domingo, 26 de junho de 2011

JESUS HAD 2 DADDIES

C'est ce qui disent les homossexuels.

Alors, il était chanceux, lui.
C'est peut-être pour ça qu'on raconte -les mauvaises langues, surement- qu'il était homossexuel.



J'apprécie beaucoup quelques écrits bibliques, mais je m'en doute que Jésus ait été vraiment un saint. Défendre une prostitué (là, je n'ai rien à dire, bien au contraire), et ignorer sa propre mère!



Vous vous rappelez de la scène du soit-disant miracle du vin (apparemmment les convives étaient trôp burrés pour qu'ils s'apperçoivent que jésus n'avait rien fait d'autre qu'ajoutter de l'eau au vin qui restait, d'après le livre de Hubert Prolongeau, LE BAISER DE JUDAS), où sa mère l'a appelé et il lui a répondu grossièrement "qu'est-ce que tu me veut encore, femme?"



Moi, je suis chrétienne d'éducation, mais j'ai toujours défendu des idées à moi.

Certainement pas cette idée de coparentalité qui veut, à toute force, effacer la place de la mère de la vie de son enfant. Certainement pas l'idée de l'egalité absolue, tant qu'il existe les diférences et les besoins de l'enfant, toujours oubliés, par ce que je vois.



Qu'on défende la valorisation de la paternité, je n'ai rien à dire.

Sauf si cette valorisation entraîne une dévalorisation de la maternité.



Je viens de visiter le blog d'un père où il défend qu'il faut valoriser le rôle du père, ne voulant pas -assure-t-il- nier l'importance du rôle de la mère. Ce sont des rôles différents, affirme-t-il.



http://coparentalite-paternite.blogspot.com/2010/08/un-pere-cest-important.html



Alors, si le père est important, ceux qui ont deux sont bien chanceux.



Mais qu'est-ce qui arrive à ceux qui n'ont aucun, comme ceux qui vivent avec deux femmes? Car, oui, un enfant peut vivre avec deux femmes, mais pas avec une femme seule (là, il manque toujours un père!)



Apparemment, les études démontrent que les enfants vivant avec deux personnes du même sexe (que ce soit deux hommes ou deux femmes) se développent aussi bien et sont aussi heureux que ceux qui vivent avec un homme et une femme. Ce qui veut dire que, dans les cas où l'enfant vit avec deux hommes, le rôle du père est doublement important, mais, dans les cas où il vit avec deux femmes, ce rôle perd toute importance. Le père ne sera qu'un insémineur.



De même pour la femme: dans le cas où l'enfant vit avec deux hommes, la maternité n'a aucune importance, et dans les cas où il vit avec deux femmes elle devient doublement importante. Dans le premier cas, la mère ne sera que la génitrice.



Puisque les hommes ne veulent pas être considérés comme seuls insémineurs et les femmes comme seules génitrices, je ne comprends toujours pas comment on défend ce que les gays et les lésbiennes demandent. "Il a de la tolérance, mais pas assez", nous disait un homossexuel. Il me semble qu'on oublie, encore et encore, les droits de l'enfant.



Il a certainement le droit d'être aimé et protégé. Quelqu'un peut le faire.

Aurait-il choisit de vivre avec deux papas ou deux mamans, au lieu d'un papa et une maman?

Aurait-il choisit d'être séparé de sa maman?



Et puis, il reste un problème: celle qui est la véritable mère, et celui qui est le véritable père, aura quand même, il me semble, plus de droits que celle qui a adopté l'enfant de sa compagne et celui qui a adopté l'enfant de son compagnon. Tout comme il se passe dans les familles recomposées, où une marraine ne peut prétende avoir les mêmes droits que son compagnon (père de l'enfant) et le parrain les mêmes droits de sa compagne (mère de l'enfant).



Qu'est-ce qu'il feront en cas de séparation (vous n'imaginez tout de même pas que les couples homossexuels sont plus fidèles que les autres , et on raconte même que les scènes de violence y sont encore pire...)? Est-ce que la vraie mère (biologique, de droit et social) va devoir partager la garde de son enfant avec celle que la société a décidé d'accepter comme l'autre mère? Et le vrai père, devra-t-il partager la garde de son enfant avec son ex-compagnon? On se dirait dans une histoire de Salomon.

Un enfant qui doit prendre son sac pour aller chez son autre mère/père.
Un enfant qui a deux pères/mères et deux parrains/marraines.

Est-ce que le parrain (ou la marraine) aura le même droit que celui (ou celle) qui n'était le père (ou mère) que dans un papier? Trôp confus pour un enfant...



Jésus a eu, à croire les écritures, deux pères.

Mais seule la mère était la vraie.




Eis alguém que pensa como eu:

http://umaespecie.blogspot.com/2010/09/filhos-sem-mae.html

RECUSO-ME A SER BARRIGA DE ALUGUER!!!!!!!!!!!!!


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