terça-feira, 5 de julho de 2011

NON À LA RÉDUCTION DU CONGÉ PARENTAL POUR LES MÈRES!

Plus de temps avec papa, moins avec maman.

Et plus d'enfants et d'ados qui succeront leur doigt.

(moi, je les vois partout, en faisant le même qu'ils faisaient encore foetus)



Même les animaux ne font pas des choses pareilles!!!




http://www.lapetition.be/en-ligne/NON-a-la-reduction-du-conge-parental-pour-les-meres-10042.html]Pétition : NON à la réduction du congé parental pour les mères !



A LIRE:


http://www.senat.fr/cra/s20110601/s20110601_1.html#par_13



Je l'ai lu, ce débat, et j'ai remarqué qu'il y avait quelqu'un (une femme, si je ne me trompe pas) qui disait qu'il fallait penser à ces mères qui veulent reprendre son travail le plus vite possible après l'accouchement. Elles doivent pouvoir le faire, si elles le veulent.. Mais, et les femmes qui ne veulent pas, pensant d'abord au Supérieur Intérêt de son enfant? Celles-ci n'ont-elles le même droit, celui de rester? Ah, ça coûte cher...



Et voilà la surprise: un homme (oui, un homme!) défend qu'il faut adapter la loi au besoins de chaque famille, chaque mère et chaque enfant. Du moins, c'est ainsi que j'ai compris sa défense.



Lisez bien ce débat, et dites-moi votre avis.

QUI A PEUR DE LA MER (MÈRE)?

J'ai lu cet article (le vrai titre étant QUI A PEUR DE LA MER?) et, comme tout le monde, j'associe la peur de la mer avec son immensité, les dangers qu'elle répresente, l'inconnu:

"(...)
Une majorité de vacanciers barbotent ainsi "pour se rafraîchir", ou surveillent les enfants, les pieds dans l'eau. Mais Catherine Bouquet-Proteau, aquathérapeute, ne croit pas à la paresse estivale: 'ce sont des stratégies d'évitement. (...)' Selon elle, même les 'pros' de la natation, troublés par l'immensité océanique et par les fonds invisibles, ne sont que à 100% détendus. Gravés dans l'inconscient collectif, les dangers inhérents à cette masse d'eau puissante et incontrôlable (tsunamis, naufrages, monstres marins...) nous fragilisent tous."

Maintenant vient l'insolite! Car, d'après la psychanaliste Chantal Maillet " (...) 'Il s'agit, pour certains, de nager dans 'la mère', (...). (...) Qu'y a-t-il dans le ventre maternel: d'autres bébés, le pénis du père, un 'cloaque', comme le définissait la psychanaliste Melanie Klein? Comment y entre-t-on, comment en sort-on? Ces adultes cohabitent avec l'enfant terrorisé qu'ils oublient avoir été. Pour eux, plonger dans la mer (mère) signifie la mort' " [j'ai toujours cru que le ventre maternel répresentait pour nous une source de sécurité, pas de danger!!! Qu'il répresentait le début de la vie, pas la mort!!!]


En lisant le reste, là oui, je trouve de bonnes raisons pour cette peur:


"Nos réticences peuvent également provenir d'un premier contact aquatique déplaisant, si notre mère, par exemple, nous a baigné bébé avec le sentiment d'avoir une tâche à accomplir plutôt que de partager un échange privilégié. Ou d'un parent 'aquaphobe', dont les reccomendations négatives ('pas trop loin, tu vas te noyer') nous ont conditionné adulte. Ou encore d'une fréquentation insuffisante du milieu aquatique (mer, piscine). Mais aussi de souvenirs traumatisants: saut sur la perche du maître-nageur, accident avec de l'eau bouillante, douche froide punitive...

(...)

(...) Mais (ré)apprendre à nager, c'est aussi accepter son passé, et grandir: 'Ceux qui aiment nager ne sont pas dans la mythologie du retour à la mère [comment ce serait possible de comparer encore la mer avec la mère, sinon que dans la mère on est dans un monde petit et bien connu alors que dans la mer le monde est immense et inconnu], mais dans le plaisir d'explorer d'autres milieux, rassure Chantal Maillet. L'un des grands bonheurs de l'enfant. D'ailleurs, le mot 'nager' vient du latin navigare, qui signifie 'voyager sur la mer'. Quitter son port? [pour dire, quitter la mère?]

MON COMMENTAIRE FINAL: 'quitter notre port d'attache', oui... si on est sûr(e) d'arriver à bon port, en sécurité!
Alors, il faut bien séparer les choses: la mer, c'est la mer; et la mère c'est la mère. Ce n'est pas la même chose. Bien sûr, on voudrait bien se sentir aussi sécurisés dans la mer qu' on se sentait dans le ventre maternel, mais, en connaissant les risques et ses (nos) limites, on n'a plus rien à faire que d'exploiter le monde. Et à en profiter.


in PSICHOLOGIES MAGAZINE, nº 309

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


MusicPlaylist
Music Playlist at MixPod.com

Arquivo do blogue