quarta-feira, 24 de novembro de 2010

A MÃE É O MAIOR ORGÃO DO CORPO HUMANO!

Não resisti, e trouxe-vos este texto de um outro site, que vem, de alguma forma, complementar o meu post anterior e um outro post que eu escrevi há dias (ver TODOS OS HOMENS PENSAM NA SUA MÃE).


O grito de Pasolini



Com o advento da pecuária, e no processo de triagem dos animais que hoje constituem os nossos gados (caprino, ovino, bovino…), os homens sacrificavam os ariscos e mantinham os mansos e gregários. Konrad Lorenz, fundador da etologia, ao estudar este procedimento, constatou que as reses desta forma selecionadas conservavam, na idade adulta, muitos caracteres infantis, tanto fisionômicos (olhos grandes, crânio bulboso, maxilar mais retraído…) como afetivos e comportamentais. Ora - pensou o cientista -, na natureza, os filhotes de mamíferos são, em geral, mais dóceis, sociais e obedientes a comandos externos que os espécimes maduros. Até as crias de animais de hábitos solitários, como o jaguar, são sociais, visto que dependem da genitora e dos seus irmãos de ninhada. Concluiu, então, que o infantilismo genético-constitucional - i.e., decorrente de mutações nos genes reguladores do desenvolvimento que começa na fecundação - foi o critério utilizado pelos pecuaristas neolíticos. Em miúdos: o processo de domesticação se deu por meio da infantilização. Este fenômeno biológico, Lorenz denominou "neotenia".

O etólogo, entretanto, foi mais longe: sustentou que a neotenia também se dá de modo espontâneo, por seleção natural, consistindo numa das vias filogenéticas de socialização dos vertebrados. A propósito, são espécies altamente infantilizadas e gregárias: o cão selvagem, o macaco de Gibraltar (em tudo parecido com um babuíno jovem) e o bonobo (chimpanzé-anão).

E quanto a nós, Homo sapiens, o mais social dos animais, bicho "domesticado" pela cultura? Decerto que nosso neocórtex é produto de um desenvolvimento acelerado, não de um retardo. Algumas de nossas características, todavia, são claramente neotênicas. Com efeito, um feto desenvolvido de chimpanzé - Pan troglodites - assemelha-se bastante a um homem adulto: corpo pouco peludo, o semblante reto e uma caixa craniana grande relativamente à face. Demais, retemos das crianças o gosto por jogos e brincadeiras, a curiosidade exacerbada (que tantas vezes nos põe em perigo ou em situação de angústia), a capacidade de aprender…

Outra estrutura fenotípica que se manteve subdesenvolvida em nossa espécie é o sistema límbico: sede neuronal das emoções. Sim, é provável que o principal traço infantil que herdamos de nossos ancestrais consista naquele afeto comum a todos os mamíferos jovens: a dependência psíquica na relação com seus genitores, principalmente com a mãe. De fato, somente entre nós e nos bonobos a relação genitora-progênie dura a vida toda. - Nos anais da primatologia, há registros de chimpanzés-anões "adultos" que, não suportando o falecimento da mãe, em pouco tempo adoecem e morrem. (Complexo de Édipo?)

Já os humanos, ao contrário dos bonobos e graças a nossa capacidade ímpar de abstração, podemos preencher o buraco deixado pela morte ou falhas dos pais - estes são tão infantis e desamparados quanto os filhos - por equivalentes simbólicos: Deus-Pai, Mãe de Deus, Pátria-Mãe, a Razão maiúscula, as leis do (mater) ialismo histórico… em suma, qualquer coisa grande que explique nossa origem, aponte nosso destino e nos ajude a discernir o certo do errado.

Por fim, como me disse a psicanalista Maria Helena Cardoso, "a mãe é o maior órgão do corpo humano". Ora, quando a dor física é excruciante, o espírito se identifica cabalmente com a matéria: o corpo e, por conseguinte, com seu órgão mais importante. Foi o que ocorreu, presumo, com o escritor e cineasta Pier Paolo Pasolini no momento do seu assassinato. De acordo com o depoimento de Valdetti, suposta testemunha, enquanto era brutalmente espancado - por um bando neofascista ou garotos de programa - Pasolini, como uma criança órfã ou perdida, apenas gritava: "Mamma! Mamma!…"

MANUEL SOARES BULCÃO NETO
ensaísta

FONTE: http://diariodonordeste.globo.com/materia.asp?codigo=888964

CARTA ABERTA DE UM PEDIATRA A UM PAI!

Lettre ouverte de Léonide Rochal à Monsieur Jean-Michel André


MOSCOU, 23 avril - RIA Novosti.

Voici une lettre ouverte du Pédiatre du Monde, de l’Européen de l’Année (Reader’s Digest) et de l’Etoile de l’Europe (Business Week) à Monsieur Jean-Michel André.


Monsieur Jean-Michel André,


Pardonnez-moi de me mêler de votre vie privée. Mais, malheureusement, aujourd’hui elle est devenue publique pour le monde entier. Il y a longtemps que je ne suis plus un jeune homme. Je suis grand-père. Voilà pourquoi je peux parler en toute sincérité et en connaissance de cause. De plus, j’ai consacré toute ma vie à la santé des enfants.
J’ai essayé de vous joindre, y compris par internet, mais je n’ai pas réussi. Voilà pourquoi, je vous envoie une lettre ouverte. Tout d’abord, je condamne le fait que l’on vous ait agressé. C’est horrible. J’ai beaucoup d’amis en France et j’aime la France.
L’amour peut se transformer en haine. Cela est bien connu. Et à mon humble avis, Votre relation avec Irina est aujourd’hui inspirée par la haine. Chacun de vous pense à soi-même et peu à votre enfant. Cela peut beaucoup influencer l’état psychique et émotionnel de la pauvre Elise. Réfléchissons à l’avenir d’Elise.
Aujourd’hui c’est vous qui décidez pour elle : où et avec qui elle doit vivre, et qui va payer la pension alimentaire. Peu de temps passera et c’est elle-même qui décidera de ces diverses questions. Cela sera son choix et son droit. Personne ne la prive de la citoyenneté française ou russe. Mais il ne faut pas transformer en cauchemar la vie de cet enfant et la priver de sa mère et de vous-même. Vous n’êtes pas le premier au monde à divorcer en ayant un enfant, mais je m’incline devant les parents qui font preuve de haute spiritualité et qui font tout pour atténuer la tragédie de l’enfant. Dans cette situation, l’enfant est la priorité. Les lois pour les animaux et les hommes sont les mêmes. La femelle privée de son enfant est prête au sacrifice suprême. Faites preuve de commisération.
Je vous propose de vous conduire comme un homme véritable, digne et vaillant, dont la France et le monde entier pourraient être fiers - venez à Moscou et remettez tranquillement Elise à sa mère sous réserve de la promesse d’un contact permanent avec vous et sans décision judiciaire. Je garantie votre sécurité. Je vous demande de cesser de partager l’enfant. Cela sera une tragédie pour tous.
C’est complexe, mais il existe une autre voie qui permettrait à Elise de vivre une vie normale et non-partagée dans les années qui viennent. Laissez Elise à sa mère dans sa famille, et vous-même, pour le bien de l’enfant, partez dans l’ombre. Quand elle atteindra sa majorité, il sera possible de lui raconter toute la vérité et elle pourra elle-même prendre une décision concernant son avenir. Je puis dire avec une quasi-certitude que son choix en votre faveur sera plus que probable.
Et, finalement, dernière question. Il faut résoudre le problème financier, celui de la pension alimentaire. En cas d’absence d’accord raisonnable entre vous, je vous propose mon aide personnelle pour Elise.
Respectueusement,
Léonide Rochal, Pédiatre du monde






PETITION POUR LE VRAI INTÉRÊT DE L'ENFANT

A l'attention de Monsieur le président de la République, l'Assemblée de la République
Devant le grand nombre d'enfants soumis à un mode de garde qui, dans la majeure partie des cas, ne respecte vraiment ses intérêts (je parle, evidemment, de la garde alternée), cette pétition vient juste vous rappeler quelques faits qu'on a tendance à oublier.

Il me semble, Messieurs, que de nos jours nous vivons une nouvelle inquisition, sauf que cette fois on n'accuse pas les femmes d'être des sorcières: on les accuse d'être des mauvaises mères, sans aucun respect pour les intêrets et les désirs de ses enfants! Ce qui est tout à fait faux.


Et, dans cette croyance, au lieu de nous mettre au feu, on nous enlève nos enfants.Ce qui est encore pire, croyez-moi.

Les principales victimes? Les enfants, bien sûr.


D'abord, saviez-vous qu'un bon nombre de mères sont, en fait, pour cette garde, en dépit de la mauvaise relation qu'elles ont vécu avec le père de ses enfants?

Mais est-ce que-on se demande bien- la pratique de la garde partagée a les avantages qu'on lui reconnait?
Je n'entends parler que des statistiques. Or, comme dit l'expression, il existe les mensonges, des grosses mensonges... et les statistiques! C'est-à-dire que la réalité est bien toute une autre que celle que nous présentent les statistiques.



Comment considérer l'attitude d'un père qui veut absolument prendre sa moitié -ou la partie toute entière- de son enfant, encore tout petit, sans même penser aux conséquences? On dit qu'il y a des enfants traumatisés par les attitudes de leur mère(?!) On ne parle pas des enfants traumatisés par la séparation forcée de leur mère. On dit qu'ils s'adaptent bien à cette séparation, alors que, en vérité, ils s'accomodent. Ce n'est pas la même chose.

S'il est vrai que le temps ne se passe pas de la même façon pour un enfant,surtout quand il est encore petit (et donc, 15 jours éloigné de son père peut lui ressembler trop long), le même se passe pour un nourrison qui est éloigné toute une journée de sa mère. Et même pour des enfants plus âgés. L'enfant semble être bien tranquille, mais il ne l'ai pas. D'habitude les conséquences de cette séparation ne parviennent que quelques années plus tard, parfois dans l'adolescence.

A présent, je vois des enfants qui deviennent cyberdépendants, et d'autres qui succent le doigt. Des enfants dans des familles recomposées, qui n'y trouvent pas sa place, se sentent souvent à l'ecart. Ça, ce n'est pas des statistiques. C'est bien la réalité que nous avons devant les yeux.

Quand on sépare un chiot de sa progéniteure, l'animal pleure pendant des jours. Il veut sa maman. Puis il se tait. Il s'est accomodé a cette séparation forcée. Il ne l'a forcement pas acceptée, comme nous le jugeons.

Le même pour les humains. La seule différence c'est qu'un nourrison dépend encore plus de sa maman que les petits animaux dans d'autres espèces, vue sa fragilité.

On me reproche la comparaison que je fais souvent entre la mère humaine et les autres femelles, dans d'autres espèces. Et, pourtant, de l'autre côté, celui qui défend l'egalité père/mère, on nous présente souvent des espèces où le rôle est partagé entre les deux progéniteurs... Sauf qu'il s'agit des espèces qui pondent des oeufs, et qui n'ont, donc, aucun lien avec la nôtre. Le seul lien qu'on y trouve c'est l'instinct de protection, qu'on voit aussi chez les mamifères. Les humains, aussi, l'ont.

Alors, que peut-on reprocher à une mère qui protège ses enfants? Rien, en effet. Au contraire.
Et pour le fait de protéger ses enfants, le tribunal décide de les enlever. On les place chez le père.


Il serait plutôt important d'envisager une loi qui respecte VRAIMENT l'intêret de l'enfant. Comme disait quelqu'un -et je le trouve bien- ce n'est pas l'enfant qui doit s'adapter à l'adulte, mais l'adulte à l'enfant. Et donc, les lois se doivent adapter à ses intêrets, n'oubliant pas que l'enfant a des sentiments, des envies, qu'on doit absolument -sauf rares exceptions-respecter.

L'egalité -les spécialistes d'enfants le disent souvent- ne se fait de la même manière et dans un même temps, donc un père ne peut pas exiger une parcelle de 50%, sachant qu' un nourrison et l'enfant encore petit n'a pas des besoins de 50/50. Son cerveau ne marche pas comme ça. Surtout, il ne marche pas tel comme on veut. La loi de Salomon nous montre bien qu'on peut pas le couper en deux, cela disant, on peut pas partager moitié-moitié.


Est-ce qu'on restera aveugles? Ou bien, nous agisserons pour le vrai intérêt de l'enfant?
Ce n'est pas les conditions matérielles qui importent le plus. Ce qui importe vraiment c'est d'être sensible à ses besoins.


Réfléchissez bien, Messieurs. Car vous avez dans vos mains nos enfants, notre futur. Et selon vous agissez, vous l'aurez.



Veuillez agréer, Messieurs, l'assurance de mes salutations distinguées.


http://www.mesopinions.com/Qu-une-maman-puisse-garder-ses-enfants--tout-comme-il-se-passe-dans-la-nature--petition-petitions-d48321df2ccfc944808d20b77175b95a.html








PETIÇÃO PELA SALVAGUARDA DOS DIREITOS NATURAIS DE UMA MÃE!



Destinatário: Assembleia da República



"As piores coisas são sempre feitas com as melhores intenções" Óscar Wilde



É na qualidade de mãe que vive separada da filha (contra vontade, saliente-se, não só minha mas também dela) e de alguém que também suportou a experiência de viver separada de ambos os pais que venho apresentar a Vossa Excelência a presente petição.

Pela minha própria vivência posso dizer, com toda a certeza, de que pior do que estar sem um pai é viver sem uma mãe, e que não há nada pior para uma mãe de que viver afastada de um filho. Tal como sucede na Natureza, em que as crias dificilmente sobrevivem quando separadas da progenitora, e esta tudo faz para as recuperar.

Aliás, a minha petição -que, estou certa, contará com vozes igualmente favoráveis, sendo que algumas poderão partir de homens- rege-se, unicamente, pelas Leis da Natureza.Leis que esperamos ver cumpridas, por serem leis de enorme sabedoria. É da Natureza que retiramos todo o nosso melhor saber e um conhecimento de nós-próprios. Nós somos uma criação da Natureza. Somos parte integrante dela.


Soubessemos nós agir em consonância com as demais espécies, e não seríamos o ser mais desprezível e degradante que existe à face da Terra. Porventura não somos nós responsáveis pelas alterações nefastas que verificamos ao nosso redor?

Entendemos que a Petição pela Igualdade entre ambos os Progenitores não tem razão de ser. Cada um cumpre o seu papel. Assim é na Natureza. O papel de uma mãe, como o de qualquer outra progenitora, é cuidar das crias e zelar pela sua segurança e o seu bem-estar.


Eu entendo -e não serei, acredito, a única- que muito pouco mudou que faça acreditar que a mãe já não cumpre devidamente o seu papel. Antes pelo contrário. Cumpre-o, hoje, melhor do que nunca, assumindo o papel de cuidar do lar e dos filhos (uma tarefa que continua a ser feminina, como podemos constatar nos anúncios publicitários) e de contribuir para o sustento da família.


É insustentável acreditar que a guarda conjunta ou alternada irá acabar com a chamada "Alienação Parental"
Estamos conscientes de que o problema existe. E de que é sobre a mãe, que é quem detém a guarda, que recai as suspeitas de tal comportamento. Ora -sabemo-lo bem- este comportamento tanto parte do progenitor guardião como daquele que não detém a guarda.


Se muitas vezes uma mãe usa os filhos para atingir o outro progenitor, buscando formas de os distanciar, em muitos outros casos -senão na maioria- os seus actos refletem um comportamento animal. À semelhança das restantes espécies,a mãe, sentindo-se ameaçada na sua função de progenitora, reage instintivamente de forma agressiva, afastando todo e qualquer "intruso", inclusive o progenitor (o macho). É um comportamento ancestral que demonstra a nossa verdadeira natureza.

É certo que o ser humano é bem mais complexo do que qualquer outro animal. Por conseguinte, a sua forma de se relacionar com os outros é igualmente mais complexa. Mas o ser humano não difere assim tanto das restantes espécies, e o seu comportamento tem raízes ancestrais.

Não podemos estar mais longe da verdade quando se fala em preconceito e discriminação social em relação aos homens enquanto pais. Porque não se trata de uma cultura desajustada, mas de uma cultura profundamente enraizada num saber que nos aproxima da Natureza.

Ora eu acredito que, pelo facto de impôr ao outro um limite à sua liberdade de escolha (o de poder constituir uma nova família, e habitar onde convenha não apenas a si próprio mas à sua nova família), transgredindo um direito constitucional de todo o cidadão, a guarda conjunta ou alternada poderá, de forma alguma, fazer desaparecer este fenómeno. Antes pelo contrário: irá agravar a "Síndrome da Alienação Parental".


Porque a um progenitor é dada uma difícil escolha: permanecer com o filho e não ter vida própria, ou seguir em frente... mas sem o filho.
Pode alguém ser feliz assim? Pode um filho ser feliz ao lado de progenitores que não o são?

Parece-nos que nenhuma solução que se imponha como obrigação poderá surtir o efeito desejado.Não se faz com gosto aquilo que nos é imposto.

Parece-nos também que punir tais situações -sobretudo se a forma de punir é retirar os filhos ao que agiu mal e atribuir a guarda ao outro progenitor- só serve para as acentuar, não para as atenuar. Há, sim, que prevenir e encontrar outras soluções que desencoragem este tipo de comportamento.


Nós até podíamos fazer uma petição para que toda a criança tivesse o nome de família da mãe. Afinal é ela -isto é, nós- quem cumpre a parte principal em todo o processo, ao gerar, dar à luz e amamentar o filho. E é ela quem, ainda hoje, surge como figura primária, pois que a ela cabe, quase exclusivamente, os cuidados diários e boa parte da educação dos filhos.

Não seria justo?
Mas para quê perder tempo com uma questão de somenos importância? Para nós, trata-se da uma forma de reconhecer o outro como progenitor, dando-lhe o destaque que merece.

Nós apenas pedimos que nos deixem ser mães.
E não, eu não sou retrógrada! Eu sou simplesmente mãe!

Queremos um direito que é nosso. Mas não a todo o custo.
Porque há mães que não merecem ser consideradas como tal! Mães que nos fazem corar de vergonha e indignação!
Nestes casos, e tão somente nestes, a guarda deve ser atribuída ao pai (se este for merecedor, claro).

Eu peço o direito de ser mãe para aquelas de nós que o são, de facto!

Pelo exposto, julgo que haverá que encontrar novas soluções.
A melhor de todas é, a meu ver, aquela que mais nos aproxima da nossa natureza, e dos restantes seres vivos que comunguem dois progenitores.


Sigamos as leis naturais.


O tempo não se faz em horas, nem em dias. É uma perda de tempo reclamar justiça, pedindo o gozo, por igual, de dias ou horas com os nossos filhos. O tempo é o Amor e Dedicação que lhes damos. Cresce em qualidade.

É isso que importa.


No superior interesse da criança!



Os signatários

http://www.peticaopublica.com/?pi=P2009N575

NOTA: cabe aqui referir que na altura em que eu escrevi esta segunda petição não fazia ainda ideia do uso inapropriado do termo "síndrome de alienação parental", muitas vezes para justificar actos de violência e de abuso sexual, como também não fazia ideia de que que na maioria das vezes acontece falsas acusações de alienação, simplesmente como vingança contra um(a) ex. Ver o post EU VI UM SAP(0).

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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