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140673606695238/abstract ''Prevalence of intimate partner violence: findings from the WHO multi-country study on women's health and domestic violence''], C Garcia-Moreno, H Jansen, M Ellsberg, L Heise, C Watts, Lancet 2006; 368:1260-1269.
Dans ce cas aussi, il est dommage que les concepteurs de l'enquête n'aient pas jugé utile d'interroger les hommes, et cela officiellement pour des raisons de coût. Les hommes violentés sont aussi nombreux dans les pays du Tiers-monde que dans les pays occidentaux.
Les femmes subissent en majorité les violences au sein du couple (violences psychologiques, verbales, contraintes économiques, agressions physiques et violences sexuelles). Elles sont victimes d'hommes immatures, égocentrés ou présentant de graves troubles de la personnalité ("''On reconnaîtra ici les dynamiques paranoïaques ou les aspects mégalomaniaques, privilégiant l’emprise dans leur approche de l’autre''.") [rapport du Dr Coutanceau - Ministère de la cohésion sociale - 2006][http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/BRP/064000270/0000.pdf ''Auteurs de violence au sein du couple : prise en charge et prévention ''], COUTANCEAU Roland ,
FRANCE. Ministère de la cohésion sociale et de la parité - Paris ; Ministère de la cohésion sociale et de la parité - Mars 2006; Documentation française - p. 10-12
Pour certains, la violence est la réponse « normale » à ce qu'ils considèrent comme un « refus d'obéissance », ils ont vu leur père frapper leur mère, ont une tolérance minimale à la frustration, ne savent régler autrement les conflits et trouvent donc naturel de frapper leur compagne.
Très souvent les femmes n'osent pas dénoncer cette violence de peur de représailles sur les enfants du couple: elles se sentent coupables et responsables de l'échec du couple et de la situation de violence. Elles ont aussi peur de se retrouver sans ressources, si elles ne sont pas indépendantes financièrement. Tous ces éléments font que cette situation perdure, malgré des prises en charges sociales et des démarches auprès des forces de l'ordre.
Outre les violences physiques, demeurent les violences morales, privation de libertés (enfermement, séquestration, etc.), privation d'autonomie (confiscation de revenu, de véhicule, etc.), volonté d'aliénation (aliénation économique, administrative, etc.), etc.
Il est notable de constater que la violence conjugale touche tous les milieux sociaux-culturels, y compris les plus favorisés intellectuellement comme le montre l'affaire [[Marie Trintignant]]-[[Bertrand Cantat]].




Violences conjugales envers les hommes

Dès [[1977]], la sociologue américaine [[Suzanne Steinmetz]] crée le concept de {{citation|mari battu}}, ultérieurement remplacé par celui d'{{citation|homme battu}}. Dans une étude de 1980 (''Behind Closed Doors - Violence in The American Family''), comprenant une enquête de victimisation, Strauss, Gelles et Steinmetz affirment que les femmes commettent la moitié des violences physiques domestiques. Selon eux, les hommes causent plus de dommages directs aux femmes, mais les femmes qui utilisent des armes peuvent provoquer des blessures très graves. Suzanne Steinmetz a écrit : {{citation|Le crime le plus sous-estimé n'est pas la femme battue, mais le mari battu.}}
Dans le monde francophone, plusieurs enquêtes de victimation vont dans le sens de l'équivalence quantitative des violences conjugales. Pour le Canada, c'est le cas de l’ESG, menée en 1999 et en 2004. En Suisse, c'est le cas d'une enquête d'enseignants de l'Institut de la famille de Fribourg, Guy Bodenmann et Barbara Gabriel, en 2002. Elles aboutissent à des évaluations analogues : de 1 à 2% de victimes pour chaque sexe durant l'année précédant l'enquête.
Une série de témoignages sont disponibles dans la thèse d'une travailleuse sociale suisse, Sophie Torrent, intitulée ''L'Homme battu'',[http://optionsante.com/livres.php?livre=11] et dans ''La Cause des hommes'' de Patrick Guillot.
En France, l'enquête française BVA/''L'Express'' de juin 2005, posant à des hommes les mêmes questions concernant les violences psychiques que celles posées à des femmes par l'enquête ENVEFF, aboutit aux mêmes résultats.
La première enquête ''Cadre de vie et sécurité'' de l'OND, portant sur les années 2005-2006 et publiée en 2007, évalue à 0,7% la proportion d'hommes violentés, ce qui équivaut en population à 120 000. La même enquête pour 2007-2008 l'évalue à 0,4% soit 110 000. Et, pour 2009 (une seule année), à nouveau à 0,4% soit 78 000.
Pour 2007, la gendarmerie comptabilise 2317 faits constatés de violence conjugale contre des hommes, soit une augmentation de 39,3% sur un an, la police n'étant malheureusement pas en mesure de fournir son propre comptage. Ce chiffre est très en dessous du chiffre réel des violences, car la plupart des hommes concernés n'osent pas porter plainte, pour plusieurs raisons : les services d'aide, comme le 3919, sont officiellement présentés comme réservés aux femmes; ils ont peur de ne pas être crus ou d'être ridicules; ils craignent de subir une plainte reconventionnelle de la part de leur conjointe à laquelle sera accordée une bien plus grande crédibilité; ils craignent de provoquer une séparation conflictuelle, qui impliquerait la perte de contact avec leurs enfants, dont la mère a toutes les chances d'obtenir la résidence principale [http://www.sos-papa.net/pages/m%C3%A9canismes.htm].
L'évaluation des homicides conjugaux fait apparaître que des hommes sont tués par leur conjointe chaque année : 46 en 2003-2004, 31 en 2006, 26 en 2007, 27 en 2008, 25 en 2009.
Malheureusement, un certain nombre de violences graves perpétrées contre les pères par les mères dans les couples en situation de divorce ne sont pas comptabilisées comme "violences conjugales". Il s'agit notamment des fausses accusations de violences physiques ou sexuelles à l'encontre des enfants, du délit de non-représentation des enfants très peu sanctionné en France lorsqu'il est le fait d'une mère, de l'aliénation parentale des enfants, des déménagements à longue distance rendant difficiles le droit de visite du père.
D'autres cas de violences fréquentes faites aux hommes sont matérialisés par des dénonciations calomnieuses de viol ou d'agression sexuelle à des fins de vengeance ou provoqués par le sentiment de culpabilité d'avoir cédé à une sollicitation sexuelle.



FONTE: Wikipédia (violence conjugale)









"Pour 2007, la gendarmerie comptabilise 2317 faits constatés de violence conjugale contre des hommes, soit une augmentation de 39,3% sur un an, la police n'étant malheureusement pas en mesure de fournir son propre comptage. Ce chiffre est très en dessous du chiffre réel des violences, car la plupart des hommes concernés n'osent pas porter plainte, pour plusieurs raisons : les services d'aide, comme le 3919, sont officiellement présentés comme réservés aux femmes; ils ont peur de ne pas être crus ou d'être ridicules; ils craignent de subir une plainte reconventionnelle de la part de leur conjointe à laquelle sera accordée une bien plus grande crédibilité; ils craignent de provoquer une séparation conflictuelle, qui impliquerait la perte de contact avec leurs enfants, dont la mère a toutes les chances d'obtenir la résidence principale [http://www.sos-papa.net/pages/m%C3%A9canismes.htm].
L'évaluation des homicides conjugaux fait apparaître que des hommes sont tués par leur conjointe chaque année : 46 en 2003-2004, 31 en 2006, 26 en 2007, 27 en 2008, 25 en 2009.
Malheureusement, un certain nombre de violences graves perpétrées contre les pères par les mères dans les couples en situation de divorce ne sont pas comptabilisées comme "violences conjugales". Il s'agit notamment des fausses accusations de violences physiques ou sexuelles à l'encontre des enfants, du délit de non-représentation des enfants très peu sanctionné en France lorsqu'il est le fait d'une mère, de l'aliénation parentale des enfants, des déménagements à longue distance rendant difficiles le droit de visite du père".





Pourtant les pères exigent une loi qui impose la garde alternée par défaut, ce qui peut entraîner, à mon avis, une perpétuation de la violence (même si on laisse dehors les cas où l'un des membres du couple est violent, il est certain que cela n'est toujours pas facile à voir, et plusieures fois ignoré, surtout -à croire ce qui est dit et écrit ici- dans les cas où est l'homme la victime). On ne comprends toujours pas cette exigeance...


Reste à évaluer les accusations d'abus sexuel faites par les femmes, soit sur elles-mêmes soit sur les enfants, quelques fois ignorées ou considérées "fausses". Parfois les victimes se transforment en accusées, et on voit bien des cas de mères de familles accusées en justice d'aliénation parentale. On les accuse de tout faire pour séparer l'enfant ou les enfants de leur père, alors qu'elles essayent uniquement de les protéger. Il ne faut pas ignorer qu'un homme innocenté par la justice n'est pas forcément un homme innocent. Aussi, il faut abandonner l'idée qu'un homme violent n'est pas forcément un mauvais père.

segunda-feira, 18 de julho de 2011

JE VAIS LE DIRE, TOUT COURT ET TOUT NET!

Il y a celles qui ne regardent que leur nombril, au dire de leurs ex. Pourtant, ceux qui les accusent d'être égoïstes sont, pour la plupart, les mêmes qui viennent ici chercher le plaisir. Ils ne pensent qu'à ça, apparemment.

Beaucoup beaucoup d'hommes mariés, avec des enfants. Pas étonnant que les femmes demandent le divorce. Alors ils s'étonnent: je n'ai rien fait de mal, au contraire! Je partageais les tâches ménagères et les soins avec nos enfants! Je ne comprends pas...

Voilà encore un mythe qui tombe par terre: les hommes peuvent faire beaucoup de choses à la fois. Et ils le font beaucoup mieux que les femmes, puisqu'ils ils ont largement le temps de venir encore ici se "divertir", alors qu'elles se plaignent de ne pas avoir du temps pour elles!

Donc, la femme est égoïste et méchante. Elle a fini un mariage qui allait très très bien, sans une seule reproche, parce qu'elle ne pense qu'à elle. Et, en plus, il y a le tribunal, qui ne voit pas les bons pères qu'on est, le héros de nos enfants. Un père qui a plein de bonnes choses à leur enseigner. Qu'est-ce qu'ils deviendront sans nous, sans nos bons exemples?!

Ils demandent l'égalité.



(heureusement il y a encore des hommes qui ne font pas partie de cette catégorie)

A VISITER: http://ecpat-france.fr/

domingo, 17 de julho de 2011

LA NATURE, TELLE COMME ELLE EST (ÇA NE SE CHANGE PAS!)

LE PETIT OURS BRUN

Quand je serai grand, je pousserai de terribles grognements, comme maman. Grrr...

Depuis le retour du printemps, je peux quitter la grotte où maman nous a donné naissance, à moi et mes frères. Pendant teois mois, bien au chaud contre sa fourrure, j'ai tété son bon lait. Maintenant, je vais me régaler de myrtilles, de papillons, de poissons... Il paraît que le miel des abeilles est délicieux, jai hâte d'y goûter!

Maman veille sur nous avec attention. Si un danger nous menace, elle se dresse sur ses pattes arrière: elle est alors aussi haute que le plafond de ta chambre! Elle peut assomer un homme d'un coup de patte.


LE PETIT FLAMANT ROSE

Lorsque je nais, je suis très fragile, j'ai besoin d'être au calme et je ne dois pas être dérangé par les promeneurs.

Je nais avec un doux duvet blanc. Ma maman me place sous son aille pour me protéger du soleil. À tour de rôle avec papa, ils me donnent à manger en déposant directement dans mon bec des poissons écrases.

C'est maman qui m'apprend à me déplacer, à me nourrir et à voler. Elle veille sur moi à chaque instant. Elle et moi vivons en groupe, avec plein d'autres flamants roses. Si maman me perd de vue, elle me recconaît grâce à mon cri: chaque petit a un cri unique.


LE PETIT KANGOUROU

Je ne vis que dans un seul pays sans le monde, en Australie.

Regarde, ma maman a une poche sur son ventre, comme c'est pratique! C'est là que, après ma naissance, j'ai grandi bien tranquillement. Aujourd'hui, j'ai 7 mois. Pour la première fois, je vais sortir pour découvrir le monde. J'ai un peu peur...

Comme je l'aime, ma maman, elle est si attentionnée! Si j'apercevais un danger, hop! d'un bond, je me réfugierais dans ma super.cachette, la poche de maman!

LE PETIT FAON

Mon père, le grand cerf, est le roi de la forêt. Et moi, je suis un petit prince, avec ma robe tachetée de blanc.

Je suis née il y a quelques heures seulement et je me tiens déjà debout sur mes pattes. À ma naissance, maman m'a léché longuement. Puis j'ai tété goulûment son lait pour me réchauffer.

Je suis encore trop faible pour partir gambader seul dans la forêt. Quand maman s'absente, elle me cache dans les herbes hautes où le reste couché sans bouger jusqu'à son retour. Elle ne s'éloigne jamais longtemps et elle veille à ce qu'aucun renard ne rôde.


LA PETITE OTAIRE

Je suis née sur une plage rocheuse, mais bientôt, je vivrai entre terre et mer...

Que de monde sur la plage! Ma famille et moi, nous vivons dans un immense groupe. C'est impressionnant de nous voir tous réunis! Celui qui me renifle le museau sur la photo est un de mes grands frères.

Ah, je suis content de retrouver ma maman! Elle était partie plonger pour pêcher des calmars, des pieuvres et des anchois. En sortant de la mer, elle a tout de suite reconnue mon cri et a vite marché sur ses nageoires pour venir me faire un câlin.

LE PETIT GUÉPARD

Je suis fier d'être l'animal le plus rapide de la terre!

Eh oui, quand je serai grand, je courrai à 110 km/heure pour attraper les gazelles. Mais pour l'instant, je suis avec attention les leçons de chasse de maman: elle me montre comment bien repérer sa proie, s'en approcher le plus près possible, foncer sur elle et la faire tomber d'un croche-patte! Facile à dire...

Quand j'etais bébé, maman me cachait tout le temps pour empêcher les lions ou les aigles de me manger. Maintenant je trouve mes cachettes tout seul! Et avec mes taches et ma crinière blanches, je suis le roi du camouflage.


LE PETT MOUTON MÉRINOS

De tous les agneaux, c'est moi, l'gneau mérinos, qui ai la laine la plus douce!

Je suis sûr que tu me trouves "trop mignon", avec ma tête en forme de triangle et mes grandes oreilles. J'adore être au milieu de mon troupeau, je me sens bien en sécurité. En plus, je me sens bien, plus ma laine est belle.

Je viens de naître, et, pourtant, je vais très vite me mettre debout pour suivre ma maman et mon troupeau dans les prés.


in LES P'TITES PRINCESSES hors-série nº 17 été 2011


MON COMMENTAIRE: Ah, si les humains comprennaient ça...

sábado, 16 de julho de 2011

LA VIOLENCE AU FÉMININ: NOUVEAU DÉBAT!

Un ami m'a laissé cet article. A vous de commenter:

-Est-ce que le nombre d'hommes battus se compare au nombre de femmes battues?

-Quel genre de violence subissent les hommes, par rapport aux femmes?

-Quelles sont les raisons qui "expliquent" en quelque sorte la violence au masculin et la violence au féminin?

(bien sûr vous pouvez ajouter d'autres questions)

http://fr.netlog.com/go/out/url=http%3A%2F%2Fwww.lexpress.fr%2Factualite%2Fsociete%2Fhommes-battus-tous-les-pretextes-etaient-bons-pour-me-rabaisser_1012145.html%23xtor%3DAL-447

sexta-feira, 15 de julho de 2011

TRAITÉ DES (IN)ÉGALITÉS SUR LA NET

Je vous ai posé une question, ici sur Netlog. Le sondage est encore en cours, tout de même je me pose la question: est-ce franchement ce que vous croyez?!

Pensez à vos attitudes, à vos pensées, à ce qu'on pense surement de vous. Est-ce bien vrai que cela a déjà (ou ira un jour) changer?



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Sondages / JE CROIS QUE LES HOMMES ET LES FEMMES SONT (SERONT) ÉGALEMENT CONSIDÉRÉS, DANS TOUS LES DOMAINES!

(17 votes )



OUI (JE SUIS UN HOMME) 7 votes 41.2%
NON (JE SUIS UNE FEMME) 4 votes 23.5%
NON (JE SUIS UN HOMME) 3 votes 17.6%
Oui, mais il va falloir encore batailler.... 2 votes 11.8% Supprimer
OUI (JE SUIS UNE FEMME) 1 vote 5.9%
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Quelqu'un ma dit (c'était un père de famille, vivant en couple) qu'il venait ici chercher à se divertir. "Je ne suis qu'un homme, lol!", s'est-il excusé.

Moi, je ne suis qu'une femme. Ce qui ne veut pas dire la même chose. Je précise: je ne suis qu'une femme de plus, et si je ne leur plaît pas (ou bien ma conversation) il y a bien d'autres femmes.

Or, je réfuse systématiquement à faire ce qu'ils attendent de moi. Déjà, je ne vais pas sur msm. Je leur demande de (re)lire mon profil, en précisant que je vis en couple (je suis, donc, fidèle) et que j'ai des enfants (c'est mon devoir, comme parent, de leur donner l'exemple, et de leur dire ce qu'ils doivent faire ou pas).

L'un -le père de famille- m'a appelé de "vieille fille", un autre m'a dit "tes bête" tout simplement parce qu'il m'a déclaré net "je veux coucher" et je lui ai répondu net "alors, couchez-vous!" Hélas, entre "vieille fille" ou "bête" et "putain" il n'y a pas de choix.

On me dit naïve en croyant que les hommes et les femmes peuvent être juste des amis, alors qu'ils croient naïvement (les papas de famille qui viennent ici) que leurs filles seront les miraculées et s'en sortiront immaculées. Car leurs filles ne sont pas des (futures) femmes. Surtout pas comme les autres, les filles de quelqu'un d'autre. Pas touche.

S'ils sont là, ce n'est pas forcément parce que les choses ne vont pas bien, alors que si je suis là, ou bien ça sera parce que je suis une femme très libérale ou bien une femme qui cherche à se libérer (ils comptent, tout de même, que ça sera chose facile à faire). A la fin, toutes les femmes, les heureuses et les malheureuses, celles qui se sentent bien dans sa peau et dans son temps et celles que ne s'y trouvent pas, seront connues sous un même nom. Et les hommes auront eu ce qu'ils cherchaient, quelques fois sans même sortir de chez eux, et en plus gratuitement. Ça leur convient, cette sorte d'"égalité", nom?

Puisque je n'ai pas le choix, je resterai "vieille fille" (auparavant une "vieille fille" c'était la femme à la trentaine ou quarantaine qui n'etait pas encore mariée; de nos jours, la "vieille fille" c'est la femme mariée qui ne cherche à se divertir -c'est à dire, à divertir les autres- ailleurs).

Je resterai bête, parce que je ne suis pas bête. Pas moi.
Surtout pas naïve.

quinta-feira, 14 de julho de 2011

IL FAUT SAVOIR FINIR UNE GUERRE

"Il faut savoir finir une guerre" (Nicolas Sarkozy)





Mieux encore, monsieur le Président: il faut savoir ne pas la commencer!

quarta-feira, 13 de julho de 2011

LES MÉDECINS AVAIENT PRÉVU DE FAIRE MOURIR MON ENFANT

"Les médecins lui avaient expliqué que son enfant était condamné et qu'il fallait abréger ses souffrances: Marjorie, maman de Célia, 5 ans, a choisi de se battre. Et elle a eu raison...

C'est le pire des choix auquel une mère puisse être un jour confrontée: (...).

Le chirurgien explique que la fillette souffre d'un grave traumatisme crânien et qu'il a dû lui enlever une partie du cerveau, endommagé par un oedème, avant de la plonger dans le coma artificiel. (...) Hélas, l'état de la petite ne cesse de se dégrader. 'Les médecins ont alors demandé à nous parler. Ils étaient toute une armada. Il y avait même un psychologue qui devait nous aider à prendre selon eux la meilleure des solutions: abréger les souffrances de Célia. J'ai hurlé qu'on ne toucherait à ma fille!' Les médecins cependant persistent. Selon eux, si Célia s'en sortait, elle serait polyhandicapée, aveugle, sourde et muette. 'Ils nous disaient qu'elle ne nous reconnaîtrait plus, qu'elle ne nous sourirait plus jamais... C'est terrible pour une mère à entendre.'

Pourtant Marjorie tient bon... Elle a raison: après dix-sept jours de coma, déjouant tous les prognostics médicaux, Célia se met à respirer sans l'aide des machines. Une première victoire, bientôt suivi d'autres. 'Je passais mon temps à l'hôpital, pour stimuler Célia, triomphe Marjorie. Je faisais les marionettes avec ses peluches, je lui passais de la musique. Elle n'était ni aveugle, ni sourde, ni muette! Elle a même répété les mots que je lui murmurais quand elle était inconsciente: 'Tout ira bien, maman', m'a-t-elle dit. Et un jour, un merveilleux jour pour Marjorie, Célia se lève de son fauteuil roulant pour faire ses premiers pas. 'C'était comme une deuxième naissance' se souvient la maman. (...) 'Célia a gardé des séquelles, notamment un syndrome frontal qui provoque des crises de violence. Il faudrait faire des travaux dans notre logement pour la sécuriser et être sûr qu'elle ne se blesse pas lors d'une crise' Hélas, le coût de travaux estimé par un architecte reste trop élevé pour Mrjorie et son mari. 'Notre association* vient de fêter ses deux ans. Deux ans de luttes, à chercher des fonds, monter des projets, organiser des manifestations et des concerts... Jacques Higelin, par exemple, est venu chanter pour Célia. Nous comptons aussi sur la solidarité et sur les dons. Après ce que nous avons vécu, rien ne me paraît insurmontable...'

La plus belle des récompenses de Marjorie, c'est le sourire de Célia, ce sourire qu'on lui a demandé d'éteindre..."

Cyril Guinet
courrier@closermag.fr


article paru sur C'EST LEUR HISTOIRE du 1er juillet au 15 août 2011

* Association "Célia, un combat pour la vie": www.princessecelia.fr

terça-feira, 12 de julho de 2011

UNE MAMAN SAUVE SON BÉBÉ AVEC DES CÂLINS!

http://maman-bebe.aujourdhui.com/info/une-maman-sauve-son-bebe-avec-des-calins-01415.asp



O mesmo artigo em português, em:

http://revistacrescer.globo.com/Revista/Crescer/1,,EMI166350-17729,00.html

UMA MÃE PERDE A GUARDA DA FILHA POR AINDA A AMAMENTAR!






http://www.rue89.com/ibere-espace/2011/06/12/une-fillette-enlevee-a-sa-mere-parce-quelle-lallaite-encore-208788


(j'ai allaité ma cadette bien au delà de 15 mois -beaucoup plus, d'ailleurs- et j'aurais fait le même pour ma fille aînée si j'aurais pu et j'aurais su ce que je sais à présent!)

(eu amamentei a mais nova bem para além dos 15 meses -aliás, muito mais- e teria feito o mesmo com a minha mais velha se tivesse podido e soubesse o que sei hoje!)


Interessa ler:




http://mamaedoula.blogspot.com/2011/06/habiba-e-alma-estao-finalmente-juntas.html

domingo, 10 de julho de 2011

O DILEMA DE QUEM TEM IRMÃOS (E DE QUEM NÃO OS TEM...)





Tem-se por regra que os irmãos mais velhos são mais responsáveis, os do meio os mais esquecidos, e os mais novos os mais rebeldes.



Para dizer a verdade, nem sei bem em qual deles me situo. Sendo a terceira de 7 filhos, creio que me situo mais ou menos a meio, tanto mais que dos 3 sobreviventes, eu sou realmente a do meio. Mas, como cedo fui retirada de casa e posta num colégio, acabei por ser, devido à minha tenra idade, uma das mais novas. Entretanto, por uma razão qualquer, tive de acompanhar a religiosa principal -que veio a tornar-se minha madrinha do crisma, daí eu chamá-la de madrinha, ainda que a tenha mais como mãe substituta-, de modo que me vim a encontrar na posição de filha única. Só mais tarde voltei ao mesmo colégio interno, voltando a uma posição de filha do meio. Mais tarde, tendo outras raparigas mais velhas saído, acabei por ser eu uma das mais velhas, com as responsabilidades que me eram inerentes, tanto mais que havia muitas crianças no colégio e nós, as mais velhas, tinhamos de ajudar. Além disso, eu era a mais adiantada nos estudos, sendo -ao que me disseram- a primeira a concluir os estudos universitários.



Eis o meu dilema: serei eu a responsável, a esquecida ou a rebelde?
Ou serei um misto das três?



Quanto ao meu ex-companheiro, ele é o filho do meio. Não sei se ele se tem por esquecido, mas sei que ele traz uns quantos traumas do passado, que não me cabe a mim referir, muitos menos num espaço público. Sei que os tem, porque ele mos contou. Mas a sua irmã mais velha, a tia solteira e sem filhos que detém a guarda da minha filha, também os tem. Responsabilidades a mais? Ou talvez um ciúme mal gerido dos irmãos mais novos ...



Quanto ao meu actual companheiro, ele é o mais novo de 11 irmãos. Porventura o mais mimado e o mais rebelde. Não que ele não saiba ter responsabilidades, ao contrário. Mas rejeita outras. Dir-se-ia que quer ser o eterno filho...



E o que dizer das minhas duas filhas? Sendo duas, logicamante que uma é a mais velha e a outra a benjamim. E ainda que uma se mostra super-protectora com a outra, enquanto a mais nova nutre uma admiração especial pela mais velha, o facto é que, vivendo separadas uma da outra (também eu vivi separada dos meus irmãos), ambas vivem como filhas únicas. É quase como ser orfã de irmã viva...



O que eu ainda aqui não vos contei é que, regra geral, sou eu a ponte de ligação entre os meus dois irmãos. Aqueles com quem eu não vivi, e que, vivendo ambos tão próximos um do outro (uma na zona de Lisboa, outro na zona de Tomar; já eu vivo fora do país), são capazes de estar longo tempo sem saber um do outro. Quem diria que viveram juntos? Talvez a mais velha ainda sofra, pois foi ela quem mais suportou... Talvez o mais novo sofra também, pelo que viveu desde tão tenra idade ...

sexta-feira, 8 de julho de 2011

J'AIME MA FAMILLE ET J'ADORE LES BELLES FEMMES!

Eh oui, je l'ai vu écrit "j'aime ma famille mes enfants mes parents, j'adore la musique ... et les belles femmes". Il se cherche des amis. Ou plutôt, des "amies" (fallait apprécier les photos, pour bien comprendre).



Pour moi, "adorer" est bien au-dessous de "aimer". Pour dire qu'il aprécie encore plus les femmes qu'il aime sa famille. Ça se voit, d'ailleurs. S'il les aimait vraiment, il les respecterait. Car je suis sûr que sa famille, ses enfants et ses parents l'aiment aussi. Beaucoup plus qu'il les aime.

quinta-feira, 7 de julho de 2011

LE GENRE DE CHOSES QUI NOUS FONT PENSER...

Qu'est-ce qui vient avant: l'oeuf ou la poule?
Est-ce l'homme qui a obligé la femme à rester à la maison et à ne pas travailler, ou est-ce la femme -quelques-uns le disent- qui a obligé l'homme à sortir de la maison et à aller travailler pour nourrir sa famille? Est-ce que la femme s'est libérée en s'aprisionnant ou a-t-elle plutôt libéré l'homme de sa prision?
(j'imagine que, au tout début, la femme n'aurait pas été obligée à rester et l'homme à aller chasser. A mon avis, tout s'est passé naturellement, tenant compte les besoins de l'enfant. Sauf qu'après l'homme s'est senti supérieur, et le rôle de la femme a été dévalorisé. Aujourd'hui, la femme travaille, mais elle n'est pas valorisée autant que l'homme, encore moins en tant que maman)


Question "genre", on nous dit qu'une femme ne naisse pas femme. Elle devient.
Si c'est comme ça, peut-on devenir un homme, si on le souhaite?
Est-ce que le père peut devenir la mère, puisqu'il le veut bien?

15 000 mineures en France pratiquent la IVG. Manque d'information, peut-être...
Ou peut-être qu'elles n'aiment pas se sentir "contraintes", obligées à.
Vous connaissez les adolescents. Je fais ce que je veux, comme je veux, quand je veux.
Un conseil: mieux vaut ne pas le faire. 0% de risques et d'effets sécondaires.
(quand c'est question de renoncer, pas question!)


Pourquoi les enfants passent tant de temps dans les centres de loisir?
Parce que papa et maman travaillent dur. Pour leur donner tout. Pas moins que les autres. Ayant tout ça, les enfants cherchent une autre chose, et alors nous avons les IVG, la drogue, la criminalité, la violence, les suicides... Nous sommes dans le bon chemin.




AU LIEU DE MÉLANGER LES GENRES, PENSEZ PLUTÔT À CE GENRE DE CHOSES.

terça-feira, 5 de julho de 2011

NON À LA RÉDUCTION DU CONGÉ PARENTAL POUR LES MÈRES!

Plus de temps avec papa, moins avec maman.

Et plus d'enfants et d'ados qui succeront leur doigt.

(moi, je les vois partout, en faisant le même qu'ils faisaient encore foetus)



Même les animaux ne font pas des choses pareilles!!!




http://www.lapetition.be/en-ligne/NON-a-la-reduction-du-conge-parental-pour-les-meres-10042.html]Pétition : NON à la réduction du congé parental pour les mères !



A LIRE:


http://www.senat.fr/cra/s20110601/s20110601_1.html#par_13



Je l'ai lu, ce débat, et j'ai remarqué qu'il y avait quelqu'un (une femme, si je ne me trompe pas) qui disait qu'il fallait penser à ces mères qui veulent reprendre son travail le plus vite possible après l'accouchement. Elles doivent pouvoir le faire, si elles le veulent.. Mais, et les femmes qui ne veulent pas, pensant d'abord au Supérieur Intérêt de son enfant? Celles-ci n'ont-elles le même droit, celui de rester? Ah, ça coûte cher...



Et voilà la surprise: un homme (oui, un homme!) défend qu'il faut adapter la loi au besoins de chaque famille, chaque mère et chaque enfant. Du moins, c'est ainsi que j'ai compris sa défense.



Lisez bien ce débat, et dites-moi votre avis.

QUI A PEUR DE LA MER (MÈRE)?

J'ai lu cet article (le vrai titre étant QUI A PEUR DE LA MER?) et, comme tout le monde, j'associe la peur de la mer avec son immensité, les dangers qu'elle répresente, l'inconnu:

"(...)
Une majorité de vacanciers barbotent ainsi "pour se rafraîchir", ou surveillent les enfants, les pieds dans l'eau. Mais Catherine Bouquet-Proteau, aquathérapeute, ne croit pas à la paresse estivale: 'ce sont des stratégies d'évitement. (...)' Selon elle, même les 'pros' de la natation, troublés par l'immensité océanique et par les fonds invisibles, ne sont que à 100% détendus. Gravés dans l'inconscient collectif, les dangers inhérents à cette masse d'eau puissante et incontrôlable (tsunamis, naufrages, monstres marins...) nous fragilisent tous."

Maintenant vient l'insolite! Car, d'après la psychanaliste Chantal Maillet " (...) 'Il s'agit, pour certains, de nager dans 'la mère', (...). (...) Qu'y a-t-il dans le ventre maternel: d'autres bébés, le pénis du père, un 'cloaque', comme le définissait la psychanaliste Melanie Klein? Comment y entre-t-on, comment en sort-on? Ces adultes cohabitent avec l'enfant terrorisé qu'ils oublient avoir été. Pour eux, plonger dans la mer (mère) signifie la mort' " [j'ai toujours cru que le ventre maternel répresentait pour nous une source de sécurité, pas de danger!!! Qu'il répresentait le début de la vie, pas la mort!!!]


En lisant le reste, là oui, je trouve de bonnes raisons pour cette peur:


"Nos réticences peuvent également provenir d'un premier contact aquatique déplaisant, si notre mère, par exemple, nous a baigné bébé avec le sentiment d'avoir une tâche à accomplir plutôt que de partager un échange privilégié. Ou d'un parent 'aquaphobe', dont les reccomendations négatives ('pas trop loin, tu vas te noyer') nous ont conditionné adulte. Ou encore d'une fréquentation insuffisante du milieu aquatique (mer, piscine). Mais aussi de souvenirs traumatisants: saut sur la perche du maître-nageur, accident avec de l'eau bouillante, douche froide punitive...

(...)

(...) Mais (ré)apprendre à nager, c'est aussi accepter son passé, et grandir: 'Ceux qui aiment nager ne sont pas dans la mythologie du retour à la mère [comment ce serait possible de comparer encore la mer avec la mère, sinon que dans la mère on est dans un monde petit et bien connu alors que dans la mer le monde est immense et inconnu], mais dans le plaisir d'explorer d'autres milieux, rassure Chantal Maillet. L'un des grands bonheurs de l'enfant. D'ailleurs, le mot 'nager' vient du latin navigare, qui signifie 'voyager sur la mer'. Quitter son port? [pour dire, quitter la mère?]

MON COMMENTAIRE FINAL: 'quitter notre port d'attache', oui... si on est sûr(e) d'arriver à bon port, en sécurité!
Alors, il faut bien séparer les choses: la mer, c'est la mer; et la mère c'est la mère. Ce n'est pas la même chose. Bien sûr, on voudrait bien se sentir aussi sécurisés dans la mer qu' on se sentait dans le ventre maternel, mais, en connaissant les risques et ses (nos) limites, on n'a plus rien à faire que d'exploiter le monde. Et à en profiter.


in PSICHOLOGIES MAGAZINE, nº 309

sábado, 2 de julho de 2011

QUAL DOS MENTIROSOS DIZ A VERDADE?

O garoto do "olha o lobo"

Um pastorzinho que cuidava de seu rebanho perto de um povoado gostava de se distrair de vez em quando gritando:
- Olha o lobo! Socorro! Olha o lobo!
Deu certo umas duas ou três vezes. Todos os habitantes do povoado vinham correndo ajudar o pastorzinho e só encontravam risadas diante de tanto esforço. Um dia apareceu um lobo em carne e osso. O menino gritou desesperado, mas os vizinhos achavam que era só brincadeira e nem prestaram atenção. O lobo pôde devorar todas as ovelhas sem ser perturbado.


Moral: Os mentirosos podem falar a verdade que ninguém acredita.

Do livro: Fábulas de Esopo - Companhia das Letrinhas





http://www.metaforas.com.br/infantis/ogarotodoolha.htm



Em quem acreditar, afinal?



- Em DSK, que tem fama de ser mulherengo e já terá traído a mulher umas quantas vezes?



- Na suposta vítima que, ao que se veio agora a descobrir, mentiu sobre muitos factos do seu passado, mas mantém a acusação dos factos presentes?



- E que dizer de um dos advogados de DSK que, como se sabe, defendeu no passado outras personalidades, nomeadamente Michael Jackson, na altura acusado de actos de pedofilia?



O passado pesa muito, todos nós o sabemos.

A carteira pesa bem mais, e é bem possível que DSK saia mais imaculado do que nunca.



Michael Jackson também ficou (saiu) branco.

Mas era preto. Só quem é cego é que não o vê.



O que mais se vê por aí são lobos disfarçados de cordeiros.

E umas quantas ovelhas negras que servem de bode expiatório.

sexta-feira, 1 de julho de 2011

NASCI MULHER

Se és Mulher, este fórum interessa-te de certeza.

Se és homem, não te custa nada conhecer um pouco mais o mundo das mulheres.



Só assim uma mulher se compreende e aceita tal como é.

Só assim o homem a aceita e a compreende, tal como ela é.



Hoje venho recrutar amigas ( e porque não amigos?) para este fórum.

A ver se ganho o concurso da que leva o maior número;)



(a mim pouco me importa que sejam poucos, desde que sejam bons!)



Fico à vossa espera, por lá.

Digam que vão pela minha parte.

Pela parte da Sara.




http://nascimulher.forumeiros.com/



RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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